La stabilité de la situation épidémiologique en Algérie est de nouveau mise en avant par les scientifiques. Une stabilité pourtant relative du fait de l'apparition de nouveaux variants du virus dans le pays. La stabilité de la situation épidémiologique en Algérie est de nouveau mise en avant par les scientifiques. Une stabilité pourtant relative du fait de l'apparition de nouveaux variants du virus dans le pays. épidémiologique actuelle en Algérie est plutôt stable et ne suscite pas de grande inquiétude contrairement à ce qui se passe dans d'autres pays". Selon lui, le nombre des patients en réanimation est parfaitement maîtrisé. Dans une déclaration à la radio locale de Sétif, le spécialiste estime que "si la situation reste dans cet état de stabilité, malgré l'enregistrement d'un nombre de cas de nouveaux variants, ces derniers ne devraient pas créer une nouvelle pression sur les structures de prise en charge". De son côté, le professeur Kamel Djenouhat, président de la Société algérienne d'immunologie, a estimé que la situation enregistre un léger rebond, de fait de "l'arrivée des nouveaux variants". Qu'en est-il de l'immunité collective ? Pour ce qui est de la situation d'accalmie enregistrée dernièrement, le professeur précise que cela était dû certainement à un taux qui tourne aux alentours de 50 d'immunité acquise lors des vagues précédentes. Dans un entretien accordé au quotidien Liberté, Kamel Djenouhat cite une enquête préliminaire, qui est en train d'être menée au niveau de l'EPH de Rouiba, et qui indique que "parmi les patients hospitalisés, le taux de réinfection reste très faible". Selon le même intervenant, cela est plutôt rassurant "et corrobore l'hypothèse que l'immunité acquise naturellement par l'infection reste toujours efficace chez la plupart des patients". La thèse de l'immunité naturelle avancée par l'étude de l'EPH de Rouiba est pourtant remise en cause par de nombreux scientifiques. Sur cela, le professeur Kamel Djenouhat a affirmé : "Nous acceptons les critiques et les lectures opposées à notre travail, mais ce que je souhaite, c'est qu'il faille avancer des critiques fondées sur les résultats des études menées, non pas sur de simples avis personnels". D'ailleurs, il explique que "l'évolution de cette pandémie chez nous dépendra du taux de cette immunité acquise qui sera certainement différente d'une région à une autre". Relâchement durant l'Aïd Le professeur Riad Mahyaoui, en sa qualité de membre du Comité scientifique, s'est exprimé ce vendredi 15 mai sur la situation épidémiologique ainsi que sur la campagne de vaccination de la population. Le membre du Comité scientifique chargé de la lutte et du suivi de la pandémie du Covid-19 a déclaré que le vaccination contre le coronavirus se poursuit. Ce dernier a également noté que l'évaluation de la situation épidémiologique durant les deux jours de l'Aïd devra intervenir dans deux semaines. En effet, dans sa déclaration, le professeur Mahyaoui a fait savoir que le Comité "a noté un fort relâchement dans le respect des mesures préventives durant les visites familiales, traditionnellement de rigueur lors de cette fête". De ce fait, Riad Mahyaoui exhorte les Algériens à "continuer àmettre en oeuvre les mesures de précautions sanitaires préconisées telles que lA distanciation sociale et le port du masque". "La vaccination se déroulera au rythme des réceptions du vaccin" Il est important de rappeler que l'Algérie a entamé la campagne de vaccination contre le coronavirus durant le mois de janvier dernier dans l'objectif de vacciner 70 % de la population algérienne afin d'atteindre l'immunité collective visée. Cependant, les projets de vaccination de masse du ministère de la Santé on été ralentis par le retard dans l'acquisition des vaccins anti-Covid-19. Néanmoins, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a confirmé la semaine dernière que la campagne de vaccination contre le Covid-19 reprendra de plus belle durant les mois de mai et de juin, notamment avec le réception prévue de près d'un million de doses de vaccins, don 400.000 doses du vaccin chinois Sinovac, 50.000 du russe Spoutnik V et plus de 600.000 doses du vaccin Astrazeneca Le ministre a également indiqué que la vaccination se déroulera au rythme des réceptions du vaccin anti-Covid-19 et que ce processus sera accéléré quand le pays recevra les doses prévues. Le porte-parole du Comité a assuré