Ce rendez-vous, sponsorisé dans presque toute sa totalité par l'entreprise publique Mobilis, aspire à développer le film court algérien, art qui commence à susciter un vif intérêt auprès de la jeune génération, en lui offrant un espace de dialogue et de débat. Ce rendez-vous, sponsorisé dans presque toute sa totalité par l'entreprise publique Mobilis, aspire à développer le film court algérien, art qui commence à susciter un vif intérêt auprès de la jeune génération, en lui offrant un espace de dialogue et de débat. Hamraoui Habib-Chaouki, président de la Fondation le Fennec d'or, a animé hier une conférence de presse où il a annoncé l'organisation du Taghit d'or. Festival qui se déroulera, dans la ville éponyme, du 12 au 17 du mois de novembre prochain et qui est destiné à récompenser les meilleures œuvres cinématographiques réalisées en court-métrage. Ce rendez-vous, sponsorisé dans presque toute sa totalité par l'entreprise publique Mobilis, aspire à développer le film court algérien, art qui commence à susciter un vif intérêt auprès de la jeune génération, en lui offrant un espace de dialogue et de débat. «A cet effet, d'ailleurs, a précisé M. Hamraoui Habib-Chaouki, ce rendez-vous vient à point nommé pour offrir à ces jeunes talents, avec le soutien du ministère de la Culture, un espace de réflexion, de dialogue et d'échanges, célébrant la culture et la création cinématographique en quête de plus en plus de rigueur professionnelle». La manifestation du Taghit d'or comprendra, selon ses organisateurs, plusieurs espaces, elle donnera l'occasion aux participants de se pencher sur différents volets, à commencer par celui de la compétition pour atteindre celui de la «qaâda» cinématographique en passant par l'espace panorama, l'atelier, l'espace court. La compétition, proprement dite, regroupera 32 courts-métrages algériens réalisés entre 2005 et 2007. Le panorama est, quant à lui, un espace destiné à la projection de films étrangers qui seront suivis de débats et de discussions avec leurs réalisateurs. Avec la tenue de ce festival les organisateurs comptent innover en créant un atelier intitulé «atelier ciné journal». Cet espace est destiné à la confection d'un journal qui résumera les informations de la journée et qui sera diffusé dans la salle de projection. L'équipe rédactionnelle de ce journal sera constituée de jeunes stagiaires de la région qui seront encadrés par des professionnels. L'autre espace prévu est celui intitulé «espace court». Ce champ qui permet l'échange des expériences cinématographiques et les discussions autour des films projetés, est destiné à la réflexion et au débat dans lequel se rencontreront les réalisateurs avec les critiques, les professionnels, les journalistes et les cinéphiles. Un atelier de formation sous le thème «comment réussir un film, de l'idée à la projection», encadré par deux spécialistes, est prévu au programme de cette rencontre de Taghit. Quant au dernier volet prévu à l'affiche, c'est la «qaâda» cinématographique. Rencontre nocturne à la mode traditionnelle qui se passera dans une kheïma dans laquelle les cinéphiles sont appelés à discuter et débattre de leurs idées. Le jury qui est chargé de décerner le Taghit d'or du meilleur court métrage, le prix de la meilleure réalisation, le prix du meilleur scénario, le prix d'interprétation féminine et le prix d'interprétation masculine aura à sa tête l'écrivain réalisateur Rachid Soufi ainsi que la réalisatrice Mina Kessar, l'actrice Fettouma Ousliha, les journalistes Djamel Hazourli et Mustapha Bendina en qualité de membres. A l'issue de cette rencontre avec la presse, Hamraoui Habib-Chaouki a informé l'assistance que la fondation qu'il préside œuvre, en plus de cet espace qu'elle vient offrir au court métrage, à créer un festival qui sera destiné au documentaire. Hamraoui Habib-Chaouki, président de la Fondation le Fennec d'or, a animé hier une conférence de presse où il a annoncé l'organisation du Taghit d'or. Festival qui se déroulera, dans la ville éponyme, du 12 au 17 du mois de novembre prochain et qui est destiné à récompenser les meilleures œuvres cinématographiques réalisées en court-métrage. Ce rendez-vous, sponsorisé dans presque toute sa totalité par l'entreprise publique Mobilis, aspire à développer le film court algérien, art qui commence à susciter un vif intérêt auprès de la jeune génération, en lui offrant un espace de dialogue et de débat. «A cet effet, d'ailleurs, a précisé M. Hamraoui Habib-Chaouki, ce rendez-vous vient à point nommé pour offrir à ces jeunes talents, avec le soutien du ministère de la Culture, un espace de réflexion, de dialogue et d'échanges, célébrant la culture et la création cinématographique en quête de plus en plus de rigueur professionnelle». La manifestation du Taghit d'or comprendra, selon ses organisateurs, plusieurs espaces, elle donnera l'occasion aux participants de se pencher sur différents volets, à commencer par celui de la compétition pour atteindre celui de la «qaâda» cinématographique en passant par l'espace panorama, l'atelier, l'espace court. La compétition, proprement dite, regroupera 32 courts-métrages algériens réalisés entre 2005 et 2007. Le panorama est, quant à lui, un espace destiné à la projection de films étrangers qui seront suivis de débats et de discussions avec leurs réalisateurs. Avec la tenue de ce festival les organisateurs comptent innover en créant un atelier intitulé «atelier ciné journal». Cet espace est destiné à la confection d'un journal qui résumera les informations de la journée et qui sera diffusé dans la salle de projection. L'équipe rédactionnelle de ce journal sera constituée de jeunes stagiaires de la région qui seront encadrés par des professionnels. L'autre espace prévu est celui intitulé «espace court». Ce champ qui permet l'échange des expériences cinématographiques et les discussions autour des films projetés, est destiné à la réflexion et au débat dans lequel se rencontreront les réalisateurs avec les critiques, les professionnels, les journalistes et les cinéphiles. Un atelier de formation sous le thème «comment réussir un film, de l'idée à la projection», encadré par deux spécialistes, est prévu au programme de cette rencontre de Taghit. Quant au dernier volet prévu à l'affiche, c'est la «qaâda» cinématographique. Rencontre nocturne à la mode traditionnelle qui se passera dans une kheïma dans laquelle les cinéphiles sont appelés à discuter et débattre de leurs idées. Le jury qui est chargé de décerner le Taghit d'or du meilleur court métrage, le prix de la meilleure réalisation, le prix du meilleur scénario, le prix d'interprétation féminine et le prix d'interprétation masculine aura à sa tête l'écrivain réalisateur Rachid Soufi ainsi que la réalisatrice Mina Kessar, l'actrice Fettouma Ousliha, les journalistes Djamel Hazourli et Mustapha Bendina en qualité de membres. A l'issue de cette rencontre avec la presse, Hamraoui Habib-Chaouki a informé l'assistance que la fondation qu'il préside œuvre, en plus de cet espace qu'elle vient offrir au court métrage, à créer un festival qui sera destiné au documentaire.