A partir de la prochaine entrée universitaire, l'Université de la formation continue (UFC) sera remplacée par l'Université de formation et d'enseignement à distance pour l'accueil des bacheliers qui n'ont pas la possibilité de faire des études universitaires de manière régulière, a annoncé jeudi à Alger le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M.Rachid Harraoubia, en marge d'une rencontre avec le ministre de l'Education nationale, M.Boubekeur Benbouzid. En effet, malgré la non-application, notamment pour accéder à un poste d'emploi dans la fonction publique, de la décision signée par le ministère de l'Enseignement supérieur, depuis le 28 mai 1991 où il est stipulé dans l'article -1- que « les diplômes délivrés par l'Université de la formation continue, conformément aux décrets portant régime des études en vue de l'obtention des diplômes universitaires, ont même valeur pédagogique, scientifique et juridique que ceux délivrés par les universités algériennes », l'UFC, qui a été fondée le 29 mai 1990, a toujours offert la chance aux étudiants n'ayant pas obtenu leurs baccalauréats de poursuivre leurs études. Certes, à partir de l'entrée universitaire 2007/2008, M.Harraoubia a annoncé qu'un autre cadre est en concertation avec le ministre de l'Education nationale pour la prise en charge de cette catégorie d'étudiants. S'agissant de l'Université de formation et d'enseignement à distance, qui remplacera l'UFC, M. Harraoubia a également précisé qu'elle adoptera un moyen de communication différent avec les étudiants, et exigera toutefois les mêmes conditions d'accès que les autres universités. Ces nouvelles méthodes de communication, s'inscrivent, en effet, dans le cadre du projet Ide@ (2005-2008), volet du programme Tempus, qui est un plan de réforme de l'enseignement supérieur conduit dans les pays d'Asie centrale, d'Europe de l'est ou du bassin méditerranéen et financé par l'Union Européenne. En Algérie, ce programme a été destiné à soutenir ces établissements universitaires dans leur effort de modernisation, en apportant un appui direct aux réformes en cours en vue de proposer un enseignement professionnel qui réponde, aux besoins économiques et industriels. Ainsi, ce projet a pour objectif de contribuer à l'amélioration de l'utilisation des TIC (technologies de l'information et de la communication) au sein de l'enseignement supérieur et des secteurs de la formation professionnelle, et au développement des formations autorisées et possibles par Internet. A partir de la prochaine entrée universitaire, l'Université de la formation continue (UFC) sera remplacée par l'Université de formation et d'enseignement à distance pour l'accueil des bacheliers qui n'ont pas la possibilité de faire des études universitaires de manière régulière, a annoncé jeudi à Alger le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M.Rachid Harraoubia, en marge d'une rencontre avec le ministre de l'Education nationale, M.Boubekeur Benbouzid. En effet, malgré la non-application, notamment pour accéder à un poste d'emploi dans la fonction publique, de la décision signée par le ministère de l'Enseignement supérieur, depuis le 28 mai 1991 où il est stipulé dans l'article -1- que « les diplômes délivrés par l'Université de la formation continue, conformément aux décrets portant régime des études en vue de l'obtention des diplômes universitaires, ont même valeur pédagogique, scientifique et juridique que ceux délivrés par les universités algériennes », l'UFC, qui a été fondée le 29 mai 1990, a toujours offert la chance aux étudiants n'ayant pas obtenu leurs baccalauréats de poursuivre leurs études. Certes, à partir de l'entrée universitaire 2007/2008, M.Harraoubia a annoncé qu'un autre cadre est en concertation avec le ministre de l'Education nationale pour la prise en charge de cette catégorie d'étudiants. S'agissant de l'Université de formation et d'enseignement à distance, qui remplacera l'UFC, M. Harraoubia a également précisé qu'elle adoptera un moyen de communication différent avec les étudiants, et exigera toutefois les mêmes conditions d'accès que les autres universités. Ces nouvelles méthodes de communication, s'inscrivent, en effet, dans le cadre du projet Ide@ (2005-2008), volet du programme Tempus, qui est un plan de réforme de l'enseignement supérieur conduit dans les pays d'Asie centrale, d'Europe de l'est ou du bassin méditerranéen et financé par l'Union Européenne. En Algérie, ce programme a été destiné à soutenir ces établissements universitaires dans leur effort de modernisation, en apportant un appui direct aux réformes en cours en vue de proposer un enseignement professionnel qui réponde, aux besoins économiques et industriels. Ainsi, ce projet a pour objectif de contribuer à l'amélioration de l'utilisation des TIC (technologies de l'information et de la communication) au sein de l'enseignement supérieur et des secteurs de la formation professionnelle, et au développement des formations autorisées et possibles par Internet.