L'Algérie et la Grande-Bretagne s'efforcent visiblement à approfondir leurs relations bilatérales notamment dans les domaines sécuritaires et judiciaires. C'est en fait dans cette optique que les travaux de la deuxième session du comité algéro-britannique ont débuté hier à Londres, avec à l'ordre du jour l'examen des différents volets relatifs à des questions politiques et économiques. Il est à signaler à ce sujet que la partie algérienne était présidée à cette réunion par M. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, et la partie britannique par M. Kim Howells, ministre d'Etat auprès du Foreign Office chargé des Affaires du Proche-Orient, de l'Afrique du Nord et de la réforme de l'ONU. Considérée comme étant une "occasion de consolider davantage la dynamique d'un partenariat de choix et d'un dialogue politique multiforme engagés avec la partie britannique à la faveur de la visite d'Etat du président Bouteflika au Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, le 16 juillet 2006", cette 2e session "s'inscrit dans l'approche globale que les deux autorités entendent imprimer à la coopération et à la concertation entre l'Algérie et le Royaume-Uni", explique-t-on au niveau du ministère des Affaires étrangères. Il faut dire aussi que cette réunion, qui intervient en effet quelques jours après les récentes tentatives d'attentats islamistes visant la Grande-Bretagne, prouve bien que l'Algérie est désormais régulièrement sollicitée par les pays occidentaux pour une coopération dans le domaine de la lutte contre le terrorisme. Force est aussi de constater que l'objectif affiché des deux côtés relève d'une exploitation mutuellement bénéfique des potentialités considérables que recèle une coopération redynamisée entre les deux pays. Dans ce contexte, l'utilisation des riches opportunités d'investissement disponibles dans des secteurs clés a pris également une place particulière à cette session du comité bilatéral. Depuis 2006, quatre accords portant sur "l'entraide judiciaire en matière pénale", "l'entraide judiciaire en matière commerciale et civile", "la circulation des personnes et la réadmission" et "l'extradition des criminels" ont été signés entre les deux pays. Mais malgré cela, l'extradition d'Abdelmoumen Khalifa n'a pas été rendue possible. On ne sait guère d'ailleurs si l'ombre de ce dossier a plané sur cette réunion comme il était prévu. Soulignons encore que l'Algérie est l'un des principaux fournisseurs en gaz naturel de la Grande-Bretagne. Il est à signaler aussi que la visite du président de la République a donné un sérieux coup de tonus aux relations économiques entre les deux pays qui ne cessent de croître notamment à la faveur des nombreuses visites de délégations de part et d'autre. L'entrée en vigueur en 2006 de l'accord conclu entre Sonatrach et British Petroleum est par ailleurs un exemple concret du dynamisme qui caractérise actuellement les relations bilatérales entre les deux pays. Rappelons enfin que le comité bilatéral algéro-britannique tient des sessions annuelles et se réunit alternativement à Alger et à Londres. Sa première session s'est déroulée le 8 juin 2006 à Alger dans le cadre de la préparation de la visite du président Bouteflika au Royaume-Uni. L'Algérie et la Grande-Bretagne s'efforcent visiblement à approfondir leurs relations bilatérales notamment dans les domaines sécuritaires et judiciaires. C'est en fait dans cette optique que les travaux de la deuxième session du comité algéro-britannique ont débuté hier à Londres, avec à l'ordre du jour l'examen des différents volets relatifs à des questions politiques et économiques. Il est à signaler à ce sujet que la partie algérienne était présidée à cette réunion par M. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, et la partie britannique par M. Kim Howells, ministre d'Etat auprès du Foreign Office chargé des Affaires du Proche-Orient, de l'Afrique du Nord et de la réforme de l'ONU. Considérée comme étant une "occasion de consolider davantage la dynamique d'un partenariat de choix et d'un dialogue politique multiforme engagés avec la partie britannique à la faveur de la visite d'Etat du président Bouteflika au Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, le 16 juillet 2006", cette 2e session "s'inscrit dans l'approche globale que les deux autorités entendent imprimer à la coopération et à la concertation entre l'Algérie et le Royaume-Uni", explique-t-on au niveau du ministère des Affaires étrangères. Il faut dire aussi que cette réunion, qui intervient en effet quelques jours après les récentes tentatives d'attentats islamistes visant la Grande-Bretagne, prouve bien que l'Algérie est désormais régulièrement sollicitée par les pays occidentaux pour une coopération dans le domaine de la lutte contre le terrorisme. Force est aussi de constater que l'objectif affiché des deux côtés relève d'une exploitation mutuellement bénéfique des potentialités considérables que recèle une coopération redynamisée entre les deux pays. Dans ce contexte, l'utilisation des riches opportunités d'investissement disponibles dans des secteurs clés a pris également une place particulière à cette session du comité bilatéral. Depuis 2006, quatre accords portant sur "l'entraide judiciaire en matière pénale", "l'entraide judiciaire en matière commerciale et civile", "la circulation des personnes et la réadmission" et "l'extradition des criminels" ont été signés entre les deux pays. Mais malgré cela, l'extradition d'Abdelmoumen Khalifa n'a pas été rendue possible. On ne sait guère d'ailleurs si l'ombre de ce dossier a plané sur cette réunion comme il était prévu. Soulignons encore que l'Algérie est l'un des principaux fournisseurs en gaz naturel de la Grande-Bretagne. Il est à signaler aussi que la visite du président de la République a donné un sérieux coup de tonus aux relations économiques entre les deux pays qui ne cessent de croître notamment à la faveur des nombreuses visites de délégations de part et d'autre. L'entrée en vigueur en 2006 de l'accord conclu entre Sonatrach et British Petroleum est par ailleurs un exemple concret du dynamisme qui caractérise actuellement les relations bilatérales entre les deux pays. Rappelons enfin que le comité bilatéral algéro-britannique tient des sessions annuelles et se réunit alternativement à Alger et à Londres. Sa première session s'est déroulée le 8 juin 2006 à Alger dans le cadre de la préparation de la visite du président Bouteflika au Royaume-Uni.