Même si la date des prochaines législativesn'est pas encore fixée, la convocation du corps électoral relevant des compétences du président de la République, le processus préparatoire semble être bienengagé. Même si la date des prochaines législativesn'est pas encore fixée, la convocation du corps électoral relevant des compétences du président de la République, le processus préparatoire semble être bienengagé. C'est le président Mohamed Charfi, président de l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie) qui le fait savoir lundi, lors de son passage au Forum de la Radio nationale en assurant que "nous sommes prêts à organiser les législatives". Le président de l'Anie évoque aussi une collaboration entre son institution et la commission en charge de la réforme de la loi électorale, promettant ce propos une plateforme pour permettre aux citoyens de consulter justement les propositions de la commission dirigée par le professeur Laraba. "La loi électorale qui sera rendue publique dans quelques heures va poser un cadre de lutte contre la corruption et la fraude qui on jeté le discrédit sur le processus démocratiqueet tous les précédents rendez-vous électoraux", a fait valoir Mohamed Charfi Dans cette lutte contre la fraude et le phénomène de la "chkara", l'Anie compte avoir le rôle de fer de lance, raison pour laquelle son président réclame plus de prérogatives et veut que ses décisions soient du même niveau, en termes de hiérarchie des normes, que les décrets signés par le Premier ministre. L'un de ces mécanismes, c'est la neutralisation de l'Administration qui a toujours été pointée du doigt par rapport à la fraude, à travers l'achat des voix, la manipulation des dossiers de candidatures. "Le président de la République a pris la décision de soustraire l'administration aux différentes opérations électorales, aujourd'hui, c'est l'Anie qui en a la charge exclusive et la collaboration avec l'Administration pour des questions logistiques n'est pas antinomique de l'autonomie absolue de l'Anie", assure Mhamed Charfi. Ce dernier évoque aussi la nouvelle Constitution, dont dépend justement la ouvelle loi électorale, jugeant qu'elle "a apporté de nouveaux acquis, mais elle ne peut produire ses effets qu'après sa signature par le président de la République". La "nouvelle loi électorale contiendra des dispositions qui permettront aux jeunes de s'assurer les moyens financiers d'être des candidats aux prochaines législatives", indique Mohamed Charfi qui rappelle l'engagement du Président Tebboune de favoriser l'émergence des jeunes sur la scène politique en vue justement de renouveler la classe politique. A propos d'un possible jumelage des législatives et des locales, comme cela a étéévoqué dans les médias, le président de l'Anie se dit "opposé", non pas pour des raisons politiques, mais pour des considérations logistiques et humaines. C'est le président Mohamed Charfi, président de l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie) qui le fait savoir lundi, lors de son passage au Forum de la Radio nationale en assurant que "nous sommes prêts à organiser les législatives". Le président de l'Anie évoque aussi une collaboration entre son institution et la commission en charge de la réforme de la loi électorale, promettant ce propos une plateforme pour permettre aux citoyens de consulter justement les propositions de la commission dirigée par le professeur Laraba. "La loi électorale qui sera rendue publique dans quelques heures va poser un cadre de lutte contre la corruption et la fraude qui on jeté le discrédit sur le processus démocratiqueet tous les précédents rendez-vous électoraux", a fait valoir Mohamed Charfi Dans cette lutte contre la fraude et le phénomène de la "chkara", l'Anie compte avoir le rôle de fer de lance, raison pour laquelle son président réclame plus de prérogatives et veut que ses décisions soient du même niveau, en termes de hiérarchie des normes, que les décrets signés par le Premier ministre. L'un de ces mécanismes, c'est la neutralisation de l'Administration qui a toujours été pointée du doigt par rapport à la fraude, à travers l'achat des voix, la manipulation des dossiers de candidatures. "Le président de la République a pris la décision de soustraire l'administration aux différentes opérations électorales, aujourd'hui, c'est l'Anie qui en a la charge exclusive et la collaboration avec l'Administration pour des questions logistiques n'est pas antinomique de l'autonomie absolue de l'Anie", assure Mhamed Charfi. Ce dernier évoque aussi la nouvelle Constitution, dont dépend justement la ouvelle loi électorale, jugeant qu'elle "a apporté de nouveaux acquis, mais elle ne peut produire ses effets qu'après sa signature par le président de la République". La "nouvelle loi électorale contiendra des dispositions qui permettront aux jeunes de s'assurer les moyens financiers d'être des candidats aux prochaines législatives", indique Mohamed Charfi qui rappelle l'engagement du Président Tebboune de favoriser l'émergence des jeunes sur la scène politique en vue justement de renouveler la classe politique. A propos d'un possible jumelage des législatives et des locales, comme cela a étéévoqué dans les médias, le président de l'Anie se dit "opposé", non pas pour des raisons politiques, mais pour des considérations logistiques et humaines.