Lors de l'assemblée ordinaire de la commune de Annaba, les 39 élus issus de différents courants politiques ont retiré leur confiance au maire de Annaba, en l'occurrence K. N. C'est après la suspension et une notification dûment signée par le wali de Annaba dans laquelle il a été mis fin aux fonctions du P/APC de la commune de Annaba que cette session ordinaire a été provoquée, mercredi dernier. Celle-ci s'est soldée par le retrait de confiance au maire de la 4e ville d'Algérie pour de nombreux motifs. Plusieurs griefs ont été retenus contre le P/APC de Annaba et l'enquête déclenchée par le tribunal de Tarf déterminera les tenants et aboutissants de cette affaire qui a défrayé la chronique. Le choix d'El-Taref n'est pas fortuit, car chaque maire est considéré comme étant un officier d'état civil dans sa circonscription. D'ailleurs, cette qualité lui a été enlevée et il a été destitué de celle-ci par le procureur du tribunal de Tarf compétent de la cour de Annaba. En attendant son remplaçant, officiellement, le maire de Annaba a été suspendu et exclu de l'assemblée conformément à l'article 32 du code communal. Selon les premiers éléments de l'enquête, il est reproché au maire de Annaba d'avoir octroyé un marché suivantla formule du gré à gré à un bureau d'études pour la révision de l'organisation communale. Ce marché considéré complaisant est de l'ordre de 400 millions de centimes octroyés à une de ses connaissances. Lors de l'assemblée ordinaire de la commune de Annaba, les 39 élus issus de différents courants politiques ont retiré leur confiance au maire de Annaba, en l'occurrence K. N. C'est après la suspension et une notification dûment signée par le wali de Annaba dans laquelle il a été mis fin aux fonctions du P/APC de la commune de Annaba que cette session ordinaire a été provoquée, mercredi dernier. Celle-ci s'est soldée par le retrait de confiance au maire de la 4e ville d'Algérie pour de nombreux motifs. Plusieurs griefs ont été retenus contre le P/APC de Annaba et l'enquête déclenchée par le tribunal de Tarf déterminera les tenants et aboutissants de cette affaire qui a défrayé la chronique. Le choix d'El-Taref n'est pas fortuit, car chaque maire est considéré comme étant un officier d'état civil dans sa circonscription. D'ailleurs, cette qualité lui a été enlevée et il a été destitué de celle-ci par le procureur du tribunal de Tarf compétent de la cour de Annaba. En attendant son remplaçant, officiellement, le maire de Annaba a été suspendu et exclu de l'assemblée conformément à l'article 32 du code communal. Selon les premiers éléments de l'enquête, il est reproché au maire de Annaba d'avoir octroyé un marché suivantla formule du gré à gré à un bureau d'études pour la révision de l'organisation communale. Ce marché considéré complaisant est de l'ordre de 400 millions de centimes octroyés à une de ses connaissances.