Les monarchies pétrolières du Golfe ont appelé jeudi à un retour à la situation qui prévalait avant la prise de contrôle de la bande de Ghaza par le mouvement islamiste Hamas à la mi-juin. «(Nous) demandons le retour à la situation qui existait dans la bande de Ghaza avant les derniers incidents», indique un communiqué des ministres des Affaires étrangères du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui comprend l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Koweït, le Qatar, Oman et Bahreïn. Dans ce communiqué, publié à l'issue d'une rencontre ministérielle à Jeddah (ouest de l'Arabie saoudite), les signataires appellent à la reprise du dialogue inter-palestinien, au «respect de la légitimité palestinienne nationale sous la direction du (président palestinien) Mahmoud Abbas» du mouvement Fatah. Le chef de la diplomatie saoudienne, le prince Saoud Al Fayçal Al Saoud, avait ouvert la réunion en rappelant que les ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe avaient «condamné les actes criminels perpétrés à Ghaza» quand ils s'étaient rencontrés à la mi-juin au Caire. Il a demandé une accélération des travaux de la commission d'enquête de la Ligue arabe sur les affrontements à Ghaza, mise en place lors de la réunion du Caire. Les chefs de la diplomatie du CCG ont également appelé les voisins de l'Irak à s'abstenir de toute ingérence dans les affaires du pays déchiré par la guerre, en référence apparente à l'Iran, et à la reprise des contacts entre les factions politiques au Liban pour mettre fin à une crise politique qui déchire le pays depuis novembre. Les monarchies pétrolières du Golfe ont appelé jeudi à un retour à la situation qui prévalait avant la prise de contrôle de la bande de Ghaza par le mouvement islamiste Hamas à la mi-juin. «(Nous) demandons le retour à la situation qui existait dans la bande de Ghaza avant les derniers incidents», indique un communiqué des ministres des Affaires étrangères du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui comprend l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Koweït, le Qatar, Oman et Bahreïn. Dans ce communiqué, publié à l'issue d'une rencontre ministérielle à Jeddah (ouest de l'Arabie saoudite), les signataires appellent à la reprise du dialogue inter-palestinien, au «respect de la légitimité palestinienne nationale sous la direction du (président palestinien) Mahmoud Abbas» du mouvement Fatah. Le chef de la diplomatie saoudienne, le prince Saoud Al Fayçal Al Saoud, avait ouvert la réunion en rappelant que les ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe avaient «condamné les actes criminels perpétrés à Ghaza» quand ils s'étaient rencontrés à la mi-juin au Caire. Il a demandé une accélération des travaux de la commission d'enquête de la Ligue arabe sur les affrontements à Ghaza, mise en place lors de la réunion du Caire. Les chefs de la diplomatie du CCG ont également appelé les voisins de l'Irak à s'abstenir de toute ingérence dans les affaires du pays déchiré par la guerre, en référence apparente à l'Iran, et à la reprise des contacts entre les factions politiques au Liban pour mettre fin à une crise politique qui déchire le pays depuis novembre.