La prochaine rentrée universitaire devrait se dérouler dans un climat paisible. Les enseignants du supérieur, qui ont depuis plusieurs années réclamé l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles, ont enfin obtenu gain de cause. La prochaine rentrée universitaire devrait se dérouler dans un climat paisible. Les enseignants du supérieur, qui ont depuis plusieurs années réclamé l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles, ont enfin obtenu gain de cause. Une de leurs principales revendications est en passe de trouver sa solution : «La grille des salaires et le statut des enseignants du supérieur seront prêts vers la fin juillet.» C'est ce qu'a indiqué le coordonnateur national du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), Abdelmalek Rahmani. Dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie de clôture des portes ouvertes sur l'Université, organisée après une rencontre tenue jeudi entre des membres du CNES et le ministre de l'Enseignement supérieur, le premier responsable du syndicat des enseignants du supérieur a souligné que la question des salaires des enseignants «a été définitivement réglée». Cette réunion a permis aux deux parties de convenir, selon Abdelmalek Rahmani, d'«une nouvelle grille des salaires» qui sera «prête dans une semaine». Le «statut de l'enseignant étant étroitement lié à la grille des salaires», il a estimé qu'une loi sur le statut serait éventuellement promulguée à la même période. Le coordinateur national du CNES dit avoir reçu des «assurances» de la part du ministre du secteur quant au règlement de «nombre de problèmes en suspens, notamment l'acquisition par les enseignants des logements loués depuis des années». Dans ce sillage, Abdelmalek Rahmani a annoncé le début de réalisation de 1.700 logements au profit des enseignants du supérieur au niveau de 35 universités, précisant que la surface de chaque logement est de 120 mètres carrés pour un coût de 4 millions de dinars. Il a indiqué que ce projet fait suite aux directives du président de la République pour l'année 2007. Par la même occasion, il a annoncé que d'autres projets seront réalisés dans les années à venir. Le coordonnateur national du CNES a également précisé avoir eu avec le premier responsable du secteur un entretien «très franc» qui a permis de soulever tous les problèmes du secteur, notamment «les dépassements enregistrés au niveau de certaines universités, qu'il s'agisse de gestion administrative, financière ou pédagogique». Pour sa part, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia, a affirmé à l'issue de cette rencontre que son secteur œuvrera inlassablement à la prise en charge des préoccupations des différentes catégories au niveau de l'université algérienne. Les portes du ministère, a-t-il poursuivi, sont ouvertes et nous sommes à l'écoute de toutes les préoccupations qui peuvent être posées à l'université afin de prendre en charge «tout ce qui est dans l'intérêt de l'université algérienne». Cette rencontre s'inscrit, selon le premier responsable du secteur, dans le cadre du dialogue et de la concertation que le ministère adopte avec ses partenaires socioprofessionnels. Il reste que cette volonté affichée par le ministère rencontre des difficultés sur le terrain. Le coordinateur national du conseil «déplore» le fait que cette politique rencontre des obstacles auprès de responsables de certains établissements universitaires, appelant le ministère à intervenir pour résoudre cette problématique. Une de leurs principales revendications est en passe de trouver sa solution : «La grille des salaires et le statut des enseignants du supérieur seront prêts vers la fin juillet.» C'est ce qu'a indiqué le coordonnateur national du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), Abdelmalek Rahmani. Dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie de clôture des portes ouvertes sur l'Université, organisée après une rencontre tenue jeudi entre des membres du CNES et le ministre de l'Enseignement supérieur, le premier responsable du syndicat des enseignants du supérieur a souligné que la question des salaires des enseignants «a été définitivement réglée». Cette réunion a permis aux deux parties de convenir, selon Abdelmalek Rahmani, d'«une nouvelle grille des salaires» qui sera «prête dans une semaine». Le «statut de l'enseignant étant étroitement lié à la grille des salaires», il a estimé qu'une loi sur le statut serait éventuellement promulguée à la même période. Le coordinateur national du CNES dit avoir reçu des «assurances» de la part du ministre du secteur quant au règlement de «nombre de problèmes en suspens, notamment l'acquisition par les enseignants des logements loués depuis des années». Dans ce sillage, Abdelmalek Rahmani a annoncé le début de réalisation de 1.700 logements au profit des enseignants du supérieur au niveau de 35 universités, précisant que la surface de chaque logement est de 120 mètres carrés pour un coût de 4 millions de dinars. Il a indiqué que ce projet fait suite aux directives du président de la République pour l'année 2007. Par la même occasion, il a annoncé que d'autres projets seront réalisés dans les années à venir. Le coordonnateur national du CNES a également précisé avoir eu avec le premier responsable du secteur un entretien «très franc» qui a permis de soulever tous les problèmes du secteur, notamment «les dépassements enregistrés au niveau de certaines universités, qu'il s'agisse de gestion administrative, financière ou pédagogique». Pour sa part, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia, a affirmé à l'issue de cette rencontre que son secteur œuvrera inlassablement à la prise en charge des préoccupations des différentes catégories au niveau de l'université algérienne. Les portes du ministère, a-t-il poursuivi, sont ouvertes et nous sommes à l'écoute de toutes les préoccupations qui peuvent être posées à l'université afin de prendre en charge «tout ce qui est dans l'intérêt de l'université algérienne». Cette rencontre s'inscrit, selon le premier responsable du secteur, dans le cadre du dialogue et de la concertation que le ministère adopte avec ses partenaires socioprofessionnels. Il reste que cette volonté affichée par le ministère rencontre des difficultés sur le terrain. Le coordinateur national du conseil «déplore» le fait que cette politique rencontre des obstacles auprès de responsables de certains établissements universitaires, appelant le ministère à intervenir pour résoudre cette problématique.