La ville de Béjaïa abrite le deuxième Festival national de la chanson patriotique, du 16 au 20 août 2007. C'est l'occasion de célébrer le 51e anniversaire du fameux congrès de la Soummam. Un congrès qui mettra les premiers jalons d'un Etat démocratique. C'est aussi une opportunité pour qu'il y ait un échange culturel entre les jeunes du pays. Les participants à ces festivités viennent des quatre coins d'Algérie. Un programme riche est prévu durant toute une semaine : chants patriotiques, danses folkloriques, expositions, récitals poétiques, pièces théâtrales… La capitale des Hamadites se réveille tôt, ce jeudi, sur les rythmes captivants de la musique folklorique. La rue principale de la ville est noire de monde. Les différentes troupes artistiques défilent du siège de la wilaya jusqu'à la maison de la culture Taous Amrouche. Une grande marée humaine qui rappelle les moments forts du mouvement citoyen, où des centaines de milliers de personnes descendaient dans la rue, pour un lendemain meilleur. Aujourd'hui, c'est la fête qui supplante la contestation, peut-être que l'action artistique fera bouger les choses dans le bon sens. Le grand écrivain russe, Fédor Dostoïevski, disait que la beauté sauvera le monde. Peut-être que l'art, avec toute sa splendeur et sa profondeur humaine, sera une force salvatrice pour l'Algérie. La ville de Béjaïa abrite le deuxième Festival national de la chanson patriotique, du 16 au 20 août 2007. C'est l'occasion de célébrer le 51e anniversaire du fameux congrès de la Soummam. Un congrès qui mettra les premiers jalons d'un Etat démocratique. C'est aussi une opportunité pour qu'il y ait un échange culturel entre les jeunes du pays. Les participants à ces festivités viennent des quatre coins d'Algérie. Un programme riche est prévu durant toute une semaine : chants patriotiques, danses folkloriques, expositions, récitals poétiques, pièces théâtrales… La capitale des Hamadites se réveille tôt, ce jeudi, sur les rythmes captivants de la musique folklorique. La rue principale de la ville est noire de monde. Les différentes troupes artistiques défilent du siège de la wilaya jusqu'à la maison de la culture Taous Amrouche. Une grande marée humaine qui rappelle les moments forts du mouvement citoyen, où des centaines de milliers de personnes descendaient dans la rue, pour un lendemain meilleur. Aujourd'hui, c'est la fête qui supplante la contestation, peut-être que l'action artistique fera bouger les choses dans le bon sens. Le grand écrivain russe, Fédor Dostoïevski, disait que la beauté sauvera le monde. Peut-être que l'art, avec toute sa splendeur et sa profondeur humaine, sera une force salvatrice pour l'Algérie.