«A power game»: c'est à ça, un match tout en puissance et en confrontation, que l'Australie s'attend face à l'Angleterre, aujourd'hui en quart de finale de la Coupe du monde, mais les Wallabies, malgré l'inexpérience de leur ouvreur, se sentent prêts à relever le défi physique. Le sélectionneur John Connolly a communiqué une équipe sans réelle surprise, laissant simplement sur le banc le meilleur marqueur d'essai du Mondial, Drew Mitchell (7), au profit du plus physique Adam Ashley-Cooper (98 kg). Ce dernier est plus à même de s'imposer sous les grandes +quilles+ de Jonny Wilkinson et de défendre sur les puissants centres et rapides ailiers anglais. Pour le reste, Connolly a fait dans le clasique: c'est logiquement le jeune Berrick Barnes, 21 ans, qui occupera le poste d'ouvreur en raison de la blessure de Stephen Larkham. Le "BB" Wallaby, avec ses trois sélections, formera la charnière avec George Gregan qui fêtera lui sa 139e cape (record mondial) samedi. Un attelage d'expérience et de fraîcheur. L'ancien entraîneur du Stade Français a toutefois choisi l'option de placer cinq avants, dont deux deuxièmes lignes, sur son banc des remplaçants, pour répondre au mieux aux travail de sape des Anglais. En mêlée, secteur crucial où le XV de la Rose va tenter de marquer les Aussies au fer rouge, l'Australie présente une première ligne jeune, de 26 ans de moyenne d'âge (Shepherdson, Moore, Dunning), face à l'expérimenté trio Vickery-Regan-Sheridan, 31 ans de moyenne d'âge. Rude journée "Cela va être un power game, c'est sûr, assure le capitaine Stirling Mortlock. Le choix initial des Anglais d'aligner au centre Andy Farrell, qui vient du XII, l'indiquait bien." Mais Andy Farrell s'est blessé jeudi à l'entraînement et ne sera finalement pas sur la feuille de match. Selon Palu, les Australiens, adeptes de la défense collective et non ciblée, n'ont pas de plan anti-Wilkinson, l'homme qui les avait fait tomber à domicile en finale de la Coupe du monde 2003. "Si tu te concentres sur un joueur, un autre va sortir du chapeau, dit-il. Les Anglais ont de la qualité partout, leurs ailiers sont très rapides, comme Paul Sackey par exemple. Il faudra surveiller tout le monde." «A power game»: c'est à ça, un match tout en puissance et en confrontation, que l'Australie s'attend face à l'Angleterre, aujourd'hui en quart de finale de la Coupe du monde, mais les Wallabies, malgré l'inexpérience de leur ouvreur, se sentent prêts à relever le défi physique. Le sélectionneur John Connolly a communiqué une équipe sans réelle surprise, laissant simplement sur le banc le meilleur marqueur d'essai du Mondial, Drew Mitchell (7), au profit du plus physique Adam Ashley-Cooper (98 kg). Ce dernier est plus à même de s'imposer sous les grandes +quilles+ de Jonny Wilkinson et de défendre sur les puissants centres et rapides ailiers anglais. Pour le reste, Connolly a fait dans le clasique: c'est logiquement le jeune Berrick Barnes, 21 ans, qui occupera le poste d'ouvreur en raison de la blessure de Stephen Larkham. Le "BB" Wallaby, avec ses trois sélections, formera la charnière avec George Gregan qui fêtera lui sa 139e cape (record mondial) samedi. Un attelage d'expérience et de fraîcheur. L'ancien entraîneur du Stade Français a toutefois choisi l'option de placer cinq avants, dont deux deuxièmes lignes, sur son banc des remplaçants, pour répondre au mieux aux travail de sape des Anglais. En mêlée, secteur crucial où le XV de la Rose va tenter de marquer les Aussies au fer rouge, l'Australie présente une première ligne jeune, de 26 ans de moyenne d'âge (Shepherdson, Moore, Dunning), face à l'expérimenté trio Vickery-Regan-Sheridan, 31 ans de moyenne d'âge. Rude journée "Cela va être un power game, c'est sûr, assure le capitaine Stirling Mortlock. Le choix initial des Anglais d'aligner au centre Andy Farrell, qui vient du XII, l'indiquait bien." Mais Andy Farrell s'est blessé jeudi à l'entraînement et ne sera finalement pas sur la feuille de match. Selon Palu, les Australiens, adeptes de la défense collective et non ciblée, n'ont pas de plan anti-Wilkinson, l'homme qui les avait fait tomber à domicile en finale de la Coupe du monde 2003. "Si tu te concentres sur un joueur, un autre va sortir du chapeau, dit-il. Les Anglais ont de la qualité partout, leurs ailiers sont très rapides, comme Paul Sackey par exemple. Il faudra surveiller tout le monde."