Zerhouni confirme la reddition de Hattab, soulignant que ce dernier «n'est pas en fuite». Il se trouve seulement que depuis sa reddition, l'ex-émir national du GSPC n'a pas été officiellement remis à la justice. Zerhouni confirme la reddition de Hattab, soulignant que ce dernier «n'est pas en fuite». Il se trouve seulement que depuis sa reddition, l'ex-émir national du GSPC n'a pas été officiellement remis à la justice. «Le terroriste repenti fait actuellement l'objet d'enquêtes préliminaires menées par les services de sécurité. Ces investigations se déroulent normalement et n'ont pas encore abouti », a indiqué le ministre de l'Intérieur. Hassan Hattab est bel et bien entre les mains des services de sécurité. Le ministre de l'Intérieur qui l'a déclaré avant-hier à la radio nationale est revenu hier sur le sujet en marge d'une cérémonie de commémoration des inondations de Bab El-Oued. Yazid Zerhouni a déclaré, à ce propos, que le dossier de Hassan Hattab «n'est pas encore parvenu à la justice, car étant encore en phase d'enquêtes préliminaires au niveau des services de sécurité». Le ministre répond ainsi aux interrogations formulées par l'opinion nationale après que la justice eut déclaré Hattab en état de fuite, à l'occasion d'un procès où il était cité comme accusé, le 4 novembre dernier. Lequel procès a été reporté pour le début 2008. Zerhouni a donc confirmé la reddition de Hattab, soulignant que ce dernier «n'est pas en fuite». Il se trouve, seulement, que depuis sa reddition, l'ex-émir national du Groupe salafiste pour la prédication et le combat n'a pas été officiellement remis à la justice. Le ministre de l'Intérieur a indiqué, à ce propos, que le terroriste repenti fait actuellement l'objet «d'enquêtes préliminaires» menées par les services de sécurité. Ces investigations «se déroulent normalement» et «n'ont pas encore abouti», a précisé le ministre à la presse à l'issue de la cérémonie de recueillement à Bab El-Oued en hommage aux victimes des inondations de 2001. Rappelant que Hattab était «lié à plusieurs affaires», d'où la complexité des enquêtes le concernant, Yazid Zerhouni a affirmé qu'il sera traduit «le moment venu» devant la justice. Et selon toute vraisemblance, il ne bénéficiera pas des dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Le ministre de l'Intérieur avait, en effet, indiqué avant-hier sur les ondes de la Chaîne I de la radio nationale que la Reddition de l'ancien n°1 du GSPC était intervenue après l'expiration du délai d'application de la charte. En tout état de cause, il est évident que l'audience arrêtée pour le début de l'année prochaine n'aura pas lieu. «L'enquête» évoquée par Zerhouni a toutes les chances de durer encore longtemps. Notons, enfin, que Hassan Hattab collectionne les peines capitales. Il a été condamné en juin par contumace à la perpétuité par le tribunal criminel de Tizi-Ouzou pour «constitution d'un groupe terroriste armé». Il avait été également condamné à mort par contumace par le tribunal criminel de Batna pour « constitution de groupes terroristes armés, atteinte à l'intégrité des intérêts de l'Etat, assassinat avec préméditation, incendie volontaire, vol et port d'armes prohibées». «Le terroriste repenti fait actuellement l'objet d'enquêtes préliminaires menées par les services de sécurité. Ces investigations se déroulent normalement et n'ont pas encore abouti », a indiqué le ministre de l'Intérieur. Hassan Hattab est bel et bien entre les mains des services de sécurité. Le ministre de l'Intérieur qui l'a déclaré avant-hier à la radio nationale est revenu hier sur le sujet en marge d'une cérémonie de commémoration des inondations de Bab El-Oued. Yazid Zerhouni a déclaré, à ce propos, que le dossier de Hassan Hattab «n'est pas encore parvenu à la justice, car étant encore en phase d'enquêtes préliminaires au niveau des services de sécurité». Le ministre répond ainsi aux interrogations formulées par l'opinion nationale après que la justice eut déclaré Hattab en état de fuite, à l'occasion d'un procès où il était cité comme accusé, le 4 novembre dernier. Lequel procès a été reporté pour le début 2008. Zerhouni a donc confirmé la reddition de Hattab, soulignant que ce dernier «n'est pas en fuite». Il se trouve, seulement, que depuis sa reddition, l'ex-émir national du Groupe salafiste pour la prédication et le combat n'a pas été officiellement remis à la justice. Le ministre de l'Intérieur a indiqué, à ce propos, que le terroriste repenti fait actuellement l'objet «d'enquêtes préliminaires» menées par les services de sécurité. Ces investigations «se déroulent normalement» et «n'ont pas encore abouti», a précisé le ministre à la presse à l'issue de la cérémonie de recueillement à Bab El-Oued en hommage aux victimes des inondations de 2001. Rappelant que Hattab était «lié à plusieurs affaires», d'où la complexité des enquêtes le concernant, Yazid Zerhouni a affirmé qu'il sera traduit «le moment venu» devant la justice. Et selon toute vraisemblance, il ne bénéficiera pas des dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Le ministre de l'Intérieur avait, en effet, indiqué avant-hier sur les ondes de la Chaîne I de la radio nationale que la Reddition de l'ancien n°1 du GSPC était intervenue après l'expiration du délai d'application de la charte. En tout état de cause, il est évident que l'audience arrêtée pour le début de l'année prochaine n'aura pas lieu. «L'enquête» évoquée par Zerhouni a toutes les chances de durer encore longtemps. Notons, enfin, que Hassan Hattab collectionne les peines capitales. Il a été condamné en juin par contumace à la perpétuité par le tribunal criminel de Tizi-Ouzou pour «constitution d'un groupe terroriste armé». Il avait été également condamné à mort par contumace par le tribunal criminel de Batna pour « constitution de groupes terroristes armés, atteinte à l'intégrité des intérêts de l'Etat, assassinat avec préméditation, incendie volontaire, vol et port d'armes prohibées».