A l'approche des échéances électorales, l'ambiance ne semble pas des plus sereines et tend à devenir de plus en plus électrique au sein des formations présentes sur l'échiquier politique local. Il y a comme un malaise latent qui n'augure pas d'une campagne à l'abri de glissements potentiels même si d'aucuns tentent de minimiser des faits qui parlent d'eux-même. Tout d'abord, il y a la montée au créneau de quatre partis que sont le RCD, le FFS, le FNA et El Islah qui menacent de saisir la justice parce que l'administration a rejeté leurs listes avec pour motif le non respect du délai imparti pour le dépôt des dossiers. Ensuite, il y a la guéguerre que se livrent toujours deux camps au FLN et que l'on croyait terminée après qu'ils se soient entendus sur le partage du gâteau. L'un convoitant l'APC et l'autre l'APW. C'est du moins ce qui était prévu au vu des listes qui ont été déposées et qui font état du maintien des P/APC et P/APW encore en exercice et présentés tous deux comme têtes de listes pour les deux institutions à prendre. Ceci, bien évidemment, après une épopée riche en échauffourées entre les partisans des deux tendances lesquels en sont venus parfois à la casse au niveau de leurs sièges respectifs. Bref, les citoyens ont eu tout le loisir d'assister à des scènes déplorables qui relevaient parfois du burlesque et qui donnaient par la même occasion une bien piètre image du plus vieux parti. Mais tout ceci fut oublié après un deal entre les protagonistes lesquels ne s'attendaient certainement pas à une autre mouvance parmi les militants qui vient de surgir pour dénoncer les deux premières. Et pour preuve, les slogans affichés ce lundi sur les murs de la mouhafadha décriant le choix des candidats retenus aussi bien pour l'APC que pour l'APW. Enfin un nouveau feuilleton qui s'ajoute au précédent peu reluisant avec pour scénario un bras de fer entre des légalistes soutenant un S.G dûment accrédité par les instances nationales et des adeptes de l'ancien. Un embroglio dont les retombées sont à attendre durant la campagne. A l'approche des échéances électorales, l'ambiance ne semble pas des plus sereines et tend à devenir de plus en plus électrique au sein des formations présentes sur l'échiquier politique local. Il y a comme un malaise latent qui n'augure pas d'une campagne à l'abri de glissements potentiels même si d'aucuns tentent de minimiser des faits qui parlent d'eux-même. Tout d'abord, il y a la montée au créneau de quatre partis que sont le RCD, le FFS, le FNA et El Islah qui menacent de saisir la justice parce que l'administration a rejeté leurs listes avec pour motif le non respect du délai imparti pour le dépôt des dossiers. Ensuite, il y a la guéguerre que se livrent toujours deux camps au FLN et que l'on croyait terminée après qu'ils se soient entendus sur le partage du gâteau. L'un convoitant l'APC et l'autre l'APW. C'est du moins ce qui était prévu au vu des listes qui ont été déposées et qui font état du maintien des P/APC et P/APW encore en exercice et présentés tous deux comme têtes de listes pour les deux institutions à prendre. Ceci, bien évidemment, après une épopée riche en échauffourées entre les partisans des deux tendances lesquels en sont venus parfois à la casse au niveau de leurs sièges respectifs. Bref, les citoyens ont eu tout le loisir d'assister à des scènes déplorables qui relevaient parfois du burlesque et qui donnaient par la même occasion une bien piètre image du plus vieux parti. Mais tout ceci fut oublié après un deal entre les protagonistes lesquels ne s'attendaient certainement pas à une autre mouvance parmi les militants qui vient de surgir pour dénoncer les deux premières. Et pour preuve, les slogans affichés ce lundi sur les murs de la mouhafadha décriant le choix des candidats retenus aussi bien pour l'APC que pour l'APW. Enfin un nouveau feuilleton qui s'ajoute au précédent peu reluisant avec pour scénario un bras de fer entre des légalistes soutenant un S.G dûment accrédité par les instances nationales et des adeptes de l'ancien. Un embroglio dont les retombées sont à attendre durant la campagne.