Le Cercle des entrepreneurs et industriels algériens de France (CEINAF) dont le siège est situé à Lyon, lance un appel aux opérateurs économiques nationaux, publics et privés, travaillant en Algérie, afin de se joindre aux investisseurs et hommes d'affaires algériens ou d'origine algérienne du CEINAF pour asseoir une coopération fructueuse et durable. Ainsi, selon le slogan de cette association «l'action dans l'union», le crédo du CEINAF consiste notamment à établir un pont entre les deux rives de la Méditerranée. Ayant participé à la Foire internationale d'Alger (FIA 2006), le CEIAF sera, en principe, présent à la Foire internationale d'Oran prévue du 23 au 30 octobre prochains. Mais, à travers son ambition et ses perspectives de partenariat en Algérie et dans le Maghreb, le CEINAF est en mesure d'apporter sa précieuse contribution dans le développement durable et l'implantation de pôles de compétitivité et d'excellence. Ainsi, pour mener à bien sa stratégie de coopération, le CEINAF se base notamment sur la promotion des petites et moyennes entreprises (PME/PMI). Dans cet ordre d'idées, avec leur ténacité, leur combativité et leur acharnement, les membres du CEINAF ont réussi à promouvoir l'image des chefs d'entreprise (PME/PMI), notamment grâce à des actions audacieuses. Parmi ces actions, on peut notamment citer l'accueil de 120 entreprises algériennes à Lyon en 2003 et l'accompagnement de 20 entreprises françaises à la Foire internationale d'Alger en 2004. L'une des préoccupations primordiales du CEINAF consiste à promouvoir les échanges entre l'Algérie et la France sur le plan économique en concrétisant des projets de partenariat et de joint venture. L'objet de cette association patronale vise notamment de fédérer et réunir, voire rapprocher davantage les chefs d'entreprise, en dehors de toute considération politique ou confessionnelle. Ceci en donnant une autre image de marque de la communauté algérienne émigrée et s'ériger, ainsi, en exemple de réussite entrepreneuriale pour la postérité, mais, surtout, créer des richesses et des emplois.Selon le président du CEINAF, Chérif Hadji, qui occupe ce poste depuis seulement quelques mois, «l'une des priorités essentielles du programme de travail du CEINAF réside dans la volonté ferme et inébranlable de soutenir le développement économique en Algérie. Faire connaître le CEINAF constitue pour moi une priorité. A travers notre cercle, nous œuvrons afin de fédérer les chefs d'entreprise algériens, ou d'origine algérienne, sur des échanges économiques et commerciaux entre la France et l'Algérie». Ce dirigeant de la société IESA en France, ayant une filiale en Algérie, spécialisée en électricité, automatisme et en informatique industriels, et employant plus de 50 salariés (principalement des ingénieurs et des techniciens), affirme : «mon entreprise a reçu, en 2006, le label «Gazelle 2005» de l'économie, distinction récompensant les 2.000 PME les plus performantes de France. Le Cercle des entrepreneurs et industriels algériens de France (CEINAF) dont le siège est situé à Lyon, lance un appel aux opérateurs économiques nationaux, publics et privés, travaillant en Algérie, afin de se joindre aux investisseurs et hommes d'affaires algériens ou d'origine algérienne du CEINAF pour asseoir une coopération fructueuse et durable. Ainsi, selon le slogan de cette association «l'action dans l'union», le crédo du CEINAF consiste notamment à établir un pont entre les deux rives de la Méditerranée. Ayant participé à la Foire internationale d'Alger (FIA 2006), le CEIAF sera, en principe, présent à la Foire internationale d'Oran prévue du 23 au 30 octobre prochains. Mais, à travers son ambition et ses perspectives de partenariat en Algérie et dans le Maghreb, le CEINAF est en mesure d'apporter sa précieuse contribution dans le développement durable et l'implantation de pôles de compétitivité et d'excellence. Ainsi, pour mener à bien sa stratégie de coopération, le CEINAF se base notamment sur la promotion des petites et moyennes entreprises (PME/PMI). Dans cet ordre d'idées, avec leur ténacité, leur combativité et leur acharnement, les membres du CEINAF ont réussi à promouvoir l'image des chefs d'entreprise (PME/PMI), notamment grâce à des actions audacieuses. Parmi ces actions, on peut notamment citer l'accueil de 120 entreprises algériennes à Lyon en 2003 et l'accompagnement de 20 entreprises françaises à la Foire internationale d'Alger en 2004. L'une des préoccupations primordiales du CEINAF consiste à promouvoir les échanges entre l'Algérie et la France sur le plan économique en concrétisant des projets de partenariat et de joint venture. L'objet de cette association patronale vise notamment de fédérer et réunir, voire rapprocher davantage les chefs d'entreprise, en dehors de toute considération politique ou confessionnelle. Ceci en donnant une autre image de marque de la communauté algérienne émigrée et s'ériger, ainsi, en exemple de réussite entrepreneuriale pour la postérité, mais, surtout, créer des richesses et des emplois.Selon le président du CEINAF, Chérif Hadji, qui occupe ce poste depuis seulement quelques mois, «l'une des priorités essentielles du programme de travail du CEINAF réside dans la volonté ferme et inébranlable de soutenir le développement économique en Algérie. Faire connaître le CEINAF constitue pour moi une priorité. A travers notre cercle, nous œuvrons afin de fédérer les chefs d'entreprise algériens, ou d'origine algérienne, sur des échanges économiques et commerciaux entre la France et l'Algérie». Ce dirigeant de la société IESA en France, ayant une filiale en Algérie, spécialisée en électricité, automatisme et en informatique industriels, et employant plus de 50 salariés (principalement des ingénieurs et des techniciens), affirme : «mon entreprise a reçu, en 2006, le label «Gazelle 2005» de l'économie, distinction récompensant les 2.000 PME les plus performantes de France.