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Règles du jeu (3e partie et fin)
Publié dans Le Midi Libre le 02 - 09 - 2007


Touche :
L'objectif premier de l'équipe qui défend est de stopper le porteur du ballon et de l'amener au sol afin de lui chiper l'ovale. Un joueur peut donc plaquer son adversaire en l'attrapant par les jambes et en l'attirant au sol. Là, il doit immédiatement lâcher le ballon afin d'assurer la continuité de l'action. Ce qui emmène souvent les joueurs à constituer ce que l'on appelle une mêlée ouverte (ruck) pour avoir la mainmise sur la balle. Ce sont des temps de jeu où la force et l'abnégation jouent un rôle essentiel.
Lorsque le ballon n'arrive pas à s'extraire de la mêlée ouverte ou qu'une faute a été commise, l'arbitre siffle et ordonne la constitution d'une mêlée ordonnée. Selon un rituel précis, les huit puissants avants (le pack) de chaque équipe se lient en formant un impressionnant amas de chairs et de muscles. Le demi de mêlée de l'équipe à qui profite la faute introduit le ballon dans le couloir entre les deux packs. Ce qui déclenche la poussée des seize rugbymen. Les talonneurs doivent alors, avec leurs pieds, pousser le ballon dans leur camp. Phase la plus intense du rugby, la mêlée ordonnée est, pour chaque équipe, l'occasion de faire une démonstration de sa force afin d'impressionner l'adversaire…
Quand le ballon sort de l'aire de jeu par les côtés, il y a touche. L'arbitre ordonne alors un alignement de joueurs (entre deux et huit) face à l'endroit exact où le ballon ou son porteur ont franchi la ligne. Le ballon est lancé dans le couloir de 1 m entre les deux alignements par le talonneur de l'équipe qui n'a pas fauté. Les deux groupes se défient en sautant dans les airs afin de tenter de ramener la balle dans leur camp.
Attention au hors-jeu !
Puisque le principe de base du rugby veut que l'on transmette à la main le ballon ovale de l'avant vers l'arrière, les joueurs de l'équipe possédant la balle doivent naturellement se tenir derrière l'homme qui tient l'ovale de cuir. Car s'ils se situent devant lui, ils sont hors-jeu et ne peuvent prétendre participer à l'action en cours. De même, l'équipe qui défend ne doit sous aucun prétexte aller au-delà de la ligne imaginaire formée par le porteur de ballon adverse.
Essais, drops, transformations, pénalités…
Il y a essai quand l'équipe a porté le ballon dans l'en-but adverse et l'a posé sur le sol en y appliquant une pression de haut en bas. L'essai rapporte aujourd'hui cinq points. Mais il n'en a pas toujours été ainsi : à l'origine du rugby, l'essai donnait simplement le droit à l'équipe de taper au but en faisant passer le ballon entre les poteaux. Les joueurs adverses pouvaient même monter sur les barres afin d'empêcher le ballon d'y passer !
Aujourd'hui, après avoir marqué l'essai, le buteur de l'équipe tente la transformation en tapant le ballon entre les poteaux et au-dessus de la barre du but adverse. En cas de réussite, l'action rapporte deux points supplémentaires à l'équipe qui le réussit. Au cours du jeu, s'il estime être bien placé, un joueur peut tenter, d'un coup de pied, de passer le ballon entre les poteaux. Pour ce faire, il frappe avec son pied la balle qui aura préalablement rebondi sur le sol, c'est le drop goal.
Enfin, une faute commise par l'une des équipes provoque un arrêt du jeu. Ce qui, parfois, donne l'opportunité à l'équipe adverse de taper un coup de pied de pénalité. Celui-ci se fait le ballon posé au sol, le joueur prenant de l'élan avant la frappe. Comme pour un drop goal, le ballon doit passer entre les poteaux et au-dessus de la barre du but adverse. Un essai de pénalité peut être accordé si les défenseurs commettent une faute volontaire d'anti-jeu sur l'équipe attaquante, alors en mesure de marquer. Dans ce cas, la transformation se fait face aux poteaux.
Le rôle crucial des arbitres :
Il y a trois arbitres sur le terrain. L'un officie au centre du terrain, c'est l'arbitre principal. Son autorité sur les joueurs est considérable et ses décisions sont peu contestées. Il peut sanctionner tout acte d'anti-jeu par une exclusion temporaire (dix minutes) ou définitive du joueur fautif. Si l'une des équipes remet en cause de manière virulente l'une de ses décisions, il peut sanctionner cette attitude en faisant avancer l'équipe adverse d'une dizaine de mètres. Ses deux assistants sont placés le long des lignes de touche. Ils décident des touches et aident l'arbitre principal lors des actions de jeu confuses. Plus récemment, l'arbitrage vidéo s'est imposé dans le rugby. Son principal rôle est d'aider un arbitre principal à valider ou non un essai.