dans un communiqué, paru sur le site de la Télévision algérienne, que les statistiques quotidiennes fournies par le ministère de la Santé confirment que la situation épidémiologique dans le pays reste stable. épidémiologique actuelle en Algérie est plutôt stable et ne suscite pas de grande inquiétude contrairement à ce qui se passe dans d'autres pays". Selon lui, le nombre des patients en réanimation est parfaitement maîtrisé. Dans une déclaration à la radio locale de Sétif, le spécialiste estime que "si la situation reste dans cet état de stabilité, malgré l'enregistrement d'un nombre de cas de nouveaux variants, ces derniers ne devraient pas créer une nouvelle pression sur les structures de prise en charge". De son côté, le professeur Kamel Djenouhat, président de la Société algérienne d'immunologie, a estimé que la situation enregistre un léger rebond, de fait de "l'arrivée des nouveaux variants". Qu'en est-il de l'immunité collective ? Pour ce qui est de la situation d'accalmie enregistrée dernièrement, le professeur précise que cela était dû certainement à un taux qui tourne aux alentours de 50 d'immunité acquise lors des vagues précédentes. Dans un entretien accordé au quotidien Liberté, Kamel Djenouhat cite une enquête préliminaire, qui est en train d'être menée au niveau de l'EPH de Rouiba, et qui indique que "parmi les patients hospitalisés, le taux de réinfection reste très faible". Selon le même intervenant, cela est plutôt rassurant "et corrobore l'hypothèse que l'immunité acquise naturellement par l'infection reste toujours efficace chez la plupart des patients". La thèse de l'immunité naturelle avancée par l'étude de l'EPH de Rouiba est pourtant remise en cause par de nombreux scientifiques. Sur cela, le professeur Kamel Djenouhat a affirmé : "Nous acceptons les critiques et les lectures opposées à notre travail, mais ce que je souhaite, c'est qu'il faille avancer des critiques fondées sur les résultats des études menées, non pas sur de simples avis personnels". D'ailleurs, il explique que "l'évolution de cette pandémie chez nous dépendra du taux de cette immunité acquise qui sera certainement différente d'une région à une autre". Relâchement durant l'Aïd Le professeur Riad Mahyaoui, en sa qualité de membre du Comité scientifique, s'est exprimé ce vendredi 15 mai sur la situation épidémiologique ainsi que sur la campagne de vaccination de la population. Le membre du Comité scientifique chargé de la lutte et du suivi de la pandémie du Covid-19 a déclaré que le vaccination contre le coronavirus se poursuit. Ce dernier a également noté que l'évaluation de la situation épidémiologique durant les deux jours de l'Aïd devra intervenir dans deux semaines. En effet, dans sa déclaration, le professeur Mahyaoui a fait savoir que le Comité "a noté un fort relâchement dans le respect des mesures préventives durant les visites familiales, traditionnellement de rigueur lors de cette fête". De ce fait, Riad Mahyaoui exhorte les Algériens à "continuer àmettre en oeuvre les mesures de précautions sanitaires préconisées telles que lA distanciation sociale et le port du masque". "La vaccination se déroulera au rythme des réceptions du vaccin" Il est important de rappeler que l'Algérie a entamé la campagne de vaccination contre le coronavirus durant le mois de janvier dernier dans l'objectif de vacciner 70 % de la population algérienne afin d'atteindre l'immunité collective visée. Cependant, les projets de vaccination de masse du ministère de la Santé on été ralentis par le retard dans l'acquisition des vaccins anti-Covid-19. Néanmoins, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a confirmé la semaine dernière que la campagne de vaccination contre le Covid-19 reprendra de plus belle durant les mois de mai et de juin, notamment avec le réception prévue de près d'un million de doses de vaccins, don 400.000 doses du vaccin chinois Sinovac, 50.000 du russe Spoutnik V et plus de 600.000 doses du vaccin Astrazeneca Le ministre a également indiqué que la vaccination se déroulera au rythme des réceptions du vaccin anti-Covid-19 et que ce processus sera accéléré quand le pays recevra les doses prévues. Le porte-parole du Comité a assuré dans un communiqué, paru sur le site de la Télévision algérienne, que les statistiques quotidiennes fournies par le ministère de la Santé confirment que la situation épidémiologique dans le pays reste stable.