L'ANR, qui a réuni hier son bureau national, a eu à se prononcer sur le projet de révision de la loi électorale. La formation de Rédha Malek exprime ainsi son “inquiétude quant au devenir de la démocratie en Algérie, pourtant garantie par la Constitution”. Pour l'ANR, “si ce projet venait à être concrétisé, il consacrerait la réduction des libertés et la limitation des droits des partis politiques.” Par ailleurs, le bureau national de l'ANR attire l'attention sur les conséquences qu'entraînera ce projet sur le multipartisme dans notre pays. Pour la formation de Rédha Malek, “toute révision de la loi électorale ne pourra se faire qu'après consultation de l'ensemble des acteurs de la vie politique nationale.”