Le Président Bouteflika a instruit le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, lors de l'audition qui lui a été consacrée, de développer, en relation avec les autres secteurs concernés, «des instruments et des mécanismes d'information, notamment statistiques, pour pouvoir constamment mettre en adéquation les ressources d'investissement avec les besoins réels du marché». Le Président Bouteflika a instruit le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, lors de l'audition qui lui a été consacrée, de développer, en relation avec les autres secteurs concernés, «des instruments et des mécanismes d'information, notamment statistiques, pour pouvoir constamment mettre en adéquation les ressources d'investissement avec les besoins réels du marché». Le Président Bouteflika a aussi donné des instructions tendant à «l'appropriation de la technologie et l'intégration de l'innovation dans le processus de production industrielle». Ces nouvelles orientations présidentielles «doivent figurer parmi les préoccupations permanentes» du secteur, a insisté le chef de l'Etat qui a demandé à Temmar de «mobiliser l'ensemble des compétences et des capacités humaines et matérielles pour réaliser ces objectifs». Selon le Président Bouteflika, «la maîtrise de l'information économique en général constitue un élément déterminant pour la formulation des politiques publiques et la prise de décision en rapport avec les données réelles du terrain». Au cours de cette audition, le ministre Abdelhamid Temmar a reconnu que le bilan du processus de mise à niveau, tous programmes confondus, «se situe en deçà des objectifs arrêtés en ce domaine». Selon le ministre, qui a exposé la démarche stratégique de son secteur, la réhabilitation du secteur public économique doit «s'inscrire dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie industrielle». La politique de privatisation des entreprises connaît, selon Temmar, une «accélération des opérations de participation au cours des années 2005-2006 avec une moyenne de 100 opérations par an». Les branches les plus concernées sont le bâtiment et les travaux publics, les industries agro-alimentaires, la pharmacie, les services et les industries sidérurgiques, mécaniques, métallurgiques et électriques. Concernant la stratégie préconisée pour la relance de la production industrielle, le ministre prévoit la «promotion des industries qui participent à la valorisation par la transformation industrielle des ressources primaires, la promotion des industries qui contribuent à l'intégration vers l'amont des activités situées aux dernières étapes de la transformation industrielle, la promotion de nouvelles industries ou celles pour lesquelles le pays accuse un retard préjudiciable à l'économie». Les branches de la pétrochimie, des textiles chimiques, des engrais, de la sidérurgie, de la métallurgie non ferreuse, des matériaux de construction, des industries électriques, des industries pharmaceutiques et vétérinaires, des industries agro-alimentaires et des industries de biens d'équipement «seront développés», selon le ministre. Cette stratégie sectorielle prévoit, également, le développement des industries et services liés aux nouvelles technologies de l'information et de la communication ainsi que l'industrie automobile. Le ministre Abdelhamid Temmar a également exposé au chef de l'Etat les grandes lignes de la nouvelle stratégie industrielle récemment adoptée. Celle-ci s'appuiera désormais sur les capacités existant au sein du secteur public dans les «activités stratégiques pour la relance industrielle et la compétitivité de la nation». La configuration actuelle des zones industrielles ne répondant pas à l'évolution de la demande des opérateurs, il est préconisé la création de «pôles de croissance» pour les effets d'entraînement d'économies externes et de synergie qu'ils peuvent générer. Le dernier volet exposé par le ministre concerne la politique de promotion de l'investissement direct étranger (IDE) qui est appelé à jouer un rôle complémentaire avec l'investissement national. Le ministre Temmar a soutenu que du point de vue de la politique d'attraction des investissements directs étrangers (IDE), « cette politique doit être multidimensionnelle » car il s'agira, selon lui, «plus de créer un environnement qui améliore substantiellement les prestations de l'administration économique», qui, parallèlement, assure la sécurité juridique et judiciaire des transactions et favorise la fluidité des circuits financiers et bancaires. Le Président Bouteflika a aussi donné des instructions tendant à «l'appropriation de la technologie et l'intégration de l'innovation dans le processus de production industrielle». Ces nouvelles orientations présidentielles «doivent figurer parmi les préoccupations permanentes» du secteur, a insisté le chef de l'Etat qui a demandé à Temmar de «mobiliser l'ensemble des compétences et des capacités humaines et matérielles pour réaliser ces objectifs». Selon le Président Bouteflika, «la maîtrise de l'information économique en général constitue un élément déterminant pour la formulation des politiques publiques et la prise de décision en rapport avec les données réelles du terrain». Au cours de cette audition, le ministre Abdelhamid Temmar a reconnu que le bilan du processus de mise à niveau, tous programmes confondus, «se situe en deçà des objectifs arrêtés en ce domaine». Selon le ministre, qui a exposé la démarche stratégique de son secteur, la réhabilitation du secteur public économique doit «s'inscrire dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie industrielle». La politique de privatisation des entreprises connaît, selon Temmar, une «accélération des opérations de participation au cours des années 2005-2006 avec une moyenne de 100 opérations par an». Les branches les plus concernées sont le bâtiment et les travaux publics, les industries agro-alimentaires, la pharmacie, les services et les industries sidérurgiques, mécaniques, métallurgiques et électriques. Concernant la stratégie préconisée pour la relance de la production industrielle, le ministre prévoit la «promotion des industries qui participent à la valorisation par la transformation industrielle des ressources primaires, la promotion des industries qui contribuent à l'intégration vers l'amont des activités situées aux dernières étapes de la transformation industrielle, la promotion de nouvelles industries ou celles pour lesquelles le pays accuse un retard préjudiciable à l'économie». Les branches de la pétrochimie, des textiles chimiques, des engrais, de la sidérurgie, de la métallurgie non ferreuse, des matériaux de construction, des industries électriques, des industries pharmaceutiques et vétérinaires, des industries agro-alimentaires et des industries de biens d'équipement «seront développés», selon le ministre. Cette stratégie sectorielle prévoit, également, le développement des industries et services liés aux nouvelles technologies de l'information et de la communication ainsi que l'industrie automobile. Le ministre Abdelhamid Temmar a également exposé au chef de l'Etat les grandes lignes de la nouvelle stratégie industrielle récemment adoptée. Celle-ci s'appuiera désormais sur les capacités existant au sein du secteur public dans les «activités stratégiques pour la relance industrielle et la compétitivité de la nation». La configuration actuelle des zones industrielles ne répondant pas à l'évolution de la demande des opérateurs, il est préconisé la création de «pôles de croissance» pour les effets d'entraînement d'économies externes et de synergie qu'ils peuvent générer. Le dernier volet exposé par le ministre concerne la politique de promotion de l'investissement direct étranger (IDE) qui est appelé à jouer un rôle complémentaire avec l'investissement national. Le ministre Temmar a soutenu que du point de vue de la politique d'attraction des investissements directs étrangers (IDE), « cette politique doit être multidimensionnelle » car il s'agira, selon lui, «plus de créer un environnement qui améliore substantiellement les prestations de l'administration économique», qui, parallèlement, assure la sécurité juridique et judiciaire des transactions et favorise la fluidité des circuits financiers et bancaires.