Le président Abdelaziz Bouteflika et Cheikh Al-Nahyane ont réitéré «leur attachement à l'initiative arabe de paix», la qualifiant de «complémentaire à la Feuille de route». Le président Abdelaziz Bouteflika et Cheikh Al-Nahyane ont réitéré «leur attachement à l'initiative arabe de paix», la qualifiant de «complémentaire à la Feuille de route». Le déplacement du monarque émirati à Alger a été aussi cette occasion de concertation sur les sujets d'actualité dans le monde arabe, à l'issue de laquelle les deux capitales ont sanctionné dans un communiqué commun leur satisfaction quant à la «convergence des visions politiques des deux pays» sur nombre de questions d'intérêt commun, dont notamment celle qui prévaut au Proche-Orient. Ils ont convenu de lancer un appel à la communauté internationale et aux membres du quartette pour mettre fin aux pratiques israéliennes barbares contre le peuple palestinien désarmé et exposé à un embargo et à des incursions quotidiennes. La situation palestinienne a été la préoccupation majeure des deux chefs d'Etat qui ont exprimé à l'occasion leur soutien à la légitimité de l'Autorité nationale palestinienne, qui «œuvre à réaliser une entente nationale pour la défense des intérêts nationaux du peuple palestinien et le resserrement des rangs sur le plan interne afin d'alléger les souffrances du peuple palestinien», selon les termes du communiqué dans lequel les deux parties réaffirment leur volonté d'agir au rétablissement de la paix dans la région. Ils ont, à ce titre, appelé Israël à adhérer sans plus tarder au Traité de non-prolifération des armes nucléaires et à soumettre ses installations nucléaires au système de garanties global de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Ils ont, en revanche, plaidé en faveur de l'utilisation de la technologie nucléaire à des fins pacifiques et du droit des Etats d'en disposer. Le cas de l'Iran a été dans ce chapitre abordé avec sagesse par les deux hommes, qui ont privilégié «un règlement pacifique du conflit autour du programme nucléaire iranien». Et ce, dans l'impératif d'instaurer la paix dans toute la région dont il est souhaité qu'elle soit «exempte d'armes de destruction massive (ADM)». Quant à l'évaluation du processus de paix tel qu'engagé jusque-là, les deux chefs d'Etat ont fortement exprimé leur souhait de «le voir aboutir à un retrait israélien total de l'ensemble des terres palestiniennes occupées». La condition ainsi faite par les deux parties est on ne peut plus dissociée du droit du peuple palestinien à un «Etat indépendant sur son territoire avec El-Qods Echarif pour capitale». Le président Abdelaziz Bouteflika et Cheikh Al-Nahyane ont réitéré «leur attachement à l'initiative arabe de paix», la qualifiant de «complémentaire à la Feuille de route». L'autre préoccupation exprimée par les deux chefs d'Etat a été relative à la situation en Irak. Ils ont souligné la nécessité de former un gouvernement national représentatif tout en soutenant tout effort devant «préserver l'unité de l'Irak et de son peuple, sa souveraineté, son indépendance politique et son intégrité territoriale». L'appel au respect de la légalité internationale est, par ailleurs, exprimé en vue d'une «solution juste et durable» de la question du Sahara occidental et par laquelle il est permis «l'instauration d'une coopération maghrébine élargie qui permettra de rétablir la sécurité et la stabilité escomptées dans la région». Fidèle à ses positions de principe, l'Algérie n'a pas manqué à cette occasion d'apporter son soutien à «la position de l'Etat des Emirats arabes unis, attachée à une solution pacifique pour le règlement de la question de l'occupation par l'Iran des trois îles émiraties». Le déplacement du monarque émirati à Alger a été aussi cette occasion de concertation sur les sujets d'actualité dans le monde arabe, à l'issue de laquelle les deux capitales ont sanctionné dans un communiqué commun leur satisfaction quant à la «convergence des visions politiques des deux pays» sur nombre de questions d'intérêt commun, dont notamment celle qui prévaut au Proche-Orient. Ils ont convenu de lancer un appel à la communauté internationale et aux membres du quartette pour mettre fin aux pratiques israéliennes barbares contre le peuple palestinien désarmé et exposé à un embargo et à des incursions quotidiennes. La situation palestinienne a été la préoccupation majeure des deux chefs d'Etat qui ont exprimé à l'occasion leur soutien à la légitimité de l'Autorité nationale palestinienne, qui «œuvre à réaliser une entente nationale pour la défense des intérêts nationaux du peuple palestinien et le resserrement des rangs sur le plan interne afin d'alléger les souffrances du peuple palestinien», selon les termes du communiqué dans lequel les deux parties réaffirment leur volonté d'agir au rétablissement de la paix dans la région. Ils ont, à ce titre, appelé Israël à adhérer sans plus tarder au Traité de non-prolifération des armes nucléaires et à soumettre ses installations nucléaires au système de garanties global de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Ils ont, en revanche, plaidé en faveur de l'utilisation de la technologie nucléaire à des fins pacifiques et du droit des Etats d'en disposer. Le cas de l'Iran a été dans ce chapitre abordé avec sagesse par les deux hommes, qui ont privilégié «un règlement pacifique du conflit autour du programme nucléaire iranien». Et ce, dans l'impératif d'instaurer la paix dans toute la région dont il est souhaité qu'elle soit «exempte d'armes de destruction massive (ADM)». Quant à l'évaluation du processus de paix tel qu'engagé jusque-là, les deux chefs d'Etat ont fortement exprimé leur souhait de «le voir aboutir à un retrait israélien total de l'ensemble des terres palestiniennes occupées». La condition ainsi faite par les deux parties est on ne peut plus dissociée du droit du peuple palestinien à un «Etat indépendant sur son territoire avec El-Qods Echarif pour capitale». Le président Abdelaziz Bouteflika et Cheikh Al-Nahyane ont réitéré «leur attachement à l'initiative arabe de paix», la qualifiant de «complémentaire à la Feuille de route». L'autre préoccupation exprimée par les deux chefs d'Etat a été relative à la situation en Irak. Ils ont souligné la nécessité de former un gouvernement national représentatif tout en soutenant tout effort devant «préserver l'unité de l'Irak et de son peuple, sa souveraineté, son indépendance politique et son intégrité territoriale». L'appel au respect de la légalité internationale est, par ailleurs, exprimé en vue d'une «solution juste et durable» de la question du Sahara occidental et par laquelle il est permis «l'instauration d'une coopération maghrébine élargie qui permettra de rétablir la sécurité et la stabilité escomptées dans la région». Fidèle à ses positions de principe, l'Algérie n'a pas manqué à cette occasion d'apporter son soutien à «la position de l'Etat des Emirats arabes unis, attachée à une solution pacifique pour le règlement de la question de l'occupation par l'Iran des trois îles émiraties».