Le ministre des Transports, Aissa Bekkai, a appelé les responsables de la compagnie aérienne nationale Air Algérie, lors d'une réunion tenue jeudi dernier, en présence du PDG par intérim et des cadres de la campagne, à redoubler d'efforts pour accroître les performances du transporteur aérien, et à améliorer les services offerts à ses clients à travers la modernisation et la numérisation de ses structure, a indiqué le ministère dans un communiqué publié sur sa page Facebook. Le ministre des Transports, Aissa Bekkai, a appelé les responsables de la compagnie aérienne nationale Air Algérie, lors d'une réunion tenue jeudi dernier, en présence du PDG par intérim et des cadres de la campagne, à redoubler d'efforts pour accroître les performances du transporteur aérien, et à améliorer les services offerts à ses clients à travers la modernisation et la numérisation de ses structure, a indiqué le ministère dans un communiqué publié sur sa page Facebook. Lors de cette réunion, le PDG par intérim de la compagnie aérienne a fait un état des lieux de l'entreprise aux niveaux organisationnel et opérationnel, ainsi que ses équilibres financiers, qui ont été fortement touchés depuis le début de la pandémie du Covid-19 en Algérie à la mi-mars de l'année dernière, et la baisse de son activité et de la mobilité de sa flotte aérienne. La réunion a également abordé le plan de travail proposé par Air Algérie après avoir augmenté le nombre de ses vols dans le cadre du nouveau programme approuvé le 28 août, ce qui a contribué de manière significative à alléger la pression sur la compagnie et à reprendre progressivement son activité. Masse salariale, entretien... des dépenses incompressibles Cependant, les charges énormes et incompressibles supportées par l'entreprise, telles que la masse salariale, l'entretien des avions et les dépenses en devises, en plus de la récession mondiale que connaît l'activité du transport aérien, hypothèquent les opportunités de développement de cette entreprise nationale et menaçant son avenir, selon la même source. Pour sa part, le ministre a souligné la nécessité de rationaliser les dépenses et de mettre en oeuvre les instructions du gouvernement concernant la restructuration de son activité, notamment à l'étranger, et a appelé à une révision de certains textes de loi et réglementaires encadrant cette activité, en ouvrant un large discussion avec tous les acteurs du domaine de l'aviation civile. Concernant certaines des charges financières supportées parAirAlgérie au niveau es vols intérieurs du fait de la subvention du prix des billets, le ministre a promis de lever tous les obstacles pour permettre à la compagnie d'obtenir sa part en coordination avec le ministère des Finances pour soulager la pression. Le ministre a par ailleurs salué les démarches et les progrès enregistrés dans le domaine de l'ouverture des filiales spécialisées, notamment en ce qui concerne l'entretien qui coûte à l'entreprise et au pays des sommes colossales en devises. Lors de cette réunion, le PDG par intérim de la compagnie aérienne a fait un état des lieux de l'entreprise aux niveaux organisationnel et opérationnel, ainsi que ses équilibres financiers, qui ont été fortement touchés depuis le début de la pandémie du Covid-19 en Algérie à la mi-mars de l'année dernière, et la baisse de son activité et de la mobilité de sa flotte aérienne. La réunion a également abordé le plan de travail proposé par Air Algérie après avoir augmenté le nombre de ses vols dans le cadre du nouveau programme approuvé le 28 août, ce qui a contribué de manière significative à alléger la pression sur la compagnie et à reprendre progressivement son activité. Masse salariale, entretien... des dépenses incompressibles Cependant, les charges énormes et incompressibles supportées par l'entreprise, telles que la masse salariale, l'entretien des avions et les dépenses en devises, en plus de la récession mondiale que connaît l'activité du transport aérien, hypothèquent les opportunités de développement de cette entreprise nationale et menaçant son avenir, selon la même source. Pour sa part, le ministre a souligné la nécessité de rationaliser les dépenses et de mettre en oeuvre les instructions du gouvernement concernant la restructuration de son activité, notamment à l'étranger, et a appelé à une révision de certains textes de loi et réglementaires encadrant cette activité, en ouvrant un large discussion avec tous les acteurs du domaine de l'aviation civile. Concernant certaines des charges financières supportées parAirAlgérie au niveau es vols intérieurs du fait de la subvention du prix des billets, le ministre a promis de lever tous les obstacles pour permettre à la compagnie d'obtenir sa part en coordination avec le ministère des Finances pour soulager la pression. Le ministre a par ailleurs salué les démarches et les progrès enregistrés dans le domaine de l'ouverture des filiales spécialisées, notamment en ce qui concerne l'entretien qui coûte à l'entreprise et au pays des sommes colossales en devises.