Le président français, Nicolas Sarkozy, qui est arrivé, hier, en début de matinée à Alger pour une visite de travail de quelques heures, a eu un entretien en tête-à-tête avec le Président Abdelaziz Bouteflika, et dont rien n'a filtré quant à sa teneur. Le président français, Nicolas Sarkozy, qui est arrivé, hier, en début de matinée à Alger pour une visite de travail de quelques heures, a eu un entretien en tête-à-tête avec le Président Abdelaziz Bouteflika, et dont rien n'a filtré quant à sa teneur. Le Président Sarkozy a été accueilli à son arrivée à l'aéroport international Houari-Boumediene par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Les deux présidents ont ensuite passé en revue un détachement de la Garde républicaine qui leur a rendu les honneurs avant d'écouter les hymnes nationaux des deux pays. L'entrevue, qui a été ensuite élargie aux délégations algérienne et française, a été suivie d'un déjeuner offert à la résidence d'Etat de Zéralda. L'Algérie et la France ont signé à Alger un accord sur l'exemption réciproque de visas de court séjour pour les titulaires de passeport diplomatique ainsi qu'une lettre de mission pour la mise en place d'une université mixte algéro-française. L'accord a été signé par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, et son homologue français, Bernard Kouchner, en présence du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et du président français, Nicolas Sarkozy. La mission de mise en place de l'université a été confiée au Haut Conseil franco-algérien. Le président français, Nicolas Sarkozy, a quitté Alger dans l'après-midi à destination de Tunis. Il a été salué à son départ de l'aéroport international Houari-Boumediene par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Lors de la conférence de presse, le président français a affirmé qu'il est «venu en Algérie participer à une entente entre deux peuples souverains qui ont une histoire mouvementée, mais qui aspirent à avoir un regard résolument tourné vers l'avenir», a-t-il souligné. Sarkozy a exprimé, dans ce contexte, la volonté de la France d'accompagner l'Algérie dans son processus de développement. Le président français, Nicolas Sarkozy, a annoncé qu'il effectuera «dans le courant du mois de novembre» une visite d'Etat en Algérie qui devra produire des «résultats concrets et tangibles». Cette visite, à l'invitation du Président Bouteflika, sera préparée par les proches collaborateurs des deux présidents, a-t-il dit lors d'un point de presse. « Le Président Bouteflika m'a fait part de la volonté de l'Algérie de préparer l'après-hydrocarbures et d'être considéré comme un partenaire économique, d'être un pays émergent avec une industrie, avec des services et sa volonté que la France aide l'Algérie sur la voie de son développement», a déclaré Sarkozy. Il a ensuite souligné «la volonté de la France de coopérer avec l'Algérie en matière d'énergie, sous tous les aspects, énergie d'aujourd'hui — le gaz —, énergie de demain — le nucléaire civil —, en matière agro-alimentaire, en matière d'industrie» et «la disponibilité» des entreprises françaises «à investir massivement». Sur tous ces points, «nos montres ont marqué exactement et strictement la même heure», a-t-il dit aux côtés de Bouteflika qui n'a fait aucune déclaration mais qui approuvait de la tête certaines déclarations du président français. Le Président Sarkozy a été accueilli à son arrivée à l'aéroport international Houari-Boumediene par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Les deux présidents ont ensuite passé en revue un détachement de la Garde républicaine qui leur a rendu les honneurs avant d'écouter les hymnes nationaux des deux pays. L'entrevue, qui a été ensuite élargie aux délégations algérienne et française, a été suivie d'un déjeuner offert à la résidence d'Etat de Zéralda. L'Algérie et la France ont signé à Alger un accord sur l'exemption réciproque de visas de court séjour pour les titulaires de passeport diplomatique ainsi qu'une lettre de mission pour la mise en place d'une université mixte algéro-française. L'accord a été signé par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, et son homologue français, Bernard Kouchner, en présence du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et du président français, Nicolas Sarkozy. La mission de mise en place de l'université a été confiée au Haut Conseil franco-algérien. Le président français, Nicolas Sarkozy, a quitté Alger dans l'après-midi à destination de Tunis. Il a été salué à son départ de l'aéroport international Houari-Boumediene par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Lors de la conférence de presse, le président français a affirmé qu'il est «venu en Algérie participer à une entente entre deux peuples souverains qui ont une histoire mouvementée, mais qui aspirent à avoir un regard résolument tourné vers l'avenir», a-t-il souligné. Sarkozy a exprimé, dans ce contexte, la volonté de la France d'accompagner l'Algérie dans son processus de développement. Le président français, Nicolas Sarkozy, a annoncé qu'il effectuera «dans le courant du mois de novembre» une visite d'Etat en Algérie qui devra produire des «résultats concrets et tangibles». Cette visite, à l'invitation du Président Bouteflika, sera préparée par les proches collaborateurs des deux présidents, a-t-il dit lors d'un point de presse. « Le Président Bouteflika m'a fait part de la volonté de l'Algérie de préparer l'après-hydrocarbures et d'être considéré comme un partenaire économique, d'être un pays émergent avec une industrie, avec des services et sa volonté que la France aide l'Algérie sur la voie de son développement», a déclaré Sarkozy. Il a ensuite souligné «la volonté de la France de coopérer avec l'Algérie en matière d'énergie, sous tous les aspects, énergie d'aujourd'hui — le gaz —, énergie de demain — le nucléaire civil —, en matière agro-alimentaire, en matière d'industrie» et «la disponibilité» des entreprises françaises «à investir massivement». Sur tous ces points, «nos montres ont marqué exactement et strictement la même heure», a-t-il dit aux côtés de Bouteflika qui n'a fait aucune déclaration mais qui approuvait de la tête certaines déclarations du président français.