Le Musée national des Antiquités abrite jusqu'au 31 octobre, une nouvelle exposition retraçant l'histoire d'Alger intitulée «De Icosium à El Djazaïr». Le Musée national des Antiquités abrite jusqu'au 31 octobre, une nouvelle exposition retraçant l'histoire d'Alger intitulée «De Icosium à El Djazaïr». Entrant sous la bannière de la manifestation Alger, capitale de la culture arabe, l'exposition a été inaugurée mercredi soir par la Ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, en présence de responsables d'institutions culturelles. «De Icosium à El Djazaïr» est une exposition qui comprend une série de pièces de grande valeur aussi bien historique, archéologique et artistique, consistant en objets, pièces de monnaie, costumes, stèles et manuscrits. Ces vestiges qui nous viennent d'un lointain passé, retracent l'histoire d'Alger à travers les différentes époques. L'exposition exhibe des fenêtres virtuelles ouvertes sur les périodes punique, romaine, musulmane et ottomane. L'exposition est aussi l'occasion de présenter au public, et sans doute pour la première fois, certains objets, tels que le trésor d'Icosium, découvert au quartier de la Marine, à proximité du Centre des Arts ( Bastion 23) et qui a dévoilé le nom punique d'Alger. Lors des travaux de restauration de l'anti-chambre «El-maqsoura» de la mosquée «Djamaâ El Djedid» construit durant la période musulmane, un ensemble de céramique a été découvert au début du mois de mai 1999, et des pièces de monnaie en argent (dirham) des périodes almohade et zianide, portant le nom du lieu de frappe «El Djazaïr», découvertes en février 2000 dans les environs de Miliana (Wilaya de Ain Defla). Parmi les pièces exposées, figurent les monnaies de l'ère punique, un récipient remontant au 2e-3e siècle, une mosaïque remontant à la même époque, une coupelle du 11e-13e siècle, un fragment de jarre de la période musulmane, des pièces de monnaie des périodes almohade et zianide (1080), un Coran datant de 1789, une miniature réalisée en1828 et une «ghlila», une sorte de redingote brodée d'or avec des manches, ainsi que le sépulcre funéraire du célèbre Beylerbey d'Alger Hassan Agha Aucun pays plus que l'Algérie ne peut prétendre à ce que son patrimoine puisse renfermer tant de splendeur et de diversité. Cette exposition le prouve. Entrant sous la bannière de la manifestation Alger, capitale de la culture arabe, l'exposition a été inaugurée mercredi soir par la Ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, en présence de responsables d'institutions culturelles. «De Icosium à El Djazaïr» est une exposition qui comprend une série de pièces de grande valeur aussi bien historique, archéologique et artistique, consistant en objets, pièces de monnaie, costumes, stèles et manuscrits. Ces vestiges qui nous viennent d'un lointain passé, retracent l'histoire d'Alger à travers les différentes époques. L'exposition exhibe des fenêtres virtuelles ouvertes sur les périodes punique, romaine, musulmane et ottomane. L'exposition est aussi l'occasion de présenter au public, et sans doute pour la première fois, certains objets, tels que le trésor d'Icosium, découvert au quartier de la Marine, à proximité du Centre des Arts ( Bastion 23) et qui a dévoilé le nom punique d'Alger. Lors des travaux de restauration de l'anti-chambre «El-maqsoura» de la mosquée «Djamaâ El Djedid» construit durant la période musulmane, un ensemble de céramique a été découvert au début du mois de mai 1999, et des pièces de monnaie en argent (dirham) des périodes almohade et zianide, portant le nom du lieu de frappe «El Djazaïr», découvertes en février 2000 dans les environs de Miliana (Wilaya de Ain Defla). Parmi les pièces exposées, figurent les monnaies de l'ère punique, un récipient remontant au 2e-3e siècle, une mosaïque remontant à la même époque, une coupelle du 11e-13e siècle, un fragment de jarre de la période musulmane, des pièces de monnaie des périodes almohade et zianide (1080), un Coran datant de 1789, une miniature réalisée en1828 et une «ghlila», une sorte de redingote brodée d'or avec des manches, ainsi que le sépulcre funéraire du célèbre Beylerbey d'Alger Hassan Agha Aucun pays plus que l'Algérie ne peut prétendre à ce que son patrimoine puisse renfermer tant de splendeur et de diversité. Cette exposition le prouve.