Le myocarde, muscle du cœur, envoie à chaque contraction le sang dans la grande circulation. Ainsi, tous les organes du corps sont irrigués et alimentés en oxygène. Le myocarde, muscle du cœur, envoie à chaque contraction le sang dans la grande circulation. Ainsi, tous les organes du corps sont irrigués et alimentés en oxygène. L'infarctus du myocarde est dû à un arrêt de la vascularisation d'une partie du muscle cardiaque : une des artères coronaires (artères nourricières du cœur) se bouche à cause d'un thrombus, le muscle en aval de cette artère n'est plus irrigué, ne reçoit plus d'oxygène et évolue vers la nécrose si rien n'est entrepris dans les heures qui suivent. La douleur thoracique est le signe de l'infarctus du myocarde. L'infarctus du myocarde est la première cause de décès au monde selon l'OMS L'angine de poitrine, précurseur de l'infarctus du myocarde Avant que les artères ne se bouchent complètement, elles voient leur lumière se rétrécir progressivement. Une angine de poitrine (ou angor) peut se manifester. L'angine de poitrine est signe que le muscle cardiaque souffre d'une mauvaise irrigation et alors d'un manque d'oxygène, la douleur ne dure pas, elle cède au repos. Quand la maladie coronarienne est connue, elle est soulagée par la prise de médicaments que le patient porte sur lui, ce sont des dérivés nitrés qu'ils faut fondre sous la langue ou utiliser en spray. Quand une artère coronarienne se bouche complètement, la douleur ne cessera pas et ne sera pas ou mal soulagée par la prise de dérivés nitrés : c'est l'infarctus du myocarde. Il faut appeler un médecin sans tarder. Les causes de l'infarctus Le plus souvent il est dû à la présence de plaques d'athérome dans le cadre d'une athérosclérose ; ces plaques obstruent la lumière des artères et finissent par la boucher, elles peuvent se fondre et entraîner une agrégation des plaquettes et la formation d'un thrombus. L'hypertension, le tabac sont aussi des facteurs importants de risque d'infarctus. athérosclérose, hypertension artérielle, tabagisme, obésité, diabète, sédentarité, sont souvent associés et intriqués, ils favorisent tous l'infarctus du myocarde. Le stress qui entraîne une vaso-constriction des vaisseaux dont les vaisseaux coronariens n'arrange pas les choses. Un effort physique qui demande une augmentation du débit cardiaque et donc une augmentation du travail cardiaque (donc augmentation de la consommation d'oxygène) et de sa vascularisation peut favoriser l'apparition d'un infarctus. Les émotions, un facteur de risque Il y a souvent une prédisposition familiale ; toute douleur thoracique survenant chez un sujet dont un des parents a déjà fait un infarctus du myocarde ou a une angine de poitrine est suspecte. Rarement, certains patients, sans aucun facteur de risques décelé, peuvent aussi faire des infarctus du myocarde. Toute douleur thoracique doit faire penser à l'infarctus du myocarde et contacter un médecin. Il faut appeler un médecin devant une douleur thoracique. Celui-ci saura faire la part des choses dans la plupart des cas et éventuellement éliminer un infarctus : une crise d'angoisse, une affection pulmonaire, digestive, osseuse, ... La douleur d'infarctus myocardique est typiquement intense, rétro-sternale (derrière le sternum), à type de serrement, irradiant dans la mâchoire, l'épaule, le bras gauche allant même jusqu'au petit doigt ; elle est angoissante. Ailleurs, cette douleur peut être bâtarde, de diagnostic difficile, avec des signes digestifs comme des nausées voire des vomissements, même certains patients font des infarctus sans s'en rendre compte, sans aucune douleur, ce qui est assez fréquent chez les diabétiques. Elle peut être accompagnée de perte de connaissance. L'infarctus du myocarde est dû à un arrêt de la vascularisation d'une partie du muscle cardiaque : une des artères coronaires (artères nourricières du cœur) se bouche à cause d'un thrombus, le muscle en aval de cette artère n'est plus irrigué, ne reçoit plus d'oxygène et évolue vers la nécrose si rien n'est entrepris dans les heures qui suivent. La douleur thoracique est le signe de l'infarctus du myocarde. L'infarctus du myocarde est la première cause de décès au monde selon l'OMS L'angine de poitrine, précurseur de l'infarctus du myocarde Avant que les artères ne se bouchent complètement, elles voient leur lumière se rétrécir progressivement. Une angine de poitrine (ou angor) peut se manifester. L'angine de poitrine est signe que le muscle cardiaque souffre d'une mauvaise irrigation et alors d'un manque d'oxygène, la douleur ne dure pas, elle cède au repos. Quand la maladie coronarienne est connue, elle est soulagée par la prise de médicaments que le patient porte sur lui, ce sont des dérivés nitrés qu'ils faut fondre sous la langue ou utiliser en spray. Quand une artère coronarienne se bouche complètement, la douleur ne cessera pas et ne sera pas ou mal soulagée par la prise de dérivés nitrés : c'est l'infarctus du myocarde. Il faut appeler un médecin sans tarder. Les causes de l'infarctus Le plus souvent il est dû à la présence de plaques d'athérome dans le cadre d'une athérosclérose ; ces plaques obstruent la lumière des artères et finissent par la boucher, elles peuvent se fondre et entraîner une agrégation des plaquettes et la formation d'un thrombus. L'hypertension, le tabac sont aussi des facteurs importants de risque d'infarctus. athérosclérose, hypertension artérielle, tabagisme, obésité, diabète, sédentarité, sont souvent associés et intriqués, ils favorisent tous l'infarctus du myocarde. Le stress qui entraîne une vaso-constriction des vaisseaux dont les vaisseaux coronariens n'arrange pas les choses. Un effort physique qui demande une augmentation du débit cardiaque et donc une augmentation du travail cardiaque (donc augmentation de la consommation d'oxygène) et de sa vascularisation peut favoriser l'apparition d'un infarctus. Les émotions, un facteur de risque Il y a souvent une prédisposition familiale ; toute douleur thoracique survenant chez un sujet dont un des parents a déjà fait un infarctus du myocarde ou a une angine de poitrine est suspecte. Rarement, certains patients, sans aucun facteur de risques décelé, peuvent aussi faire des infarctus du myocarde. Toute douleur thoracique doit faire penser à l'infarctus du myocarde et contacter un médecin. Il faut appeler un médecin devant une douleur thoracique. Celui-ci saura faire la part des choses dans la plupart des cas et éventuellement éliminer un infarctus : une crise d'angoisse, une affection pulmonaire, digestive, osseuse, ... La douleur d'infarctus myocardique est typiquement intense, rétro-sternale (derrière le sternum), à type de serrement, irradiant dans la mâchoire, l'épaule, le bras gauche allant même jusqu'au petit doigt ; elle est angoissante. Ailleurs, cette douleur peut être bâtarde, de diagnostic difficile, avec des signes digestifs comme des nausées voire des vomissements, même certains patients font des infarctus sans s'en rendre compte, sans aucune douleur, ce qui est assez fréquent chez les diabétiques. Elle peut être accompagnée de perte de connaissance.