A l'approche du mois sacré du ramadan, une période où l'activité commerciale connaît habituellement une grande expansion suite essentiellement à une forte demande des ménages en produits alimentaires, les pouvoirs publics, à leur tête le ministère du Commerce, tentent de se préparer à accueillir cet événement avec une réelle et efficace politique d'organisation du marché. Jusqu'à cette date et malgré les efforts entrepris dans ce sens, le marché algérien souffre toujours d'une anarchie dominante. Plusieurs actions de lutte contre l'informel et la désorganisation qui règnent sur les espaces constituant nos marchés sont entreprises. Une nouvelle politique qui semble efficace a été adoptée par le ministère du Commerce. Cette démarche consiste en la construction de marchés couverts qui seront mis en place afin de venir définitivement à bout de la désorganisation du marché. Cette opération est le fruit d'un vaste programme national d'urbanisation commerciale entamé par les collectivités locales et piloté par le ministère du Commerce. Ce programme contient un double objectif, a indiqué M. El-Hachemi Djaâboub, ministre du Commerce, dans une récente déclaration. En effet, éradiquer le marché informel et fixer les populations locales sont les principaux objectifs de ce programme entamé il y a de cela une année. Ce programme ne touche pas uniquement les marchés situés au niveau de la capitale, il concerne également l'ensemble des marchés au niveau de toutes les wilayas. En effet, le ministre du Commerce, lors de sa dernière visite de travail à Zéralda, a inspecté quatre projets de construction de marchés couverts programmés dans la daïra de Zéralda dans le cadre de la lutte contre le commerce informel, et qui ouvriront avant le mois de ramadan. Cet investissement, déclare le ministre, coûtera à l'Etat pas moins de 60 millions de dinars, soit 15 millions de dinars par marché. Une autre solution proposée par le ministère en vue de l'éradication du marché informel consiste en la programmation de plusieurs marchés de proximité qui seront réalisés au cours de cette année. Plusieurs communes sont déjà visées, en l'occurrence à Birtouta, à El-Madania, à El-Harrach, aux Eucalyptus, à Bordj El-Kiffan et, enfin, à Bordj El-Bahri. A cet effet, le ministère du Commerce appelle les investisseurs privés à s'intéresser à ce créneau, d'autant plus que le schéma national directeur, qui sera adopté prochainement par le gouvernement, prévoit un programme national pour la réalisation de marchés de gros, à partir de 2008. Sur ce registre, trois grands marchés de fruits et légumes à vocation nationale sont déjà inscrits, dans le Centre, l'Est et l'Ouest du pays. Ainsi que la programmation de la construction de plusieurs autres marchés de gros, à vocation locale. A l'approche du mois sacré du ramadan, une période où l'activité commerciale connaît habituellement une grande expansion suite essentiellement à une forte demande des ménages en produits alimentaires, les pouvoirs publics, à leur tête le ministère du Commerce, tentent de se préparer à accueillir cet événement avec une réelle et efficace politique d'organisation du marché. Jusqu'à cette date et malgré les efforts entrepris dans ce sens, le marché algérien souffre toujours d'une anarchie dominante. Plusieurs actions de lutte contre l'informel et la désorganisation qui règnent sur les espaces constituant nos marchés sont entreprises. Une nouvelle politique qui semble efficace a été adoptée par le ministère du Commerce. Cette démarche consiste en la construction de marchés couverts qui seront mis en place afin de venir définitivement à bout de la désorganisation du marché. Cette opération est le fruit d'un vaste programme national d'urbanisation commerciale entamé par les collectivités locales et piloté par le ministère du Commerce. Ce programme contient un double objectif, a indiqué M. El-Hachemi Djaâboub, ministre du Commerce, dans une récente déclaration. En effet, éradiquer le marché informel et fixer les populations locales sont les principaux objectifs de ce programme entamé il y a de cela une année. Ce programme ne touche pas uniquement les marchés situés au niveau de la capitale, il concerne également l'ensemble des marchés au niveau de toutes les wilayas. En effet, le ministre du Commerce, lors de sa dernière visite de travail à Zéralda, a inspecté quatre projets de construction de marchés couverts programmés dans la daïra de Zéralda dans le cadre de la lutte contre le commerce informel, et qui ouvriront avant le mois de ramadan. Cet investissement, déclare le ministre, coûtera à l'Etat pas moins de 60 millions de dinars, soit 15 millions de dinars par marché. Une autre solution proposée par le ministère en vue de l'éradication du marché informel consiste en la programmation de plusieurs marchés de proximité qui seront réalisés au cours de cette année. Plusieurs communes sont déjà visées, en l'occurrence à Birtouta, à El-Madania, à El-Harrach, aux Eucalyptus, à Bordj El-Kiffan et, enfin, à Bordj El-Bahri. A cet effet, le ministère du Commerce appelle les investisseurs privés à s'intéresser à ce créneau, d'autant plus que le schéma national directeur, qui sera adopté prochainement par le gouvernement, prévoit un programme national pour la réalisation de marchés de gros, à partir de 2008. Sur ce registre, trois grands marchés de fruits et légumes à vocation nationale sont déjà inscrits, dans le Centre, l'Est et l'Ouest du pays. Ainsi que la programmation de la construction de plusieurs autres marchés de gros, à vocation locale.