La médaille d'or remportée par les Algériennes du volley-ball à Alger devrait constituer un bon stimulant pour leurs homologues masculins qui s'apprêtent à défendre les couleurs nationales à la coupe d'Afrique des nations prévue au mois d'août. La médaille d'or remportée par les Algériennes du volley-ball à Alger devrait constituer un bon stimulant pour leurs homologues masculins qui s'apprêtent à défendre les couleurs nationales à la coupe d'Afrique des nations prévue au mois d'août. C'est du moins le sentiment de Okba Gougam, président de la Fédération algérienne de volley-ball en marge de la cérémonie de présentation des Fennecs à la société de téléphonie mobile, sponsor leader des équipes nationales. «Les Algériennes ont donné le tempo. Nous avons accueilli cette médaille avec beaucoup de satisfaction. C'est un bon présage et nous allons tout faire pour que les garçons en fassent de même. Elles ont montré la voie et il faut s'y engouffrer», soutient le coach Ikhedji . Selon le président de la FAVB, la voie semble ainsi bien balisée pour le sacre au championnat d'Afrique féminin qualificatif pour les JO de 2008 à Pékin. Par ce résultat très flatteur, réussi de surcroît face aux champions d'Afrique en titre le Kenya et le super Cameroun renforcée par cinq professionnelles, le volley-ball féminin a montré la voie à suivre. Le volley-ball féminin était en hibernation au niveau des résultats. Ces dernières années, il s'est fait très discret : 5e lors de la CAN 2003, demi-finaliste en 2005. Sa dernière déception a été son incapacité à assurer sa qualification pour le Mondial 2006 en se faisant coiffer au poteau par une équipe camerounaise plutôt moyenne. Il n'a même pas eu droit à un accessit à se mettre sous la dent. Depuis, les choses n'ont pas vraiment bougé et ce ne sont pas les problèmes quotidiens de notre compétition locale qui contribueront à améliorer les choses. Bien entendu, la sélection actuelle, dirigée par Ikhedji, a fait fi de toutes ces considérations et c'est tant mieux. Ce dernier, concentré sur son travail et ses objectifs nous donne un aperçu succinct de la marche de cette sélection: «Depuis la mi-juin, nous avons repris le cycle des stages et des matches amicaux (notamment face à des équipes de cadets garçons). Au départ, j'ai trouvé un groupe hétérogène au niveau du degré de compétitivité des joueuses. Certaines étaient restées un peu trop longtemps inactives. Il a fallu de ce fait procéder à une mise à niveau physique pour avoir un groupe homogène. Cela fait, on est passé à d'autres volets de la préparation qui ont donné des résultats inattendus. Les équipes en lice au championnat d'Afrique y réfléchiront à deux fois. Si par malheur on avait perdu devant le Cameroun, ce serait un coup assez difficile à supporter. Nous savions que ce n'était pas la meilleure équipe possible. Car il y a au moins six joueurs qui sont en Europe, aux Etats-Unis et qui ont rejoint le groupe», a-t-il précisé. Le patron du volley-ball algérien a indiqué que cette victoire n'est qu'un début vers le chemin qui mène à la CAN, considérée comme l'objectif majeur. «La dernière équipe à avoir gagné les Jeux africains est l'équipe de 1978. Gagner la médaille d'or à quelques mois du championnat d'Afrique est extrêmement important. Cela ne veut pas cependant dire qu'il faille dormir sur ses lauriers. L'objectif reste le Can. C'est heureux que le Dtn l'ait compris. On lui avait donné comme missions de gagner pour mettre tout le monde à l'aise et renforcer la confiance», souligne-t-il. Il a aussi annoncé que les travaux de construction d'une nouvelle salle à Béjaïa avance à un rythme satisfaisant. «Du côté de la fédération, on est favorable, il n'y a pas beaucoup de choses à faire. Il y a un nouvel entrepreneur qui va démarrer les travaux incessamment», renseigne-t-il. Les Algériennes, on le rappelle, tenteront de décrocher une deuxième bague de championnat d'Afrique lors du rendez-vous continental prévu du 21 au 30 septembre. C'est du moins le sentiment de Okba Gougam, président de la Fédération algérienne de volley-ball en marge de la cérémonie de présentation des Fennecs à la société de téléphonie mobile, sponsor leader des équipes nationales. «Les Algériennes ont donné le tempo. Nous avons accueilli cette médaille avec beaucoup de satisfaction. C'est un bon présage et nous allons tout faire pour que les garçons en fassent de même. Elles ont montré la voie et il faut s'y engouffrer», soutient le coach Ikhedji . Selon le président de la FAVB, la voie semble ainsi bien balisée pour le sacre au championnat d'Afrique féminin qualificatif pour les JO de 2008 à Pékin. Par ce résultat très flatteur, réussi de surcroît face aux champions d'Afrique en titre le Kenya et le super Cameroun renforcée par cinq professionnelles, le volley-ball féminin a montré la voie à suivre. Le volley-ball féminin était en hibernation au niveau des résultats. Ces dernières années, il s'est fait très discret : 5e lors de la CAN 2003, demi-finaliste en 2005. Sa dernière déception a été son incapacité à assurer sa qualification pour le Mondial 2006 en se faisant coiffer au poteau par une équipe camerounaise plutôt moyenne. Il n'a même pas eu droit à un accessit à se mettre sous la dent. Depuis, les choses n'ont pas vraiment bougé et ce ne sont pas les problèmes quotidiens de notre compétition locale qui contribueront à améliorer les choses. Bien entendu, la sélection actuelle, dirigée par Ikhedji, a fait fi de toutes ces considérations et c'est tant mieux. Ce dernier, concentré sur son travail et ses objectifs nous donne un aperçu succinct de la marche de cette sélection: «Depuis la mi-juin, nous avons repris le cycle des stages et des matches amicaux (notamment face à des équipes de cadets garçons). Au départ, j'ai trouvé un groupe hétérogène au niveau du degré de compétitivité des joueuses. Certaines étaient restées un peu trop longtemps inactives. Il a fallu de ce fait procéder à une mise à niveau physique pour avoir un groupe homogène. Cela fait, on est passé à d'autres volets de la préparation qui ont donné des résultats inattendus. Les équipes en lice au championnat d'Afrique y réfléchiront à deux fois. Si par malheur on avait perdu devant le Cameroun, ce serait un coup assez difficile à supporter. Nous savions que ce n'était pas la meilleure équipe possible. Car il y a au moins six joueurs qui sont en Europe, aux Etats-Unis et qui ont rejoint le groupe», a-t-il précisé. Le patron du volley-ball algérien a indiqué que cette victoire n'est qu'un début vers le chemin qui mène à la CAN, considérée comme l'objectif majeur. «La dernière équipe à avoir gagné les Jeux africains est l'équipe de 1978. Gagner la médaille d'or à quelques mois du championnat d'Afrique est extrêmement important. Cela ne veut pas cependant dire qu'il faille dormir sur ses lauriers. L'objectif reste le Can. C'est heureux que le Dtn l'ait compris. On lui avait donné comme missions de gagner pour mettre tout le monde à l'aise et renforcer la confiance», souligne-t-il. Il a aussi annoncé que les travaux de construction d'une nouvelle salle à Béjaïa avance à un rythme satisfaisant. «Du côté de la fédération, on est favorable, il n'y a pas beaucoup de choses à faire. Il y a un nouvel entrepreneur qui va démarrer les travaux incessamment», renseigne-t-il. Les Algériennes, on le rappelle, tenteront de décrocher une deuxième bague de championnat d'Afrique lors du rendez-vous continental prévu du 21 au 30 septembre.