Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, ministre des Finances, présente aujourd'hui le plan d'action du gouvernement devant les membres de l'Assemblée populaire nationale (APN), consacré essentiellement à engager des réformes structurelles importantes sur les plans institutionnelle et socio-économiques pour réussir la relance économique. Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, ministre des Finances, présente aujourd'hui le plan d'action du gouvernement devant les membres de l'Assemblée populaire nationale (APN), consacré essentiellement à engager des réformes structurelles importantes sur les plans institutionnelle et socio-économiques pour réussir la relance économique. Adopté le 30 août dernier par le Conseil des ministres, le plan d'action, composé de cinq chapitres, à savoir "Consolidation de l'Etat de droit et rénovation de la gouvernance, pour une relance et un renouveau économiques, pour un développement humain et une politique sociale renforcée, pour une politique étrangère dynamique et proactive, ainsi que le renforcement de la sécurité et de la défense nationale", émane principalement du programme du président de la République et de ses 54 engagements. Le Gouvernement ouvrera, à cet effet, à "la modernisation de la justice et au renforcement des libertés", au "renforcement de l'exercice des droits et libertés", au "renforcement du dialogue et de la concertation" ainsi qu'à l' "avènement d'une société ivile et responsable" Le Gouvernement envisage aussi à travers son plan d'action d'assurer une "gouvernance rénovée pour plus de performance et de transparence", une "gestion efficace et transparente des finances publiques" et "les réformes fiscale, budgétaire, comptable, domaniale et douanière". Parmi d'autres axes que le Gouvernement s'engage à prendre en charge figure "la moralisation de la vie publique et la prévention et la lutte contre la corruption", "l'enracinement des valeurs d'éthique et la rénovation du cadre juridique applicable aux agents publics, la modernisation de l'administration et de la fonction publique ainsi que la refonte de l'organisation de l'administration publique". Le plan d'action du Gouvernement met également l'accent sur "l'affirmation, la promotion et la protection des composantes de l'identité nationale et de la mémoire, le renforcement du référent religieux national et la consécration de l'identité religieuse", ainsi que "le renforcement et la promotion de l'arabe et du tamazight". Sur le plan économique, le Gouvernement projette de "consolider les leviers de la relance économique, la modernisation du système bancaire et financier, la réforme du secteur Public Marchand (SPM) et de la gouvernance des entreprises publiques". Il s'agit également de "l'amélioration de attractivité du climat d'investissement et la promotion du cadre de développement de l'entreprise et de l'entreprenariat" et du "renforcement de l'intégration du secteur informel dans le circuit légal". Le plan d'action donne aussi une grande importance notamment aux secteurs agricoles et de la pêche et des ressources halieutiques ainsi qu'aux secteurs de l'Industrie pharmaceutique et du Tourisme, tout en encourageant la politique commerciale en faveur des exportations hors hydrocarbures et la valorisation de la production nationale et à la rationalisation des importations. Le Gouvernement qui continuera à renforcer les capacités d'exportation et la promotion des exportations et la facilitation de l'acte d'exporter, n' a pas occulté, sur le plan social, "la mise à niveau et le développement des localités nécessitant un accompagnement particulier (zones d'ombre), et la politique sociale efficiente et équitable" avec "l'accroissement et la consolidation du pouvoir d'achat du citoyen", ainsi que "l'amélioration de la prise en charge des populations vulnérables". Concernant la politique étrangère, le gouvernement oeuvre, entre autres, à défendre les intérêts supérieurs de la nation, tout en contribuant à la stabilité et à la sécurité régionales et au renforcement des liens avec l'Afrique et le monde arabe, sans oublier d'améliorer la stratégie novatrice en direction de la communauté nationale à l'étranger. Par ailleurs, le plan d'action du gouvernement souligne que l'organisation "réussie" des élections législatives du 12 juin 2021, avec l'installation de la nouvelle Assemblée parlementaire, est "une autre étape dans le processus de mise en oeuvre de l'engagement du président de la République pour le parachèvement de l'édifice institutionnel, en consécration d'une nouvelle ère qui caractérisera l'Algérie nouvelle au sein de mécanismes constitutionnels et juridique garantissant l'intégrité et la crédibilité de la pratique démocratique". Il est précisé aussi que les élections locales annoncées pour le 27 novembre prochain constitueront "une nouvelle étape" de ce processus. Le texte indique également que l'élaboration de ce plan d'action du gouvernement