Le 12e Salon international du livre s'ouvre le 31 octobre et durera jusqu'au 9 novembre. Placé sous le thème de : Imaginaire et liberté dans les pays arabes, il sera un moment fort de prise de conscience de la place de la culture dans les pays arabes et du poids de la création dans les changements sociaux. A l'instar de la manifestation «Alger, capitale de la culture arabe 2007» ce salon permettra à un large public friand de ce genre d'activités de connaître les œuvres et les auteurs qui comptent aussi bien dans le Monde arabe que sur la scène mondiale. Le programme mêle avec bonheur la recherche littéraire et l'histoire du roman en langue arabe au Maghreb, pose la question de l'engagement, celle de l'imaginaire et du patrimoine musulman, comme celle de l'humanisme et de l'islam. La traduction et ses apports civilisationnels, le rôle de Goethe dans la découverte de la culture arabe en Allemagne, celui que Jacques Berque «l'Algérien» a tenté en lançant des ponts entre Orient et Occident seront au menu des animateurs plus prestigieux les uns que les autres. La culture et les médias, le mécénat et les prix littéraires, les tabous dans la culture arabe sont autant de sujets qui retiennent l'attention et seront très courus. Il sera question du roman algérien d'expression arabe et de littérature arabe contemporaine. Le Liban sera au cœur de la journée du 7 novembre comme pays hôte. L'œuvre de Khalil Jabran Khalil, l'histoire de Beyrouth et une rencontre avec une dizaine de créateurs et intellectuels libanais. Le jeudi 8 sera consacré à La Kahina de Gisèle Halimi, aux femmes en islam par Fatima Mernissi et à la rencontre avec 10 romancières arabes. Des surprises seront au rendez-vous avec l'exposition de peinture des «Une» de couverture des œuvres de Naguib Mahfouz, des débats autour du roman noir du pourtour méditerranéen ce qui promet un retour du réalisme et de l'expressionnisme dans l'art. Ce 12e Salon international du livre d'Alger fera date car il se veut un état des lieux sans fard et sans tabou de la littérature dans les pays arabes et de leurs rapports internes et avec les cultures du monde. Le 12e Salon international du livre s'ouvre le 31 octobre et durera jusqu'au 9 novembre. Placé sous le thème de : Imaginaire et liberté dans les pays arabes, il sera un moment fort de prise de conscience de la place de la culture dans les pays arabes et du poids de la création dans les changements sociaux. A l'instar de la manifestation «Alger, capitale de la culture arabe 2007» ce salon permettra à un large public friand de ce genre d'activités de connaître les œuvres et les auteurs qui comptent aussi bien dans le Monde arabe que sur la scène mondiale. Le programme mêle avec bonheur la recherche littéraire et l'histoire du roman en langue arabe au Maghreb, pose la question de l'engagement, celle de l'imaginaire et du patrimoine musulman, comme celle de l'humanisme et de l'islam. La traduction et ses apports civilisationnels, le rôle de Goethe dans la découverte de la culture arabe en Allemagne, celui que Jacques Berque «l'Algérien» a tenté en lançant des ponts entre Orient et Occident seront au menu des animateurs plus prestigieux les uns que les autres. La culture et les médias, le mécénat et les prix littéraires, les tabous dans la culture arabe sont autant de sujets qui retiennent l'attention et seront très courus. Il sera question du roman algérien d'expression arabe et de littérature arabe contemporaine. Le Liban sera au cœur de la journée du 7 novembre comme pays hôte. L'œuvre de Khalil Jabran Khalil, l'histoire de Beyrouth et une rencontre avec une dizaine de créateurs et intellectuels libanais. Le jeudi 8 sera consacré à La Kahina de Gisèle Halimi, aux femmes en islam par Fatima Mernissi et à la rencontre avec 10 romancières arabes. Des surprises seront au rendez-vous avec l'exposition de peinture des «Une» de couverture des œuvres de Naguib Mahfouz, des débats autour du roman noir du pourtour méditerranéen ce qui promet un retour du réalisme et de l'expressionnisme dans l'art. Ce 12e Salon international du livre d'Alger fera date car il se veut un état des lieux sans fard et sans tabou de la littérature dans les pays arabes et de leurs rapports internes et avec les cultures du monde.