Cinq personnes ont été tuées dans des violences survenues entre vendredi soir et hier matin à Mogadiscio, rapportent des agences, citant des témoins. Mahad Ahmed Elmi, un journaliste qui travaillait pour le média local privé Horn Afrik (deux stations de radio et une chaîne de télévision), a été tué hier matin par des hommes armés non identifiés, alors qu'il se rendait à la radio. Vendredi soir, quatre fonctionnaires ont été tués par balles dans le quartier de Suqba'ad, dans le nord de la capitale somalienne, selon les mêmes sources. Ces derniers avaient été nommés récemment par le gouvernement somalien pour travailler dans l'administration locale du village d'El-Baraf, situé à 130 km au nord de Mogadiscio, selon un policier, Nur Adan Madey. La Somalie, pays de la Corne de l'Afrique, est ravagée par la guerre civile depuis 1991. Mogadiscio est le théâtre d'attaques quasi quotidiennes depuis la chute, il y a près de huit mois, des milices des tribunaux islamiques, qui ont perdu les régions qu'ils contrôlaient en 2006. Ces derniers ont été défaits après l'intervention de l'armée éthiopienne qui soutient les forces du gouvernement transitoire somalien. Cinq personnes ont été tuées dans des violences survenues entre vendredi soir et hier matin à Mogadiscio, rapportent des agences, citant des témoins. Mahad Ahmed Elmi, un journaliste qui travaillait pour le média local privé Horn Afrik (deux stations de radio et une chaîne de télévision), a été tué hier matin par des hommes armés non identifiés, alors qu'il se rendait à la radio. Vendredi soir, quatre fonctionnaires ont été tués par balles dans le quartier de Suqba'ad, dans le nord de la capitale somalienne, selon les mêmes sources. Ces derniers avaient été nommés récemment par le gouvernement somalien pour travailler dans l'administration locale du village d'El-Baraf, situé à 130 km au nord de Mogadiscio, selon un policier, Nur Adan Madey. La Somalie, pays de la Corne de l'Afrique, est ravagée par la guerre civile depuis 1991. Mogadiscio est le théâtre d'attaques quasi quotidiennes depuis la chute, il y a près de huit mois, des milices des tribunaux islamiques, qui ont perdu les régions qu'ils contrôlaient en 2006. Ces derniers ont été défaits après l'intervention de l'armée éthiopienne qui soutient les forces du gouvernement transitoire somalien.