Alors que la question de la levée des subventions sur les produits alimentaires, conformément au projet de loi de finances 2022, défraie toujours l'actualité, voilà qu'un responsable affirme que cette mesure n'entrera pas en vigueur de sitôt. Alors que la question de la levée des subventions sur les produits alimentaires, conformément au projet de loi de finances 2022, défraie toujours l'actualité, voilà qu'un responsable affirme que cette mesure n'entrera pas en vigueur de sitôt. Intervenant lundi sur les ondes de la Radio nationale, le président de la commission des finances et du budget à l'APN, Seddik Bakhouche, dément la levée des subventions de l'Etat sur les produits alimentaires, du moins pour le moment. En effet, l'intervenant explique que le projet de loi des finances pour l'exercice de l'année prochaine "contient juste des clarifications et les cadres réglementaires permettant le lancement de cette démarche". Selon lui, cette "démarche requiert la concertation des efforts de plusieurs secteurs, dont le ministère de la Solidarité nationale et de l'Intérieur, pour la mise en place du fichier national des familles nécessiteuses et à faible revenu". Ceci dit, il convient de rappeler que le projet de loi de finances (PLF) pour l'année 2022 prévoit la création d'un dispositif national de compensation au profit des ménages nécessiteux. Ce dernier sera mis en place suite à la suppression du système de subventions généralisées. C'est justement ce point qui crée la controverse, notamment auprès des spécialistes qui avancent la complexité des opérations de recensement des foyers qui seront éligibles au programme de transfert monétaire direct, une fois les subventions levées. Le point indiciaire non inclus dans le PLF 2022 En outre, le président de la commission des finances et du budget à l'APN souligne que le point indiciaire (qui sert de base au calcul des salaires) n'est pas inclus dans la loi de finances 2022, car il s'agit d'une décision souveraine qui revient au président de la République pa décret présidentiel. Par ailleurs, l'intervenant indique que le projet de loi de finances pour l'année 2022, présenté aujourd'hui aux députés pour discussion, est arrivé dans des circonstances exceptionnelles en raison de la crise sanitaire que connaît le monde, "Ce qui est positif cette année, c'est l'amélioration des ressources financières fiscales en raison de l'augmentation du prix du pétrole sur le marché international". Pour lui, le PLF 2022 a mis en priorité "la préservation du soutien social des familles algériennes et accorde plus d'attention aux réformes fiscales introduite par le gouvernement". Intervenant lundi sur les ondes de la Radio nationale, le président de la commission des finances et du budget à l'APN, Seddik Bakhouche, dément la levée des subventions de l'Etat sur les produits alimentaires, du moins pour le moment. En effet, l'intervenant explique que le projet de loi des finances pour l'exercice de l'année prochaine "contient juste des clarifications et les cadres réglementaires permettant le lancement de cette démarche". Selon lui, cette "démarche requiert la concertation des efforts de plusieurs secteurs, dont le ministère de la Solidarité nationale et de l'Intérieur, pour la mise en place du fichier national des familles nécessiteuses et à faible revenu". Ceci dit, il convient de rappeler que le projet de loi de finances (PLF) pour l'année 2022 prévoit la création d'un dispositif national de compensation au profit des ménages nécessiteux. Ce dernier sera mis en place suite à la suppression du système de subventions généralisées. C'est justement ce point qui crée la controverse, notamment auprès des spécialistes qui avancent la complexité des opérations de recensement des foyers qui seront éligibles au programme de transfert monétaire direct, une fois les subventions levées. Le point indiciaire non inclus dans le PLF 2022 En outre, le président de la commission des finances et du budget à l'APN souligne que le point indiciaire (qui sert de base au calcul des salaires) n'est pas inclus dans la loi de finances 2022, car il s'agit d'une décision souveraine qui revient au président de la République pa décret présidentiel. Par ailleurs, l'intervenant indique que le projet de loi de finances pour l'année 2022, présenté aujourd'hui aux députés pour discussion, est arrivé dans des circonstances exceptionnelles en raison de la crise sanitaire que connaît le monde, "Ce qui est positif cette année, c'est l'amélioration des ressources financières fiscales en raison de l'augmentation du prix du pétrole sur le marché international". Pour lui, le PLF 2022 a mis en priorité "la préservation du soutien social des familles algériennes et accorde plus d'attention aux réformes fiscales introduite par le gouvernement".