Le ministère de l'Agriculture a indiqué, jeudi dernier, que les prix du blé ne connaîtront pas d'augmentation sur le marché national en dépit de la hausse extraordinaire enregistrée sur le marché international ces derniers jours. Le ministère de l'Agriculture a indiqué, jeudi dernier, que les prix du blé ne connaîtront pas d'augmentation sur le marché national en dépit de la hausse extraordinaire enregistrée sur le marché international ces derniers jours. En effet, le prix d'un quintal de blé tendre vaut toujours 1.285 DA et les minotiers sont actuellement approvisionnés d'une manière régulière. Classée parmi les cinq premiers pays importateurs de blé dans le monde, l'Algérie a prévu d'importer plus de 5,1 millions de tonnes durant l'année en cours. De janvier à juin 2007, elle a importé pas moins de 2,53 millions de tonnes de blé tandis qu'à la même période en 2006, elle en a importé 2,67 millions de tonnes, selon des statistiques fournies par les Douanes algériennes. La baisse du volume des importations du blé n'est pas cependant proportionnelle au montant de la facture payée. En effet, si les chiffres officiels relèvent une diminution de 137. 000 tonnes de blé la facture, par contre, a connu une hausse substantielle, passant ainsi de 528,72 millions de dollars durant les six premiers mois de l'année 2006 à près de 590 millions de dollars de la même période en 2007. La hausse de la facture du blé s'explique notamment par l'envolée des cours mondiaux qui dopent la valeur de cette denrée alimentaire de première nécessité pour de nombreux pays, tels que l'Algérie, l'Egypte et le Brésil. La France et les Etats-Unis d'Amérique sont les principaux fournisseurs de blé pour l'Algérie. La France a exporté vers notre pays plus de 293.000 tonnes durant le premier semestre de l'année en cours pour un montant de près de 80 millions de dollars. Les prix du blé ont commencé à grimper sur le marché international dès jeudi dernier en raison, notamment, des stocks mondiaux qui ont enregistré une diminution. La tendance à la hausse des cours de la tonne de blé est toujours évidente à cause du recours aux réserves stratégiques mondiales, selon les prévisions. La semaine dernière, la tonne de blé était cotée à plus de 220 euros sur le marché européen, soit le seuil historique le plus haut, après avoir été majorée de 7 euros. A ce rythme effréné d'augmentation des prix internationaux, les observateurs craignent des émeutes dues à la faim dans certains pays pauvres, notamment ceux d'Afrique subsaharienne. Pour les analystes, des pénuries sont susceptibles de se produire dans les prochains mois dans le cas où les stocks mondiaux subissent une forte diminution, d'où des risques d'épuisement léger des réserves stratégiques mondiales. Par ailleurs, le prix de la tonne de blé standard valait 223 euros la semaine précédente, alors que la tonne de blé de qualité supérieure coûtait 230 euros la tonne. La sécheresse, les changements climatiques, les inondations et le début d'effritement des stocks mondiaux des céréales sont à l'origine de l'envolée des prix sur le marché international. En effet, le prix d'un quintal de blé tendre vaut toujours 1.285 DA et les minotiers sont actuellement approvisionnés d'une manière régulière. Classée parmi les cinq premiers pays importateurs de blé dans le monde, l'Algérie a prévu d'importer plus de 5,1 millions de tonnes durant l'année en cours. De janvier à juin 2007, elle a importé pas moins de 2,53 millions de tonnes de blé tandis qu'à la même période en 2006, elle en a importé 2,67 millions de tonnes, selon des statistiques fournies par les Douanes algériennes. La baisse du volume des importations du blé n'est pas cependant proportionnelle au montant de la facture payée. En effet, si les chiffres officiels relèvent une diminution de 137. 000 tonnes de blé la facture, par contre, a connu une hausse substantielle, passant ainsi de 528,72 millions de dollars durant les six premiers mois de l'année 2006 à près de 590 millions de dollars de la même période en 2007. La hausse de la facture du blé s'explique notamment par l'envolée des cours mondiaux qui dopent la valeur de cette denrée alimentaire de première nécessité pour de nombreux pays, tels que l'Algérie, l'Egypte et le Brésil. La France et les Etats-Unis d'Amérique sont les principaux fournisseurs de blé pour l'Algérie. La France a exporté vers notre pays plus de 293.000 tonnes durant le premier semestre de l'année en cours pour un montant de près de 80 millions de dollars. Les prix du blé ont commencé à grimper sur le marché international dès jeudi dernier en raison, notamment, des stocks mondiaux qui ont enregistré une diminution. La tendance à la hausse des cours de la tonne de blé est toujours évidente à cause du recours aux réserves stratégiques mondiales, selon les prévisions. La semaine dernière, la tonne de blé était cotée à plus de 220 euros sur le marché européen, soit le seuil historique le plus haut, après avoir été majorée de 7 euros. A ce rythme effréné d'augmentation des prix internationaux, les observateurs craignent des émeutes dues à la faim dans certains pays pauvres, notamment ceux d'Afrique subsaharienne. Pour les analystes, des pénuries sont susceptibles de se produire dans les prochains mois dans le cas où les stocks mondiaux subissent une forte diminution, d'où des risques d'épuisement léger des réserves stratégiques mondiales. Par ailleurs, le prix de la tonne de blé standard valait 223 euros la semaine précédente, alors que la tonne de blé de qualité supérieure coûtait 230 euros la tonne. La sécheresse, les changements climatiques, les inondations et le début d'effritement des stocks mondiaux des céréales sont à l'origine de l'envolée des prix sur le marché international.