Le président de la JS Kabylie, Cherif Mellal, se retrouve dans une situation pas très confortable. En conflit avec certains actionnaires du club dont Malik Azlef, membre le plus influent de la direction, il ne sait désormais plus à quel saint se vouer Le président de la JS Kabylie, Cherif Mellal, se retrouve dans une situation pas très confortable. En conflit avec certains actionnaires du club dont Malik Azlef, membre le plus influent de la direction, il ne sait désormais plus à quel saint se vouer Lâché par ses proches collaborateurs, l'actuel président de la JSK se retrouve dans de beaux draps. Conscient de cette situation inconfortable, Mellal affirme que "Malik Azlef est le mal de la JS Kabylie et est le seul responsable de toute cette zizanie". Et d'ajouter, "Je ne suis pas éternel. Mais si un jour je pars, je dois me rassurer que la JSK est entre de bonnes mains", dira-t-il. Une déclaration parmi d'autres qui n'ont fait qu'accentuer un conflit profond avec d'autres actionnaires, déjà aux aguets, à l'instar de Yazid Yarichene. Mellal est en train de régler carrément ses comptes avec certains actionnaires qui réclament son départ. "Le mal de la JSK réside à l'extérieur. A l'intérieur, les choses fonctionnent à merveille", a indiqué le président de la JSK. L'ancien vice-président, Malik Azlef, avoue qu'il n'a jamais soutenu Mellal par le passé. "Moi je ne soutient jamais des personnes. J'avais juste déclaré que je suis satisfait de sa gestion financière. Le président Mellal avait bien débuté avant de lâcher prise par la suite. Tout comme les années précédentes, l'instabilité existe toujours et à tous les niveaux", a-t-il indiqué, tout en appelant l'actuel président à démissionner de son poste. "Il n'a pas pu tenir ses promesses et la manière avec laquelle il gère le club est catastrophique", a lâché Azlef, qui annonce désormais son soutien à Yazid Yarichene qui a exprimé son souhait de prendre en mains le club, si bien évidemment Mellal accepte de démissionner. "Comme je l'ai déjà dit à maintes reprises, je suis très intéressé à l'idée de prendre la JS Kabylie. Mais à unecondition, ma venue au club doit se faire avant le mercato. Je ne veux pas prendre des risques avec un tel effectif. Moi je ne veux surtout pas donner de fausses promesses aux supporters. Je suis prêt à redonner au club ses lettres d'or", a indiqué Yarichene, l'un des actionnaires du club. De leur côté, les inconditionnels des Jaune et Vert ne veulent plus rester les bras croisés devant une telle situation et décident de passer à l'action. Ils devaient organiser, hier, une marche pour exiger le départ de Chérif Mellal. Dans des déclarations rendues publiques sur les réseaux sociaux, les supporters ont motivé leur action par leur "ras-le-bol face à la situation catastrophique" que vit la JSK et demandé le épart de l'actuelle direction. Lâché par ses proches collaborateurs, l'actuel président de la JSK se retrouve dans de beaux draps. Conscient de cette situation inconfortable, Mellal affirme que "Malik Azlef est le mal de la JS Kabylie et est le seul responsable de toute cette zizanie". Et d'ajouter, "Je ne suis pas éternel. Mais si un jour je pars, je dois me rassurer que la JSK est entre de bonnes mains", dira-t-il. Une déclaration parmi d'autres qui n'ont fait qu'accentuer un conflit profond avec d'autres actionnaires, déjà aux aguets, à l'instar de Yazid Yarichene. Mellal est en train de régler carrément ses comptes avec certains actionnaires qui réclament son départ. "Le mal de la JSK réside à l'extérieur. A l'intérieur, les choses fonctionnent à merveille", a indiqué le président de la JSK. L'ancien vice-président, Malik Azlef, avoue qu'il n'a jamais soutenu Mellal par le passé. "Moi je ne soutient jamais des personnes. J'avais juste déclaré que je suis satisfait de sa gestion financière. Le président Mellal avait bien débuté avant de lâcher prise par la suite. Tout comme les années précédentes, l'instabilité existe toujours et à tous les niveaux", a-t-il indiqué, tout en appelant l'actuel président à démissionner de son poste. "Il n'a pas pu tenir ses promesses et la manière avec laquelle il gère le club est catastrophique", a lâché Azlef, qui annonce désormais son soutien à Yazid Yarichene qui a exprimé son souhait de prendre en mains le club, si bien évidemment Mellal accepte de démissionner. "Comme je l'ai déjà dit à maintes reprises, je suis très intéressé à l'idée de prendre la JS Kabylie. Mais à unecondition, ma venue au club doit se faire avant le mercato. Je ne veux pas prendre des risques avec un tel effectif. Moi je ne veux surtout pas donner de fausses promesses aux supporters. Je suis prêt à redonner au club ses lettres d'or", a indiqué Yarichene, l'un des actionnaires du club. De leur côté, les inconditionnels des Jaune et Vert ne veulent plus rester les bras croisés devant une telle situation et décident de passer à l'action. Ils devaient organiser, hier, une marche pour exiger le départ de Chérif Mellal. Dans des déclarations rendues publiques sur les réseaux sociaux, les supporters ont motivé leur action par leur "ras-le-bol face à la situation catastrophique" que vit la JSK et demandé le épart de l'actuelle direction.