Louable est l'initiative prise par le ministère de l'Emploi et de la Solidarité nationale en élaborant un guide national pour une meilleure prise en charge de la délinquance juvénile, un phénomène qui prend des proportions alarmantes ces dernières années, et qui ne sont pas sans répercussions néfastes sur l'avenir de l'enfance en Algérie. En effet, le guide en question sanctionnera les travaux de la rencontre nationale qu'abrite, deux jours durant, le Centre national de formation des personnes handicapées (CNFPH) de Khemisti dans la wilaya de Tipasa, qui regroupe les responsables des 90 centres répartis à travers le territoire national, et ce en présence du ministre de l'Emploi et de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbès. La rencontre, à laquelle prennent part également 250 cadres et autres spécialistes de la prise en charge de l'enfant délinquant, a entamé ses travaux hier, et devra sortir avec des recommandations pratiques aujourd'hui dans la soirée, notamment la confection dudit guide et des mécanismes concrets de prise en charge de cette frange de la société qu'est l'enfance, en vue de prévenir des dangers moraux que représente le phénomène de délinquance des mineurs. Lors de son intervention à l'entame des travaux, le ministre a souligné les efforts fournis par l'Etat algérien dans le sens de combattre la délinquance de mineurs et la stratégie élaborée par son département, qui s'abreuve, selon lui, des différentes expériences mondiales qui ont donné de bons résultats. Affirmant que le meilleur investissement d'un pays est celui de prendre en charge sa jeunesse, Djamel Ould Abbas a souligné qu'il s'agit de «développer l'attention permanente et l'écoute ininterrompue pour combattre toutes les formes d'abandon et de désintéressement générateurs d'exclusion avec ses effets dévastateurs sur l'avenir de nos enfants», mettant en exergue pour cela le réseau infrastructurel existant en Algérie, composé de centres spécialisés répartis à travers le territoire national et accueillant 1.154 jeunes dans les 30 centres de rééducation spécialisés (CRS) et les 12 centres spécialisés polyvalents de sauvegarde de la jeunesse (CSPJ) qui suivent les 611 jeunes. Ont également pris part à cette rencontre les directeurs de l'action sociale, ceux des centres nationaux de formation (CNFPS, CNFPH, CNFPHP), la directrice du centre national d'accueil des femmes en détresse et celles victimes de violence, les formateurs des centres spécialisés de rééducation (CRS) ceux des centres spécialisés de protection (CSP), des centres spécialisés polyvalents de sauvegarde de la jeunesse (CSPJ), les chefs de SOEMO, les psychologues cliniciens et autres conseillers pédagogiques et assistants sociaux ainsi que des représentants de l'UNICEF. Des ateliers de travail ont été mis en place pour définir les grandes lignes du programme de prise en charge des délinquants mineurs, ainsi que l'élaboration du guide pratique en la matière. Louable est l'initiative prise par le ministère de l'Emploi et de la Solidarité nationale en élaborant un guide national pour une meilleure prise en charge de la délinquance juvénile, un phénomène qui prend des proportions alarmantes ces dernières années, et qui ne sont pas sans répercussions néfastes sur l'avenir de l'enfance en Algérie. En effet, le guide en question sanctionnera les travaux de la rencontre nationale qu'abrite, deux jours durant, le Centre national de formation des personnes handicapées (CNFPH) de Khemisti dans la wilaya de Tipasa, qui regroupe les responsables des 90 centres répartis à travers le territoire national, et ce en présence du ministre de l'Emploi et de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbès. La rencontre, à laquelle prennent part également 250 cadres et autres spécialistes de la prise en charge de l'enfant délinquant, a entamé ses travaux hier, et devra sortir avec des recommandations pratiques aujourd'hui dans la soirée, notamment la confection dudit guide et des mécanismes concrets de prise en charge de cette frange de la société qu'est l'enfance, en vue de prévenir des dangers moraux que représente le phénomène de délinquance des mineurs. Lors de son intervention à l'entame des travaux, le ministre a souligné les efforts fournis par l'Etat algérien dans le sens de combattre la délinquance de mineurs et la stratégie élaborée par son département, qui s'abreuve, selon lui, des différentes expériences mondiales qui ont donné de bons résultats. Affirmant que le meilleur investissement d'un pays est celui de prendre en charge sa jeunesse, Djamel Ould Abbas a souligné qu'il s'agit de «développer l'attention permanente et l'écoute ininterrompue pour combattre toutes les formes d'abandon et de désintéressement générateurs d'exclusion avec ses effets dévastateurs sur l'avenir de nos enfants», mettant en exergue pour cela le réseau infrastructurel existant en Algérie, composé de centres spécialisés répartis à travers le territoire national et accueillant 1.154 jeunes dans les 30 centres de rééducation spécialisés (CRS) et les 12 centres spécialisés polyvalents de sauvegarde de la jeunesse (CSPJ) qui suivent les 611 jeunes. Ont également pris part à cette rencontre les directeurs de l'action sociale, ceux des centres nationaux de formation (CNFPS, CNFPH, CNFPHP), la directrice du centre national d'accueil des femmes en détresse et celles victimes de violence, les formateurs des centres spécialisés de rééducation (CRS) ceux des centres spécialisés de protection (CSP), des centres spécialisés polyvalents de sauvegarde de la jeunesse (CSPJ), les chefs de SOEMO, les psychologues cliniciens et autres conseillers pédagogiques et assistants sociaux ainsi que des représentants de l'UNICEF. Des ateliers de travail ont été mis en place pour définir les grandes lignes du programme de prise en charge des délinquants mineurs, ainsi que l'élaboration du guide pratique en la matière.