Le transfert des dossiers de logement de l'AADL (Agence pour l'amélioration et le développement du logement vers la CNEP (Caisse nationale d'épargne et de prévoyance) a suscité l'incompréhension et l'inquiétude de nombreux postulants à la formule proposée par l'AADL. En effet, en plus des augmentations des prix des logements en rapport avec la hausse des cours des matériaux de construction, les candidats au logement commencent à craindre le pire, sachant que les conditions d'attribution de logements par la CNEP sont difficiles et draconiennes. Selon le communiqué du ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme, les programmes de construction de l'AADL font ressortir que 18.140 logements du quota de 2001 ont déjà été réalisés et livrés, soit 90%, tandis que le programme de 2002 a rencontré de nombreuses contraintes d'où le retard dans l'achèvement de la construction sur les 35.000 logements prévus dans ce programme. Seulement 7.300 logements ont pu être terminés et livrés, soit 22 %, alors que plus de 10.700 autres seront réceptionnés avant la fin de l'année 2007. Au courant de l'année 2008, l'AADL assurera la livraison des autres logements de ce programme 2002. Et ce n'est qu'en 2009 que les logements en retard de construction, faisant partie du reliquat, seront livrés à leurs destinataires. Rappelons que la direction générale de l'AADL a annoncé les différentes mesures et actions à entreprendre pour la relance des chantiers accusant un retard de construction et en butte à des difficultés. Ainsi, le programme AADL indique que l'ensemble des listes des personnes concernées par le programme AADL-CNEP, ainsi que les listes des postulants renvoyés aux programmes futurs, ont fait l'objet d'une transmission à la CNEP. Pour pallier toute éventualité relative au retard de réalisation, l'AADL a planifié des actions pour l'accélération des chantiers en difficulté. Ainsi, les chantiers de Das Chaâbane et de Belle-Vue de Aïn Benian ont été confiés récemment à l'entreprise chinoise ZCIGC pour un délai de réalisation ne dépassant pas 22 mois. Celle-ci est également chargée de mener à bien les travaux de chantier de Boumati pour un échéancier de 15 mois. Le marché de la réalisation de 580 logements de Bachdjarah sera attribué à l'entreprise chinoise CSCEC. Pour ce qui est du site d'El-Achour, le délai de réalisation est de 24 mois à compter de juin 2006. Par ailleurs, l'AADL ajoute que le chantier de Souidania comportera seulement 120 logements au lieu des 190 initialement prévus en raison de la réduction des dimensions et du gabarit des logements. Enfin, concernant les sites de Draria 2 et 3, les travaux de construction ont été confiés à l'entreprise Guansha depuis une année avec un échéancier de 20 mois pour chacun des deux chantiers. Le transfert des dossiers de l'AADL vers la banque du logement, la CNEP, risque, néanmoins, de désavantager plusieurs postulants, sachant que si la CNEP applique les mêmes conditions d'attribution que celles datant des années 1990, une personne ayant déjà bénéficié d'un prêt CNEP pourrait priver un autre membre de sa famille (frère ou sœur par exemple) des avantages d'accès au logement CNEP. Autrement dit, le prêt CNEP logement ne s'applique qu'à une seule personne dans une même famille. Le transfert des dossiers de logement de l'AADL (Agence pour l'amélioration et le développement du logement vers la CNEP (Caisse nationale d'épargne et de prévoyance) a suscité l'incompréhension et l'inquiétude de nombreux postulants à la formule proposée par l'AADL. En effet, en plus des augmentations des prix des logements en rapport avec la hausse des cours des matériaux de construction, les candidats au logement commencent à craindre le pire, sachant que les conditions d'attribution de logements par la CNEP sont difficiles et draconiennes. Selon le communiqué du ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme, les programmes de construction de l'AADL font ressortir que 18.140 logements du quota de 2001 ont déjà été réalisés et livrés, soit 90%, tandis que le programme de 2002 a rencontré de nombreuses contraintes d'où le retard dans l'achèvement de la construction sur les 35.000 logements prévus dans ce programme. Seulement 7.300 logements ont pu être terminés et livrés, soit 22 %, alors que plus de 10.700 autres seront réceptionnés avant la fin de l'année 2007. Au courant de l'année 2008, l'AADL assurera la livraison des autres logements de ce programme 2002. Et ce n'est qu'en 2009 que les logements en retard de construction, faisant partie du reliquat, seront livrés à leurs destinataires. Rappelons que la direction générale de l'AADL a annoncé les différentes mesures et actions à entreprendre pour la relance des chantiers accusant un retard de construction et en butte à des difficultés. Ainsi, le programme AADL indique que l'ensemble des listes des personnes concernées par le programme AADL-CNEP, ainsi que les listes des postulants renvoyés aux programmes futurs, ont fait l'objet d'une transmission à la CNEP. Pour pallier toute éventualité relative au retard de réalisation, l'AADL a planifié des actions pour l'accélération des chantiers en difficulté. Ainsi, les chantiers de Das Chaâbane et de Belle-Vue de Aïn Benian ont été confiés récemment à l'entreprise chinoise ZCIGC pour un délai de réalisation ne dépassant pas 22 mois. Celle-ci est également chargée de mener à bien les travaux de chantier de Boumati pour un échéancier de 15 mois. Le marché de la réalisation de 580 logements de Bachdjarah sera attribué à l'entreprise chinoise CSCEC. Pour ce qui est du site d'El-Achour, le délai de réalisation est de 24 mois à compter de juin 2006. Par ailleurs, l'AADL ajoute que le chantier de Souidania comportera seulement 120 logements au lieu des 190 initialement prévus en raison de la réduction des dimensions et du gabarit des logements. Enfin, concernant les sites de Draria 2 et 3, les travaux de construction ont été confiés à l'entreprise Guansha depuis une année avec un échéancier de 20 mois pour chacun des deux chantiers. Le transfert des dossiers de l'AADL vers la banque du logement, la CNEP, risque, néanmoins, de désavantager plusieurs postulants, sachant que si la CNEP applique les mêmes conditions d'attribution que celles datant des années 1990, une personne ayant déjà bénéficié d'un prêt CNEP pourrait priver un autre membre de sa famille (frère ou sœur par exemple) des avantages d'accès au logement CNEP. Autrement dit, le prêt CNEP logement ne s'applique qu'à une seule personne dans une même famille.