intervient dans une conjoncture "exceptionnelle" liée à la pandémie du covid-19 et constitue un "grand défi" pour le gouvernement qui doit à la fois gérer "l'urgence d'une situation épidémiologique (...) et engager des réformes structurelles importantes sur les plans institutionnels et socio-économiques, particulièrement pour réussir la relance économique". Adopté le 30 août dernier par le Conseil des ministres, le plan d'action, composé de cinq chapitres, à savoir "Consolidation de l'Etat de droit et rénovation de la gouvernance, pour une relance et un renouveau économiques, pour un développement humain et une politique sociale renforcée, pour une politique étrangère dynamique et proactive, ainsi que le renforcement de la sécurité et de la défense nationale", émane principalement du programme du président de la République et de ses 54 engagements. Le Gouvernement ouvrera, à cet effet, à "la modernisation de la justice et au renforcement des libertés", au "renforcement de l'exercice des droits et libertés", au "renforcement du dialogue et de la concertation" ainsi qu'à l' "avènement d'une société ivile et responsable" Le Gouvernement envisage aussi à travers son plan d'action d'assurer une "gouvernance rénovée pour plus de performance et de transparence", une "gestion efficace et transparente des finances publiques" et "les réformes fiscale, budgétaire, comptable, domaniale et douanière". Parmi d'autres axes que le Gouvernement s'engage à prendre en charge figure "la moralisation de la vie publique et la prévention et la lutte contre la corruption", "l'enracinement des valeurs d'éthique et la rénovation du cadre juridique applicable aux agents publics, la modernisation de l'administration et de la fonction publique ainsi que la refonte de l'organisation de l'administration publique". Le plan d'action du Gouvernement met également l'accent sur "l'affirmation, la promotion et la protection des composantes de l'identité nationale et de la mémoire, le renforcement du référent religieux national et la consécration de l'identité religieuse", ainsi que "le renforcement et la promotion de l'arabe et du tamazight". Sur le plan économique, le Gouvernement projette de "consolider les leviers de la relance économique, la modernisation du système bancaire et financier, la réforme du secteur Public Marchand (SPM) et de la gouvernance des entreprises publiques". Il s'agit également de "l'amélioration de attractivité du climat d'investissement et la promotion du cadre de développement de l'entreprise et de l'entreprenariat" et du "renforcement de l'intégration du secteur informel dans le circuit légal". Le plan d'action donne aussi une grande importance notamment aux secteurs agricoles et de la pêche et des ressources halieutiques ainsi qu'aux secteurs de l'Industrie pharmaceutique et du Tourisme, tout en encourageant la politique commerciale en faveur des exportations hors hydrocarbures et la valorisation de la production nationale et à la rationalisation des importations. Le Gouvernement qui continuera à renforcer les capacités d'exportation et la promotion des exportations et la facilitation de l'acte d'exporter, n' a pas occulté, sur le plan social, "la mise à niveau et le développement des localités nécessitant un accompagnement particulier (zones d'ombre), et la politique sociale efficiente et équitable" avec "l'accroissement et la consolidation du pouvoir d'achat du citoyen", ainsi que "l'amélioration de la prise en charge des populations vulnérables". Concernant la politique étrangère, le gouvernement oeuvre, entre autres, à défendre les intérêts supérieurs de la nation, tout en contribuant à la stabilité et à la sécurité régionales et au renforcement des liens avec l'Afrique et le monde arabe, sans oublier d'améliorer la stratégie novatrice en direction de la communauté nationale à l'étranger. Par ailleurs, le plan d'action du gouvernement souligne que l'organisation "réussie" des élections législatives du 12 juin 2021, avec l'installation de la nouvelle Assemblée parlementaire, est "une autre étape dans le processus de mise en oeuvre de l'engagement du président de la République pour le parachèvement de l'édifice institutionnel, en consécration d'une nouvelle ère qui caractérisera l'Algérie nouvelle au sein de mécanismes constitutionnels et juridique garantissant l'intégrité et la crédibilité de la pratique démocratique". Il est précisé aussi que les élections locales annoncées pour le 27 novembre prochain constitueront "une nouvelle étape" de ce processus. Le texte indique également que l'élaboration de ce plan d'action du gouvernement intervient dans une conjoncture "exceptionnelle" liée à la pandémie du covid-19 et constitue un "grand défi" pour le gouvernement qui doit à la fois gérer "l'urgence d'une situation épidémiologique (...) et engager des réformes structurelles importantes sur les plans institutionnels et socio-économiques, particulièrement pour réussir la relance économique".