Faïza Guène, l'écrivaine française d'origine algérienne, a présenté mardi après-midi à Alger son dernier roman intitulé ''Du rêve pour les oufs'', réédité aux éditions ''Sédia'', dans la collection Mosaïque. ''C'est un roman qui est totalement fictif et son écriture est spontanée. Je n'imaginais pas les personnages avant d'écrire l'histoire. Ce sont eux qui ramènent l'histoire'', a indiqué lors d'un point de presse l'écrivain, ajoutant que son livre ''Du rêve pour les oufs'', à l'instar de son premier roman ''Kif kif demain'', ''a une dimension sociale''. ''C'est un livre qui donne aux jeunes l'envie de lire'', a affirmé Faïza Guène qui ne conçoit pas un livre avec une thématique bien définie, mais peut ''être inspirée par un détail, un fait anodin, un regard''. ''Ce qui compte pour moi, c'est le regard que je porte sur les choses. C'est ce qui rend les choses intéressantes. J'essaye de mettre du rythme dans mes phrases'', a expliqué Faïza Guène, à propos de son roman dont l'histoire tourne autour de Ahlem, une jeune fille de 24 ans qui, malgré son humble condition sociale, porte un regard amusé sur ceux qui traversent sa vie. ''Je suis inspirée par les petits détails de la vie quotidienne, le regard d'une personne rencontrée dans le métro. Il y a des regards qui inspirent des histoires'', a relevé l'écrivain qui ''souhaite apporter un langage littéraire nouveau'' et qui dit ''être inspirée aussi par la culture orale algérienne''. ''Il y a quelques mots d'argot dans mes écrits, mais il y a surtout cet art de raconter que j'ai hérité de mes parents'', a-t-elle dit. ''Mes parents m'ont transmis l'amour des mots, l'art de raconter une histoire. C'est un langage superbe'', a ajouté Faïza Guène mettant en exergue ''la floraison d'images et de symboles'' qui existent dans la langue maternelle. ''Dans mes œuvres, il y a toujours la couleur de la culture parentale'', a conclu cet écrivain âgée de 19 ans à peine et qui a déjà à son actif deux romans, dont le premier a été traduit dans 22 langues. Faïza Guène, l'écrivaine française d'origine algérienne, a présenté mardi après-midi à Alger son dernier roman intitulé ''Du rêve pour les oufs'', réédité aux éditions ''Sédia'', dans la collection Mosaïque. ''C'est un roman qui est totalement fictif et son écriture est spontanée. Je n'imaginais pas les personnages avant d'écrire l'histoire. Ce sont eux qui ramènent l'histoire'', a indiqué lors d'un point de presse l'écrivain, ajoutant que son livre ''Du rêve pour les oufs'', à l'instar de son premier roman ''Kif kif demain'', ''a une dimension sociale''. ''C'est un livre qui donne aux jeunes l'envie de lire'', a affirmé Faïza Guène qui ne conçoit pas un livre avec une thématique bien définie, mais peut ''être inspirée par un détail, un fait anodin, un regard''. ''Ce qui compte pour moi, c'est le regard que je porte sur les choses. C'est ce qui rend les choses intéressantes. J'essaye de mettre du rythme dans mes phrases'', a expliqué Faïza Guène, à propos de son roman dont l'histoire tourne autour de Ahlem, une jeune fille de 24 ans qui, malgré son humble condition sociale, porte un regard amusé sur ceux qui traversent sa vie. ''Je suis inspirée par les petits détails de la vie quotidienne, le regard d'une personne rencontrée dans le métro. Il y a des regards qui inspirent des histoires'', a relevé l'écrivain qui ''souhaite apporter un langage littéraire nouveau'' et qui dit ''être inspirée aussi par la culture orale algérienne''. ''Il y a quelques mots d'argot dans mes écrits, mais il y a surtout cet art de raconter que j'ai hérité de mes parents'', a-t-elle dit. ''Mes parents m'ont transmis l'amour des mots, l'art de raconter une histoire. C'est un langage superbe'', a ajouté Faïza Guène mettant en exergue ''la floraison d'images et de symboles'' qui existent dans la langue maternelle. ''Dans mes œuvres, il y a toujours la couleur de la culture parentale'', a conclu cet écrivain âgée de 19 ans à peine et qui a déjà à son actif deux romans, dont le premier a été traduit dans 22 langues.