Dans l'objectif de renforcer la coopération scientifique entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique et promouvoir les échanges multiformes entre les deux communautés, un groupe de chercheurs scientifiques et de médecins algériens ont lancé, samedi à New York, l'Association algéro-américaine des scientifiques (AASA). Unissant des professionnels de la santé, chercheurs, ingénieurs et scientifiques algériens activant aux Etats-Unis, l'AASA se veut un pont entre les deux communautés pour asseoir des liens d'échanges et de coopération dans les différents domaines de compétences de ses membres, tant en Algérie qu'aux Etats-Unis et de promouvoir la recherche scientifique dans notre pays en associant nos spécialistes à des programmes développés aux Etats-Unis. Cette association est née suite à l'initiative de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), dirigée par le Pr Mustapha Khiati, qui a réuni en avril dernier une cinquantaine de chercheurs et scientifiques algériens établis à l'étranger avec leurs collègues en Algérie et des institutions de l'Etat pour examiner les moyens permettant de jeter des passerelles entre eux. En effet, entre 30.000 à 100.000 chercheurs algériens, activant dans de multiples domaines, notamment le management, les nouvelles technologies, la médecine, les banques, la biotechnologie et les énergies renouvelables, sont établis à l'étranger. Les principaux pays d'accueil sont ceux de l'Europe, le Canada, la Chine, les pays du Golfe et les Etats-Unis. Dans seulement ce dernier pays, pas moins de 10.000 scientifiques algériens ont été recensés entre 2000 et 2005. Face à ce phénomène de fuite de la matière grise algérienne, qui devient de plus en plus importante et surtout inquiétante, la Forem avait proposé de mettre en place un réseau de contacts entre ces scientifiques et chercheurs algériens résidant à l'étranger et leurs homologues algériens, d'une part, et créer une interface qui facilitera le contact avec les responsables des institutions de la République et les opérateurs économiques publics et privés d'autre part. L'Algérie et les Etats-Unis ont, rappelons-le, signé en 2006 à Alger un accord de coopération dans les domaines scientifique et technique qui établit, depuis, un certain nombre de passerelles entre les communautés algérienne et américaine. La Forem et le Centre national américain pour la santé (NIH) ont lancé, depuis, différentes actions d'échanges et de coopération. Selon le docteur Azzedine Medhkour, un des membres fondateurs de l'AASA, le travail de cette dernière se concentrera particulièrement sur certains domaines de santé publique comme la cancérologie, les maladies infectieuses, la traumatologie des adultes et de l'enfant, la cardiologie et la chirurgie. Ces thèmes seront développés, selon M. Medhkour, en novembre prochain lors de la rencontre algéro-américaine qu'organisera la Forem, avec des propositions concrètes par une délégation qui représentera l'association. En plus de cette participation, le Dr Medhkour indique que l'AASA compte, avec la collaboration d'organismes en faveur de la recherche médicale, d'hôpitaux et autres laboratoires aux Etats-Unis, initier des conférences, des stages de courte durée et des échanges multiformes pour développer et améliorer les compétences algériennes, leur donner la possibilité d'accéder aux outils modernes et organiser les contacts et les échanges. Dans l'objectif de renforcer la coopération scientifique entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique et promouvoir les échanges multiformes entre les deux communautés, un groupe de chercheurs scientifiques et de médecins algériens ont lancé, samedi à New York, l'Association algéro-américaine des scientifiques (AASA). Unissant des professionnels de la santé, chercheurs, ingénieurs et scientifiques algériens activant aux Etats-Unis, l'AASA se veut un pont entre les deux communautés pour asseoir des liens d'échanges et de coopération dans les différents domaines de compétences de ses membres, tant en Algérie qu'aux Etats-Unis et de promouvoir la recherche scientifique dans notre pays en associant nos spécialistes à des programmes développés aux Etats-Unis. Cette association est née suite à l'initiative de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), dirigée par le Pr Mustapha Khiati, qui a réuni en avril dernier une cinquantaine de chercheurs et scientifiques algériens établis à l'étranger avec leurs collègues en Algérie et des institutions de l'Etat pour examiner les moyens permettant de jeter des passerelles entre eux. En effet, entre 30.000 à 100.000 chercheurs algériens, activant dans de multiples domaines, notamment le management, les nouvelles technologies, la médecine, les banques, la biotechnologie et les énergies renouvelables, sont établis à l'étranger. Les principaux pays d'accueil sont ceux de l'Europe, le Canada, la Chine, les pays du Golfe et les Etats-Unis. Dans seulement ce dernier pays, pas moins de 10.000 scientifiques algériens ont été recensés entre 2000 et 2005. Face à ce phénomène de fuite de la matière grise algérienne, qui devient de plus en plus importante et surtout inquiétante, la Forem avait proposé de mettre en place un réseau de contacts entre ces scientifiques et chercheurs algériens résidant à l'étranger et leurs homologues algériens, d'une part, et créer une interface qui facilitera le contact avec les responsables des institutions de la République et les opérateurs économiques publics et privés d'autre part. L'Algérie et les Etats-Unis ont, rappelons-le, signé en 2006 à Alger un accord de coopération dans les domaines scientifique et technique qui établit, depuis, un certain nombre de passerelles entre les communautés algérienne et américaine. La Forem et le Centre national américain pour la santé (NIH) ont lancé, depuis, différentes actions d'échanges et de coopération. Selon le docteur Azzedine Medhkour, un des membres fondateurs de l'AASA, le travail de cette dernière se concentrera particulièrement sur certains domaines de santé publique comme la cancérologie, les maladies infectieuses, la traumatologie des adultes et de l'enfant, la cardiologie et la chirurgie. Ces thèmes seront développés, selon M. Medhkour, en novembre prochain lors de la rencontre algéro-américaine qu'organisera la Forem, avec des propositions concrètes par une délégation qui représentera l'association. En plus de cette participation, le Dr Medhkour indique que l'AASA compte, avec la collaboration d'organismes en faveur de la recherche médicale, d'hôpitaux et autres laboratoires aux Etats-Unis, initier des conférences, des stages de courte durée et des échanges multiformes pour développer et améliorer les compétences algériennes, leur donner la possibilité d'accéder aux outils modernes et organiser les contacts et les échanges.