Touche :
L'objectif premier de l'équipe qui défend est de stopper le porteur du ballon et de l'amener au sol afin de lui chiper l'ovale. Un joueur peut donc plaquer son adversaire en l'attrapant par les jambes et en l'attirant au sol. Là, il doit immédiatement lâcher le ballon afin d'assurer la continuité de l'action. Ce qui emmène souvent les joueurs à constituer ce que l'on appelle une mêlée ouverte (ruck) pour avoir la mainmise sur la balle. Ce sont des temps de jeu où la force et l'abnégation jouent un rôle essentiel.
Lorsque le ballon n'arrive pas à s'extraire de la mêlée ouverte ou qu'une faute a été commise, l'arbitre siffle et ordonne la constitution d'une mêlée ordonnée. Selon un rituel précis, les huit puissants avants (le pack) de chaque équipe se lient en formant un impressionnant amas de chairs et de muscles. Le demi de mêlée de l'équipe à qui profite la faute introduit le ballon dans le couloir entre les deux packs. Ce qui déclenche la poussée des seize rugbymen. Les talonneurs doivent alors, avec leurs pieds, pousser le ballon dans leur camp. Phase la plus intense du rugby, la mêlée ordonnée est, pour chaque équipe, l'occasion de faire une démonstration de sa force afin d'impressionner l'adversaire…
Quand le ballon sort de l'aire de jeu par les côtés, il y a touche. L'arbitre ordonne alors un alignement de joueurs (entre deux et huit) face à l'endroit exact où le ballon ou son porteur ont franchi la ligne. Le ballon est lancé dans le couloir de 1 m entre les deux alignements par le talonneur de l'équipe qui n'a pas fauté. Les deux groupes se défient en sautant dans les airs afin de tenter de ramener la balle dans leur camp.
Attention au hors-jeu !
Puisque le principe de base du rugby veut que l'on transmette à la main le ballon ovale de l'avant vers l'arrière, les joueurs de l'équipe possédant la balle doivent naturellement se tenir derrière l'homme qui tient l'ovale de cuir. Car s'ils se situent devant lui, ils sont hors-jeu et ne peuvent prétendre participer à l'action en cours. De même, l'équipe qui défend ne doit sous aucun prétexte aller au-delà de la ligne imaginaire formée par le porteur de ballon adverse.
Essais, drops, transformations, pénalités…
Il y a essai quand l'équipe a porté le ballon dans l'en-but adverse et l'a posé sur le sol en y appliquant une pression de haut en bas. L'essai rapporte aujourd'hui cinq points. Mais il n'en a pas toujours été ainsi : à l'origine du rugby, l'essai donnait simplement le droit à l'équipe de taper au but en faisant passer le ballon entre les poteaux. Les joueurs adverses pouvaient même monter sur les barres afin d'empêcher le ballon d'y passer !
Aujourd'hui, après avoir marqué l'essai, le buteur de l'équipe tente la transformation en tapant le ballon entre les poteaux et au-dessus de la barre du but adverse. En cas de réussite, l'action rapporte deux points supplémentaires à l'équipe qui le réussit. Au cours du jeu, s'il estime être bien placé, un joueur peut tenter, d'un coup de pied, de passer le ballon entre les poteaux. Pour ce faire, il frappe avec son pied la balle qui aura préalablement rebondi sur le sol, c'est le drop goal.
Enfin, une faute commise par l'une des équipes provoque un arrêt du jeu. Ce qui, parfois, donne l'opportunité à l'équipe adverse de taper un coup de pied de pénalité. Celui-ci se fait le ballon posé au sol, le joueur prenant de l'élan avant la frappe. Comme pour un drop goal, le ballon doit passer entre les poteaux et au-dessus de la barre du but adverse. Un essai de pénalité peut être accordé si les défenseurs commettent une faute volontaire d'anti-jeu sur l'équipe attaquante, alors en mesure de marquer. Dans ce cas, la transformation se fait face aux poteaux.
Le rôle crucial des arbitres :
Il y a trois arbitres sur le terrain. L'un officie au centre du terrain, c'est l'arbitre principal. Son autorité sur les joueurs est considérable et ses décisions sont peu contestées. Il peut sanctionner tout acte d'anti-jeu par une exclusion temporaire (dix minutes) ou définitive du joueur fautif. Si l'une des équipes remet en cause de manière virulente l'une de ses décisions, il peut sanctionner cette attitude en faisant avancer l'équipe adverse d'une dizaine de mètres. Ses deux assistants sont placés le long des lignes de touche. Ils décident des touches et aident l'arbitre principal lors des actions de jeu confuses. Plus récemment, l'arbitrage vidéo s'est imposé dans le rugby. Son principal rôle est d'aider un arbitre principal à valider ou non un essai.


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