Le vaccin algérien anti-Covid 19, Spoutnik-V, sera disponible d'ici septembre prochain, assure Lotfi Benbahmed, ministre de l'Industrie pharmaceutique, qui était hier matin, l'invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio = algérienne. Le vaccin algérien anti-Covid 19, Spoutnik-V, sera disponible d'ici septembre prochain, assure Lotfi Benbahmed, ministre de l'Industrie pharmaceutique, qui était hier matin, l'invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio = algérienne. D'après "Saïdal, les experts et les différentes analyses que nous avons mis en place, le vaccin Spoutnik sera prêt le mois de septembre prochain", indique le ministre en précisant que "nous sommes accompagnés par le fonds russe et aussi par des laboratoires qui fabriquent déjà le Spoutnik dans d'autres pays". L'Algérie recevra un total de 920.000 doses de vaccin russe Spoutnik-V avant la fin du mois d'avril, avait annoncé le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid. Le vaccin Spoutnik-V sera produit à Constantine La "production du vaccin anti-Covid19 se fera en partenariat avec la Russie pou une fabrication locale du Sputnik V", avait affirmé Lotfi Benbahmed. Les deux parties, russe et algérienne, veulent produire la matière première en Algérie, "ce qui fera de ce vaccin, un produit 100 % local", a fait savoir le ministre. Pour ce faire, ce partenariat algérorusse sera en deux étapes. La 1re est la "production locale à partir de la matière première devant être fournie par la partie russe, ensuite la production de la matière première en Algérie, puis la production locale de ce vaccin dans son entier", a expliqué M. Benbahmed qui note que "la production de la matière première grâce à la technique biotechnologie, sera une première en Algérie et dans le continent africain". L'Algérie a été choisie pour le transfert de cette technologie et la production du vaccin, car étant un pays ami de longue date et un partenaire économique de la Russie. Pour concrétiser le projet, le ministre a fait état de l'installation, de deux commissions, la première devant se charger de l'organisation des moyens industriels pour le lancement de la production, tandis que la deuxième aura à traiter le volet biotechnologie et les intrants nécessaires à la production de la matière première. Les deux commissions travaillant en collaboration avec les experts russes pour la mise en place de la plateforme de production. Pour concrétiser le projet, le ministre a fait état de l'installation, la semaine dernière, de deux commissions, la première devant se charger de l'organisation des moyens industriels pour le lancement de la production, tandis que la deuxième aura à traiter le volet biotechnologie et les intrants nécessaires à la production de la matière première. "Les deux commissions travaillant en collaboration avec les experts russes pour la mise en place de la plateforme de production. nouvelle ère de l'industrie pharmaceutique", a-t-il ajouté. Concernant les délais de lancement de la production du vaccin Sputnik-V en Algérie, le ministre a précisé "s'il s'agit de la production locale du vaccin à partir de la matière première assurée par le côté russe, nous pouvons l'entamer dans les quelques mois prochains, contrairement à la fabrication de la matière première en Algérie qui nécessite du temps", soulignant "dans les deux cas, notre objectif est de commencer la production dans les plus brefs délais". Quant aux quantités de vaccin à produire localement, le ministre a fait savoir que "l'objectif est de produire des quantités suffisantes pour couvrir la demande nationale", ajoutant que "la maitrise de la biotechnologie permettra de réaliser la sécurité sanitaire avec une production locale et nous allons produire des vaccins selon la demande". La "maîtrise de cette technique permettra à l'Algérie d'accéder au réseau international de la production des vaccins développés", a mis en avant le ministre, rappelant que " l'institut russe de microbiologie est parmi les centres internationaux de développement des différents vaccins et que le vaccin Sputnik-V a prouvé son efficacité à l'échelle mondiale". Outre la couverture de la demande nationale, le ministre a fait savoir que le secteur prévoit l'exportation du vaccin, ajoutant que "le côté russ e s'est fixé l'objectif de permettre à l'Algérie de couvrir une zone géographique regroupant plusieurs pays qui seront définis avec l'accord des deux parties". D'après "Saïdal, les experts et les différentes analyses que nous avons mis en place, le vaccin Spoutnik sera prêt le mois de septembre prochain", indique le ministre en précisant que "nous sommes accompagnés par le fonds russe et aussi par des laboratoires qui fabriquent déjà le Spoutnik dans d'autres pays". L'Algérie recevra un total de 920.000 doses de vaccin russe Spoutnik-V avant la fin du mois d'avril, avait annoncé le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid. Le vaccin Spoutnik-V sera produit à Constantine La "production du vaccin anti-Covid19 se fera en partenariat avec la Russie pou une fabrication locale du Sputnik V", avait affirmé Lotfi Benbahmed. Les deux parties, russe et algérienne, veulent produire la matière première en Algérie, "ce qui fera de ce vaccin, un produit 100 % local", a fait savoir le ministre. Pour ce faire, ce partenariat algérorusse sera en deux étapes. La 1re est la "production locale à partir de la matière première devant être fournie par la partie russe, ensuite la production de la matière première en Algérie, puis la production locale de ce vaccin dans son entier", a expliqué M. Benbahmed qui note que "la production de la matière première grâce à la technique biotechnologie, sera une première en Algérie et dans le continent africain". L'Algérie a été choisie pour le transfert de cette technologie et la production du vaccin, car étant un pays ami de longue date et un partenaire économique de la Russie. Pour concrétiser le projet, le ministre a fait état de l'installation, de deux commissions, la première devant se charger de l'organisation des moyens industriels pour le lancement de la production, tandis que la deuxième aura à traiter le volet biotechnologie et les intrants nécessaires à la production de la matière première. Les deux commissions travaillant en collaboration avec les experts russes pour la mise en place de la plateforme de production. Pour concrétiser le projet, le ministre a fait état de l'installation, la semaine dernière, de deux commissions, la première devant se charger de l'organisation des moyens industriels pour le lancement de la production, tandis que la deuxième aura à traiter le volet biotechnologie et les intrants nécessaires à la production de la matière première. "Les deux commissions travaillant en collaboration avec les experts russes pour la mise en place de la plateforme de production. nouvelle ère de l'industrie pharmaceutique", a-t-il ajouté. Concernant les délais de lancement de la production du vaccin Sputnik-V en Algérie, le ministre a précisé "s'il s'agit de la production locale du vaccin à partir de la matière première assurée par le côté russe, nous pouvons l'entamer dans les quelques mois prochains, contrairement à la fabrication de la matière première en Algérie qui nécessite du temps", soulignant "dans les deux cas, notre objectif est de commencer la production dans les plus brefs délais". Quant aux quantités de vaccin à produire localement, le ministre a fait savoir que "l'objectif est de produire des quantités suffisantes pour couvrir la demande nationale", ajoutant que "la maitrise de la biotechnologie permettra de réaliser la sécurité sanitaire avec une production locale et nous allons produire des vaccins selon la demande". La "maîtrise de cette technique permettra à l'Algérie d'accéder au réseau international de la production des vaccins développés", a mis en avant le ministre, rappelant que " l'institut russe de microbiologie est parmi les centres internationaux de développement des différents vaccins et que le vaccin Sputnik-V a prouvé son efficacité à l'échelle mondiale". Outre la couverture de la demande nationale, le ministre a fait savoir que le secteur prévoit l'exportation du vaccin, ajoutant que "le côté russ e s'est fixé l'objectif de permettre à l'Algérie de couvrir une zone géographique regroupant plusieurs pays qui seront définis avec l'accord des deux parties".