La contestation qui secoue le plus vieux parti de l'opposition depuis plus de 03 ans et contenue ces derniers mois refait surface avec une rare virulence à l'occasion de la préparation des élections locales du 29 novembre prochain. En effet, le bras de fer engagé entre une partie des militants, dont des anciens de 63, et la direction du plus vieux parti de l'opposition menace de peser à la défaveur de la formation de Hocine Aït Ahmed le jour du vote. La direction de Karim Tabou, premier secrétaire national qui a tenté d'étouffer la contestation à coups d'affrontements et d'exclusion des contestataires de son exécutif, na pas réussi à régler le conflit de sorte que ceux qui se sont retrouvé a la marges et parmi eux les anciens militants de 63 dont la légitimité ne peut être contestée, continue à imposer leur point de vue car, selon eux, leur exclusion « sans être présentée devant la commission de discipline du parti est illégale ». Ces derniers, qui reprochent à l'équipe qui dirige le FFS depuis 2004 la mise à l'écart des compétences et des cadres du parti (tel que Zenati, Bouhadef, Karboua, Djedai…), ne comptent pas se laisser faire et ont trouvé dans le prochain rendez-vous électoral une occasion inespérée pour montrer leur poids. La menace de boycott des élections est déjà brandie et dans la wilaya de Tizi Ouzou, où les opposants sont nombreux pour ne pas dire constituent la majorité de la base militante, cela peut coûter au front en nombre de sièges au niveau des APC et de l'APW où jusque-là il a toujours obtenu la majorité. Les démissions des rangs du parti ont déjà commencé et le dernier cas est celui de Slimane Allam élu à l'APW de Boumerdès, et ex-membre du conseil national. Quant à la campagne électorale elle s'annonce sur ont d'affrontements… menace formulée par les mécontents lors du saccage du siège de la fédération de Tizi Ouzou par ces derniers la soirée du dernier délai de dépôt des listes. La contestation qui secoue le plus vieux parti de l'opposition depuis plus de 03 ans et contenue ces derniers mois refait surface avec une rare virulence à l'occasion de la préparation des élections locales du 29 novembre prochain. En effet, le bras de fer engagé entre une partie des militants, dont des anciens de 63, et la direction du plus vieux parti de l'opposition menace de peser à la défaveur de la formation de Hocine Aït Ahmed le jour du vote. La direction de Karim Tabou, premier secrétaire national qui a tenté d'étouffer la contestation à coups d'affrontements et d'exclusion des contestataires de son exécutif, na pas réussi à régler le conflit de sorte que ceux qui se sont retrouvé a la marges et parmi eux les anciens militants de 63 dont la légitimité ne peut être contestée, continue à imposer leur point de vue car, selon eux, leur exclusion « sans être présentée devant la commission de discipline du parti est illégale ». Ces derniers, qui reprochent à l'équipe qui dirige le FFS depuis 2004 la mise à l'écart des compétences et des cadres du parti (tel que Zenati, Bouhadef, Karboua, Djedai…), ne comptent pas se laisser faire et ont trouvé dans le prochain rendez-vous électoral une occasion inespérée pour montrer leur poids. La menace de boycott des élections est déjà brandie et dans la wilaya de Tizi Ouzou, où les opposants sont nombreux pour ne pas dire constituent la majorité de la base militante, cela peut coûter au front en nombre de sièges au niveau des APC et de l'APW où jusque-là il a toujours obtenu la majorité. Les démissions des rangs du parti ont déjà commencé et le dernier cas est celui de Slimane Allam élu à l'APW de Boumerdès, et ex-membre du conseil national. Quant à la campagne électorale elle s'annonce sur ont d'affrontements… menace formulée par les mécontents lors du saccage du siège de la fédération de Tizi Ouzou par ces derniers la soirée du dernier délai de dépôt des listes.