L'athlète marocain Aïssa Dghoughi, un spécialiste du 10.000 m suspendu, aurait assisté à la prise d'EPO par son compatriote Khalid Skah et fourni des produits dopants à plusieurs athlètes français, révèle le site internet du quotidien français Le Monde. Selon le site (lemonde.fr), Aïssa Dghoughi a fait parvenir, dans un courrier daté du 27 juin, à la commission médicale de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) -avec copie à l'Agence mondiale antidopage-, dans lequel il évoque un stage avec Khalid Skah, champion olympique du 10.000 m en 1992, où il aurait constaté que son compatriote "avait pris de l'EPO au moins de 2003 à 2005". Il se souvient aussi d'un autre stage à Ifrane, site marocain d'entraînement en altitude, en avril 2003, où Skah, Latifa Essarokh et Khalid Zoubaa auraient pris "sous (ses) yeux de l'EPO et des hormones de croissance." Aïssa Dghoughi affirme également que Skah a fourni des produits à Latifa Essarokh, ex-recordwoman de France du 1.500 m, et Khalid Zoubaa, ex-champion de France de cross-country, tandis que la manageuse allemande d'athlètes Dorothee Paulmann, ex-triathlète, fournirait "régulièrement" le Français Bouabdellah Tahri, ancien co-recordman d'Europe du 3.000 m steeple. Latifa Essarokh et Khalid Zoubaa purgent actuellement des suspensions respectives de deux et trois ans pour contrôles positifs à la nandrolone pour la première et à l'EPO pour le second. Selon Le Monde, Aïssa Dghoughi purge une suspension de trois ans, jusqu'en décembre 2009, après s'être soustrait à un contrôle antidopage inopiné. L'athlète marocain Aïssa Dghoughi, un spécialiste du 10.000 m suspendu, aurait assisté à la prise d'EPO par son compatriote Khalid Skah et fourni des produits dopants à plusieurs athlètes français, révèle le site internet du quotidien français Le Monde. Selon le site (lemonde.fr), Aïssa Dghoughi a fait parvenir, dans un courrier daté du 27 juin, à la commission médicale de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) -avec copie à l'Agence mondiale antidopage-, dans lequel il évoque un stage avec Khalid Skah, champion olympique du 10.000 m en 1992, où il aurait constaté que son compatriote "avait pris de l'EPO au moins de 2003 à 2005". Il se souvient aussi d'un autre stage à Ifrane, site marocain d'entraînement en altitude, en avril 2003, où Skah, Latifa Essarokh et Khalid Zoubaa auraient pris "sous (ses) yeux de l'EPO et des hormones de croissance." Aïssa Dghoughi affirme également que Skah a fourni des produits à Latifa Essarokh, ex-recordwoman de France du 1.500 m, et Khalid Zoubaa, ex-champion de France de cross-country, tandis que la manageuse allemande d'athlètes Dorothee Paulmann, ex-triathlète, fournirait "régulièrement" le Français Bouabdellah Tahri, ancien co-recordman d'Europe du 3.000 m steeple. Latifa Essarokh et Khalid Zoubaa purgent actuellement des suspensions respectives de deux et trois ans pour contrôles positifs à la nandrolone pour la première et à l'EPO pour le second. Selon Le Monde, Aïssa Dghoughi purge une suspension de trois ans, jusqu'en décembre 2009, après s'être soustrait à un contrôle antidopage inopiné.