Alors que la filière automobile s'est retrouvée, depuis plusieurs années, dans une situation d'impasse, le ministre de livre les ambitions de son secteur. Plusieurs rencontres avec des constructeurs mondiaux sont à l'ordre du jour. En marge de la cérémonie d'installation des membres du Conseil national Economique, Social et Environnemental (CNESE), tenue hier sous la Présidence de Tebboune, le ministre de l'Industrie Ahmed Zeghdar a annoncé la volonté du Gouvernement de revenir à l'Industrie automobile locale. Alors que la filière automobile s'est retrouvée, depuis plusieurs années, dans une situation d'impasse, le ministre de livre les ambitions de son secteur. Plusieurs rencontres avec des constructeurs mondiaux sont à l'ordre du jour. En marge de la cérémonie d'installation des membres du Conseil national Economique, Social et Environnemental (CNESE), tenue hier sous la Présidence de Tebboune, le ministre de l'Industrie Ahmed Zeghdar a annoncé la volonté du Gouvernement de revenir à l'Industrie automobile locale. Dans une déclaration rapportée par le quotidien Echorouk, le ministre a souligné que cette production devra être destinée, à la fois, au marché national et à l'exportation vers les pays du continent africain. Dans ce sens, il a annoncé des rencontres avec plusieurs constructeurs intéressés par le marché algérien. En effet, le premier responsable du secteur de l'Industrie a indiqué que « son département devra rencontrer, à compter de la semaine prochaine, des responsables de grands constructeurs de renommée dans ce domaine ». « De grandes marques internationales produiront des voitures en Algérie » Il s'agit, selon lui, d'une démarche qui vise à rouvrir « sérieusement » le dossier de l'Industrie automobile en Algérie et à dépasser ce qui a été engendré par la dernière expérience des unités de montage, qui a coûté très cher au trésor public. « Nous sommes capables de fabriquer les voitures localement. Cette nouvelle expérience répondra à la fois à la demande du marché local et ira jusqu'à la fabrication de la voiture électrique et certains types hybrides », a-t-il déclaré. Soulignant que les partenaires seront choisis de manière r tionnelle et selon ce qui va revenir en bénéfice à l'économie nationale et au marché, Zeghdar a fait état d'un « sérieux travail qui se fait à ce niveau-là ». « De grandes marques internationales produiront des voitures en Algérie, une fois les accords avec eux seront finalisés », a-t-il encore annoncé. Par ailleurs, il indique que le retour de certaines anciennes unités de montage, suite à leurs demandes, n'est pas à l'ordre du jour. Selon lui, le dossier est entre les mains de la justice et le département de l'Industrie ne statuera pas à ce propos avant que la justice ne tranche au sujet des dossiers pendants. Dans une déclaration rapportée par le quotidien Echorouk, le ministre a souligné que cette production devra être destinée, à la fois, au marché national et à l'exportation vers les pays du continent africain. Dans ce sens, il a annoncé des rencontres avec plusieurs constructeurs intéressés par le marché algérien. En effet, le premier responsable du secteur de l'Industrie a indiqué que « son département devra rencontrer, à compter de la semaine prochaine, des responsables de grands constructeurs de renommée dans ce domaine ». « De grandes marques internationales produiront des voitures en Algérie » Il s'agit, selon lui, d'une démarche qui vise à rouvrir « sérieusement » le dossier de l'Industrie automobile en Algérie et à dépasser ce qui a été engendré par la dernière expérience des unités de montage, qui a coûté très cher au trésor public. « Nous sommes capables de fabriquer les voitures localement. Cette nouvelle expérience répondra à la fois à la demande du marché local et ira jusqu'à la fabrication de la voiture électrique et certains types hybrides », a-t-il déclaré. Soulignant que les partenaires seront choisis de manière r tionnelle et selon ce qui va revenir en bénéfice à l'économie nationale et au marché, Zeghdar a fait état d'un « sérieux travail qui se fait à ce niveau-là ». « De grandes marques internationales produiront des voitures en Algérie, une fois les accords avec eux seront finalisés », a-t-il encore annoncé. Par ailleurs, il indique que le retour de certaines anciennes unités de montage, suite à leurs demandes, n'est pas à l'ordre du jour. Selon lui, le dossier est entre les mains de la justice et le département de l'Industrie ne statuera pas à ce propos avant que la justice ne tranche au sujet des dossiers pendants.