Nombreux sont les hommes qui déplorent actuellement l'attitude individualiste que développent certaines femmes d'une manière massive. Cette attitude se résume en le penchant affirmé de ces dernières pour tout ce qui a trait à l'argent, au matériel et à la richesse. Nombreux sont les hommes qui déplorent actuellement l'attitude individualiste que développent certaines femmes d'une manière massive. Cette attitude se résume en le penchant affirmé de ces dernières pour tout ce qui a trait à l'argent, au matériel et à la richesse. Partant de ce constat, les femmes sont donc condamnées par les hommes de n'être attirées que par ce qui brille, de négliger totalement le fond des choses pour se contenter des superficialités et de se "vendre" à celui qui leur fait une meilleure proposition d'achat. Les femmes ne sont-elles pas sévèrement jugées par les hommes ? Sont-elles, par définition, réellement matérialistes ? Qu'est-ce qui justifie leur matérialisme ? L'attrait à la richesse est-il devenu le commun de toutes les femmes ? Le quotidien chargé de pressions et de contraintes ne favorise-t-il pas le développement d'un matérialisme prononcé ? Le matérialisme est-il l'apanage des femmes uniquement ? Autant de questions auxquelles les hommes répondront par l'affirmative. «Les faits que je constate au quotidien sont vraiment déplorables. Je suis déçu du comportement de certaines femmes qui, trop superficielles, n'accordent de l'importance qu'aux apparences et à l'argent. Ces femmes, quand elles rencontrent un homme, ne s'attardent malheureusement pas sur lui en tant que personne, mais cherchent rapidement à connaître la somme qu'il a dans son compte en banque. La première question implicitement posée par ces femmes est «Que m'offres-tu ?» ou «que me proposes-tu ?» C'est vraiment touchant de se retrouver réduit à un statut pareil et ne valoir que ce que contient nos bourses. Franchement, cette fois-ci les femmes sont parties trop loin. Ne me dites surtout pas que c'est une question d'éducation, car dans la même famille il existe des personnes généreuses et d'autres matérialistes. Autrefois, les femmes se mariaient sans même connaître la situation financière de l'homme. Aujourd'hui, il doit être aisé, pour ne pas dire riche. Il doit posséder une belle bagnole, une maison luxueuse et pourquoi pas un chalet au bord de la mer pour goûter aux plaisirs de la plage et des vacances. Personnellement, je n'ai connu jusqu'à présent que des filles matérialistes qui dès qu'elles découvrent ma situation de modeste fonctionnaire me fuient sans retour. Je ne suis pas le seul homme qui fait face à une situation pareille, car deux de mes copains ont dernièrement rompu avec leurs petites amies rien que pour ça. L'amour ne compte plus, seul l'argent régit les relations entre hommes et femmes et cela est chagrinant», certifie Ahmed. A écouter tous les témoignages d'hommes plaintifs qui n'arrivent pas à admettre que les femmes puissent se montrer, un tant soit peu, exigeantes nous pousseraient à généraliser cet attrait à l'argent à toutes les femmes alors que les hommes aussi ont toujours été attirés par l'argent. Il faut dire que nos rapports à l'argent trouvent leur signification dans nos propres histoires. Seulement, par ce comportement individualiste, les femmes sont-elles blâmables ? N'ont-elles pas le droit de s'assurer une vie décente auprès d'un mari qui puisse leur permettre de réalisée tous leurs rêves et avoir à portée de main toutes les commodités de la vie ? L'argent ne fait pas le bonheur, dira certains, mais la pauvreté risque de causer le malheur. Chacun de nous agit en fonction de la manière à travers laquelle il envisage la vie. Si certains s'inscrivent dans un registre d'approche humaine plus profond et vont au-delà des apparences, d'autres sont bien plus superficiels et accordent plus d'importance aux apparences. Il est de même dans le cas d'une femme qui exige de son compagnon de lui assurer une vie décente à l'abri du besoin et qui estime mériter toutes les concessions de sa part. Cette femme que les hommes qualifieront de matérialiste ne cherche en réalité à travers son attitude qu'une protection et une assurance vie. Dans son fonctionnement psychologique, l'argent est l'unique manière qui la rassure et calme ses angoisses. Il est vrai que les personnes qui sont généralement matérialistes, qu'il s'agisse de femmes ou d'hommes, sont des individus qui ne s'attardent pas sur les détails, qui s'intéressent aux apparences et pour lesquelles l'amour n'a de valeur que s'il est accompagné d'argent. La symbolique de l'argent, étant bien plus profonde, la conduite d'hommes ou de femmes vis-à-vis de l'argent ne peut être répréhensible dans la mesure où chacun possède une vision distincte de sa vie et investit des moyens personnels pour y arriver à ses fins. Choisir entre le matériel ou l'affectif est la décision personnelle de tout un chacun. Une décision qui émane souvent de notre propre expérience personnelle, de nos modes relationnels avec l'argent, de la symbolique que représente cette dernière dans l'existence de tout un chacun. L'argent reste d'une