Le Bureau national de l'Alliance nationale républicaine, réuni hier sous la présidence de Rédha Malek, exprime son inquiétude quant au devenir de la démocratie en Algérie pourtant garantie par la Constitution. Dans un communiqué de presse, signé par Rédha Malek, parvenu à notre rédaction, l'ANR souligne avoir pris connaissance du communiqué du Conseil des ministres du 13 du mois courant, notamment son point II relatif au projet de révision des articles 82 et 109 de la loi électorale. Si ce projet de loi venait à se concrétiser, il consacrerait, estime le Bureau national de l'ANR, la réduction des libertés et la limitation des droits politiques des partis. Rappelons que dans sa dernière réunion, le Conseil des ministres a examiné et approuvé le projet de loi organique, présenté par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, modifiant et complétant l'ordonnance n°97/07 du 06 mars 1997, modifiée et complétée portant loi organique relative au régime électoral. Ce projet de loi vise à modifier les articles 82 et 109 de l'ordonnance portant loi organique relative au régime électoral qui fixent respectivement les conditions de présentation des listes des candidatures à l'élections des assemblées populaires communales ainsi qu' à l'Asssemblée populaire nationale. Ce projet de loi ne vise, en fait, selon les observateurs de la scène politique nationale, qu'à l'élimination des «petits partis et des listes indépendantes sans ancrage populaire» qui reviennent épisodiquement à la faveur de l'organisation de consultations populaires. Face à cette situation, le Bureau national de l'ANR attire l'attention sur les graves conséquences qu'entraînera ce projet sur le multipartisme dans notre pays. Il considère que toute révision de la loi électorale ne pourra se faire qu'après une consultation de l'ensemble des acteurs de la vie politique nationale. Le Bureau national de l'Alliance nationale républicaine, réuni hier sous la présidence de Rédha Malek, exprime son inquiétude quant au devenir de la démocratie en Algérie pourtant garantie par la Constitution. Dans un communiqué de presse, signé par Rédha Malek, parvenu à notre rédaction, l'ANR souligne avoir pris connaissance du communiqué du Conseil des ministres du 13 du mois courant, notamment son point II relatif au projet de révision des articles 82 et 109 de la loi électorale. Si ce projet de loi venait à se concrétiser, il consacrerait, estime le Bureau national de l'ANR, la réduction des libertés et la limitation des droits politiques des partis. Rappelons que dans sa dernière réunion, le Conseil des ministres a examiné et approuvé le projet de loi organique, présenté par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, modifiant et complétant l'ordonnance n°97/07 du 06 mars 1997, modifiée et complétée portant loi organique relative au régime électoral. Ce projet de loi vise à modifier les articles 82 et 109 de l'ordonnance portant loi organique relative au régime électoral qui fixent respectivement les conditions de présentation des listes des candidatures à l'élections des assemblées populaires communales ainsi qu' à l'Asssemblée populaire nationale. Ce projet de loi ne vise, en fait, selon les observateurs de la scène politique nationale, qu'à l'élimination des «petits partis et des listes indépendantes sans ancrage populaire» qui reviennent épisodiquement à la faveur de l'organisation de consultations populaires. Face à cette situation, le Bureau national de l'ANR attire l'attention sur les graves conséquences qu'entraînera ce projet sur le multipartisme dans notre pays. Il considère que toute révision de la loi électorale ne pourra se faire qu'après une consultation de l'ensemble des acteurs de la vie politique nationale.