La Fédération internationale de football (Fifa) a annulé le match Nouvelle-Zélande-Fidji, prévu samedi à Auckland, comptant pour les qualifications au Mondial-2010, après le refus du gouvernement néo-zélandais de délivrer un visa à un joueur fidjien. Simione Tamanisau. Le gouvernement néo-zélandais justifie son refus par le fait que le beau-père du gardien de but fidjien Simione Tamanisau faisait partie des forces armées fidjiennes, dont les membres et leur famille sont interdits sur son territoire depuis le coup d'Etat de Voreqe Bainimarama, a renversé le 5 décembre 2006 le gouvernement fidjien élu de Laisenia Qarase. Selon Tai Nicholas, secrétaire général de la Confédération océanienne de football, la Fifa a estimé que cette décision du gouvernement néo-zélandais est contraire aux usages en vigueur en matière de matches internationaux officiels de football. Malgré la demande de la Fifa d'infléchir sa position, le gouvernement néo-zélandais est resté inflexible. La rencontre n'aura lieu que si le gouvernement néo-zélandais revient sur sa décision et autorise finalement l'entrée de Tamanisau. Sinon, il pourrait avoir lieu sur terrain neutre. Le match retour est toujours prévu mercredi à Lautoka, aux Fidji. Cette rencontre devait entrer dans le cadre d'un groupe réunissant quatre nations, la Nouvelle-Zélande, les Fidji, la Nouvelle-Calédonie et le Vanuatu. La Fédération internationale de football (Fifa) a annulé le match Nouvelle-Zélande-Fidji, prévu samedi à Auckland, comptant pour les qualifications au Mondial-2010, après le refus du gouvernement néo-zélandais de délivrer un visa à un joueur fidjien. Simione Tamanisau. Le gouvernement néo-zélandais justifie son refus par le fait que le beau-père du gardien de but fidjien Simione Tamanisau faisait partie des forces armées fidjiennes, dont les membres et leur famille sont interdits sur son territoire depuis le coup d'Etat de Voreqe Bainimarama, a renversé le 5 décembre 2006 le gouvernement fidjien élu de Laisenia Qarase. Selon Tai Nicholas, secrétaire général de la Confédération océanienne de football, la Fifa a estimé que cette décision du gouvernement néo-zélandais est contraire aux usages en vigueur en matière de matches internationaux officiels de football. Malgré la demande de la Fifa d'infléchir sa position, le gouvernement néo-zélandais est resté inflexible. La rencontre n'aura lieu que si le gouvernement néo-zélandais revient sur sa décision et autorise finalement l'entrée de Tamanisau. Sinon, il pourrait avoir lieu sur terrain neutre. Le match retour est toujours prévu mercredi à Lautoka, aux Fidji. Cette rencontre devait entrer dans le cadre d'un groupe réunissant quatre nations, la Nouvelle-Zélande, les Fidji, la Nouvelle-Calédonie et le Vanuatu.