Le film ''Naquel el ahlem'' (Le transporteur de rêves), du réalisateur Djamel Azizi, a été projeté en avant-première dimanche soir à la Salle Ibn Zeydoun, (Alger), dans le cadre de la manifestation ''Alger capitale de la culture arabe 2007''. Ce documentaire de fiction, de 52 minutes, est basé sur la vie d'un projectionniste d'un âge avancé qui se rend, à bord d'un vieux camion, dans différents villages de l'intérieur du pays, pour projeter en plein air des films algériens et étrangers, à la grande joie des jeunes qui pour la plupart découvrent le cinéma pour la première fois. C'est ainsi que cette jeune population, habituée à la télévision et à la parabole, réserve un accueil des plus chaleureux à cet homme qui, ayant perdu sa femme, consacre le reste de sa vie à apporter, selon sa propre expression ''de la joie à ces enfants'' qui découvrent la magie du grand écran. ''A travers Ami Salah, exerçant dans la vie le métier de projectionniste, nous voulions montrer que l'Algérien est ouvert à toutes les cultures'', a indiqué Djamel Azizi, qui donne un aperçu de la richesse du cinéma algérien tout en survolant la production étrangère de ces dernières années. ''A travers ce vieillard, j'ai voulu rendre hommage au cinéma algérien'', a ajouté le réalisateur soulignant que cette œuvre cinématographique est un documentaire de fiction c'est à dire que ''le personnage est réel mais l'environnement est fictif''. A l'issue d'études journalistiques et cinématographiques à Paris (France), Djamel Azizi a réalisé 7 films dont ''El yamama'' (La colombe), ''Message d'Algérie'', ''Le blouson vert'', ''Nul n'est prophète en son pays'' et ''Transporteur de bonheur''. Parlant de ses projets, le cinéaste a confié: "Je continuerai à faire des films et parler des gens anonymes." Le film ''Naquel el ahlem'' (Le transporteur de rêves), du réalisateur Djamel Azizi, a été projeté en avant-première dimanche soir à la Salle Ibn Zeydoun, (Alger), dans le cadre de la manifestation ''Alger capitale de la culture arabe 2007''. Ce documentaire de fiction, de 52 minutes, est basé sur la vie d'un projectionniste d'un âge avancé qui se rend, à bord d'un vieux camion, dans différents villages de l'intérieur du pays, pour projeter en plein air des films algériens et étrangers, à la grande joie des jeunes qui pour la plupart découvrent le cinéma pour la première fois. C'est ainsi que cette jeune population, habituée à la télévision et à la parabole, réserve un accueil des plus chaleureux à cet homme qui, ayant perdu sa femme, consacre le reste de sa vie à apporter, selon sa propre expression ''de la joie à ces enfants'' qui découvrent la magie du grand écran. ''A travers Ami Salah, exerçant dans la vie le métier de projectionniste, nous voulions montrer que l'Algérien est ouvert à toutes les cultures'', a indiqué Djamel Azizi, qui donne un aperçu de la richesse du cinéma algérien tout en survolant la production étrangère de ces dernières années. ''A travers ce vieillard, j'ai voulu rendre hommage au cinéma algérien'', a ajouté le réalisateur soulignant que cette œuvre cinématographique est un documentaire de fiction c'est à dire que ''le personnage est réel mais l'environnement est fictif''. A l'issue d'études journalistiques et cinématographiques à Paris (France), Djamel Azizi a réalisé 7 films dont ''El yamama'' (La colombe), ''Message d'Algérie'', ''Le blouson vert'', ''Nul n'est prophète en son pays'' et ''Transporteur de bonheur''. Parlant de ses projets, le cinéaste a confié: "Je continuerai à faire des films et parler des gens anonymes."