Décidément, la Sonelgaz ne semble ménager aucun effort pour accélérer le remplacement de son parc vieillissant de centrales électriques, et ce, pour faire face à une hausse soutenue de la demande nationale en électricité ces dernières années. Ainsi, la Société nationale de l'électricité et du gaz (Sonelgaz) procédera aujourd'hui à l'ouverture des plis techniques pour la réalisation de deux centrales électriques de type cycle combiné d'une puissance totale de 1.200 MW chacune, indique l'APS qui cite un communiqué rendu public par la société ce jeudi. Il s'agit plus précisément des centrales de Terga (Ain Témouchent) et de Koudiet Eddraouch (El Tarf), qui avaient auparavant fait l'objet d'un appel à la concurrence international en septembre 2006, mais Sonelgaz a décidé de ne pas donner suite à l'unique offre commerciale présentée, en décembre 2006, par le consortium franco-égyptien Alstom-Orascom. Un autre groupement (General Electric - Cobra) avait été aussi écarté de la course pour avoir présenté des offres techniques mais aucune offre commerciale. Rappelons également qu'en septembre dernier, la société a annoncé, par la voix de son P-DG Noureddine Bouterfa, sa décision de relancer son appel d'offre en direction de tous les détenteurs de licence de turbines à gaz, en fixant au 6 octobre 2007 la date de remise des offres techniques, et au 20 novembre 2007 celle des offres commerciales. Il faut dire aussi que Sonelgaz a innové en plafonnant le prix à 2,34 milliards d'euros (environ 3,4 milliards de dollars) pour les deux centrales réunies, tout en se réservant le droit de donner suite ou non à l'offre financière si ce prix plafond n'est pas respecté par les soumissionnaires. Dès lors, en déclarant infructueuse l'offre de l'unique groupement en lice (Alstom-Orascom), la compagnie algérienne avait considéré qu'avec de nouvelles offres, elle pourrait gagner en coûts et en délais, les deux centrales devant être mises en service vers la fin 2011. Pour rappel, ce consortium avait proposé un coût global d'environ 3,8 milliards de dollars et un délai de 55 mois pour Koudiet Eddraouch et de 45 mois pour Terga. L'appel d'offres est donc relancé aux principaux constructeurs (dits détenteurs de licence) que sont Siemens, Alstom, General Electric (GE), et Mitsubishi, qui peuvent s'associer à d'autres partenaires comme dans le cas d'Alstom-Orascom. Notons enfin que l'Algérie compte se doter, d'ici 2009, de cinq nouvelles centrales électriques. Ces cinq centrales électriques devraient ainsi renforcer le parc de production d'électricité de Sonelgaz (SPE). Il est à signaler que ce projet arrive à un moment où les besoins en électricité de l'Algérie se font de plus en plus importants, notamment avec l'électrification des chemins de fer, la programmation des tramways et des téléphériques ainsi que l'ouverture du métro d'Alger prévue pour septembre 2008. Une hausse de 15% des prix de l'électricité avait, d'ailleurs, été demandée par Sonelgaz en 2006. Laquelle avait été retardée par le gouvernement en raison des élections du 17 mai dernier. Enfin, la réalisation des cinq centrales électriques devrait, également, remédier à une partie du problème des délestages dans le pays. Décidément, la Sonelgaz ne semble ménager aucun effort pour accélérer le remplacement de son parc vieillissant de centrales électriques, et ce, pour faire face à une hausse soutenue de la demande nationale en électricité ces dernières années. Ainsi, la Société nationale de l'électricité et du gaz (Sonelgaz) procédera aujourd'hui à l'ouverture des plis techniques pour la réalisation de deux centrales électriques de type cycle combiné d'une puissance totale de 1.200 MW chacune, indique l'APS qui cite un communiqué rendu public par la société ce jeudi. Il s'agit plus précisément des centrales de Terga (Ain Témouchent) et de Koudiet Eddraouch (El Tarf), qui avaient auparavant fait l'objet d'un appel à la concurrence international en septembre 2006, mais Sonelgaz a décidé de ne pas donner suite à l'unique offre commerciale présentée, en décembre 2006, par le consortium franco-égyptien Alstom-Orascom. Un autre groupement (General Electric - Cobra) avait été aussi écarté de la course pour avoir présenté des offres techniques mais aucune offre commerciale. Rappelons également qu'en septembre dernier, la société a annoncé, par la voix de son P-DG Noureddine Bouterfa, sa décision de relancer son appel d'offre en direction de tous les détenteurs de licence de turbines à gaz, en fixant au 6 octobre 2007 la date de remise des offres techniques, et au 20 novembre 2007 celle des offres commerciales. Il faut dire aussi que Sonelgaz a innové en plafonnant le prix à 2,34 milliards d'euros (environ 3,4 milliards de dollars) pour les deux centrales réunies, tout en se réservant le droit de donner suite ou non à l'offre financière si ce prix plafond n'est pas respecté par les soumissionnaires. Dès lors, en déclarant infructueuse l'offre de l'unique groupement en lice (Alstom-Orascom), la compagnie algérienne avait considéré qu'avec de nouvelles offres, elle pourrait gagner en coûts et en délais, les deux centrales devant être mises en service vers la fin 2011. Pour rappel, ce consortium avait proposé un coût global d'environ 3,8 milliards de dollars et un délai de 55 mois pour Koudiet Eddraouch et de 45 mois pour Terga. L'appel d'offres est donc relancé aux principaux constructeurs (dits détenteurs de licence) que sont Siemens, Alstom, General Electric (GE), et Mitsubishi, qui peuvent s'associer à d'autres partenaires comme dans le cas d'Alstom-Orascom. Notons enfin que l'Algérie compte se doter, d'ici 2009, de cinq nouvelles centrales électriques. Ces cinq centrales électriques devraient ainsi renforcer le parc de production d'électricité de Sonelgaz (SPE). Il est à signaler que ce projet arrive à un moment où les besoins en électricité de l'Algérie se font de plus en plus importants, notamment avec l'électrification des chemins de fer, la programmation des tramways et des téléphériques ainsi que l'ouverture du métro d'Alger prévue pour septembre 2008. Une hausse de 15% des prix de l'électricité avait, d'ailleurs, été demandée par Sonelgaz en 2006. Laquelle avait été retardée par le gouvernement en raison des élections du 17 mai dernier. Enfin, la réalisation des cinq centrales électriques devrait, également, remédier à une partie du problème des délestages dans le pays.