grande importance et d'une salutaire utilité, mais à condition de ne pas développer des comportements addictifs vis-à-vis de lui. Finalement, au-delà de l'argent, il existe des choses bien plus importantes et surtout profondes qu'il serait avantageux de découvrir. Partant de ce constat, les femmes sont donc condamnées par les hommes de n'être attirées que par ce qui brille, de négliger totalement le fond des choses pour se contenter des superficialités et de se "vendre" à celui qui leur fait une meilleure proposition d'achat. Les femmes ne sont-elles pas sévèrement jugées par les hommes ? Sont-elles, par définition, réellement matérialistes ? Qu'est-ce qui justifie leur matérialisme ? L'attrait à la richesse est-il devenu le commun de toutes les femmes ? Le quotidien chargé de pressions et de contraintes ne favorise-t-il pas le développement d'un matérialisme prononcé ? Le matérialisme est-il l'apanage des femmes uniquement ? Autant de questions auxquelles les hommes répondront par l'affirmative. «Les faits que je constate au quotidien sont vraiment déplorables. Je suis déçu du comportement de certaines femmes qui, trop superficielles, n'accordent de l'importance qu'aux apparences et à l'argent. Ces femmes, quand elles rencontrent un homme, ne s'attardent malheureusement pas sur lui en tant que personne, mais cherchent rapidement à connaître la somme qu'il a dans son compte en banque. La première question implicitement posée par ces femmes est «Que m'offres-tu ?» ou «que me proposes-tu ?» C'est vraiment touchant de se retrouver réduit à un statut pareil et ne valoir que ce que contient nos bourses. Franchement, cette fois-ci les femmes sont parties trop loin. Ne me dites surtout pas que c'est une question d'éducation, car dans la même famille il existe des personnes généreuses et d'autres matérialistes. Autrefois, les femmes se mariaient sans même connaître la situation financière de l'homme. Aujourd'hui, il doit être aisé, pour ne pas dire riche. Il doit posséder une belle bagnole, une maison luxueuse et pourquoi pas un chalet au bord de la mer pour goûter aux plaisirs de la plage et des vacances. Personnellement, je n'ai connu jusqu'à présent que des filles matérialistes qui dès qu'elles découvrent ma situation de modeste fonctionnaire me fuient sans retour. Je ne suis pas le seul homme qui fait face à une situation pareille, car deux de mes copains ont dernièrement rompu avec leurs petites amies rien que pour ça. L'amour ne compte plus, seul l'argent régit les relations entre hommes et femmes et cela est chagrinant», certifie Ahmed. A écouter tous les témoignages d'hommes plaintifs qui n'arrivent pas à admettre que les femmes puissent se montrer, un tant soit peu, exigeantes nous pousseraient à généraliser cet attrait à l'argent à toutes les femmes alors que les hommes aussi ont toujours été attirés par l'argent. Il faut dire que nos rapports à l'argent trouvent leur signification dans nos propres histoires. Seulement, par ce comportement individualiste, les femmes sont-elles blâmables ? N'ont-elles pas le droit de s'assurer une vie décente auprès d'un mari qui puisse leur permettre de réalisée tous leurs rêves et avoir à portée de main toutes les commodités de la vie ? L'argent ne fait pas le bonheur, dira certains, mais la pauvreté risque de causer le malheur. Chacun de nous agit en fonction de la manière à travers laquelle il envisage la vie. Si certains s'inscrivent dans un registre d'approche humaine plus profond et vont au-delà des apparences, d'autres sont bien plus superficiels et accordent plus d'importance aux apparences. Il est de même dans le cas d'une femme qui exige de son compagnon de lui assurer une vie décente à l'abri du besoin et qui estime mériter toutes les concessions de sa part. Cette femme que les hommes qualifieront de matérialiste ne cherche en réalité à travers son attitude qu'une protection et une assurance vie. Dans son fonctionnement psychologique, l'argent est l'unique manière qui la rassure et calme ses angoisses. Il est vrai que les personnes qui sont généralement matérialistes, qu'il s'agisse de femmes ou d'hommes, sont des individus qui ne s'attardent pas sur les détails, qui s'intéressent aux apparences et pour lesquelles l'amour n'a de valeur que s'il est accompagné d'argent. La symbolique de l'argent, étant bien plus profonde, la conduite d'hommes ou de femmes vis-à-vis de l'argent ne peut être répréhensible dans la mesure où chacun possède une vision distincte de sa vie et investit des moyens personnels pour y arriver à ses fins. Choisir entre le matériel ou l'affectif est la décision personnelle de tout un chacun. Une décision qui émane souvent de notre propre expérience personnelle, de nos modes relationnels avec l'argent, de la symbolique que représente cette dernière dans l'existence de tout un chacun. L'argent reste d'une grande importance et d'une salutaire utilité, mais à condition de ne pas développer des comportements addictifs vis-à-vis de lui. Finalement, au-delà de l'argent, il existe des choses bien plus importantes et surtout profondes qu'il serait avantageux de découvrir.