Mostaganem a été la neuvième étape du périple du SG du RND dans le cadre de la campagne électorale. Mostaganem a été la neuvième étape du périple du SG du RND dans le cadre de la campagne électorale. La décentralisation du processus décisionnel et la bonne représentativité de l'élu ont été les idées fortes développées par le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), M.Ahmed Ouyahia. Substantiellement, le premier responsable du parti a indiqué que «seule l'association des élus locaux est à même d'assurer la réussite des réformes engagées par l'Etat, ciblant aussi bien l'agriculture que l'investissement». Rappelant que les APC et les APW sont les institutions de base de l'exercice de la démocratie, il devait mettre l'accent sur «le sens du contact avec les administrés». Tout en rappelant les amendements apportés par son parti et inhérents aux codes communal et de wilayal, il devait revenir sur la question de la corruption. «Un élu qui détourne l'argent public est doublement coupable, car il trahit non seulement l'Etat, mais également le peuple qui lui a accordé sa confiance», a estimé le secrétaire général du RND. Sur ce chapitre, la corruption ainsi que les pressions exercées par les groupes d'intérêt occultes ont été évoquées à Oran. En effet, lors du meeting d'Oran, huitième parmi les 38 programmés pour la campagne, le SG du RND n'a pas manqué, encore une fois, de relever les carences ou insuffisances observées dans les modes de gestion des structures de base argumentant, à juste titre, la reforme des codes communal et de wilayal aux fins de renforcer les missions et rôles dévolus aux assemblées élues. Bien que, selon lui, «la situation du pays ait connu une nette amélioration», il demeure, devait-il souligner, que «l'insécurité que ressentent les citoyens prend racine dans l'émergence du banditisme, de la corruption, de la drogue ainsi que d'autres fléaux néfastes pour la société» faisant allusion aux retombées du lobbysme exercé par certains groupes d'affairistes. Abondant dans le même chapitre, le SG devait solliciter la contribution de la population pour faire barrage à la corruption qui gangrène la société et aux groupes d'intérêt affirmant qu'«il est temps que l'Algérie se débarrasse de ces groupes d'affairistes qui veulent prendre le pays en otage. La loi tout comme le citoyen sont contre ces pratiques. Il est impératif de mettre un terme à ces agissements». Ouyahia s'est également permis de discréditer les actions entreprises par le département de Djamel Ould Abbès en relevant la faillite de la politique de la solidarité nationale. «Sans viser personne, moi, je qualifie la politique de la solidarité nationale de politique du Père Noël», devait-il affirmer en ce sens. Mettant en valeur le rôle des prochains élus et leurs prérogatives, l'orateur indiqua que «la politique ne suffit pas à réaliser des investissements, il faut, avant tout, des actes concrets et palpables impliquant davantage les assemblées élues». Usant de métaphore, il devait lancer. «Il est inconcevable que tout se décide d'en haut. Il faut un Etat en haut, mais aussi un Etat en bas ». La décentralisation du processus décisionnel et la bonne représentativité de l'élu ont été les idées fortes développées par le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), M.Ahmed Ouyahia. Substantiellement, le premier responsable du parti a indiqué que «seule l'association des élus locaux est à même d'assurer la réussite des réformes engagées par l'Etat, ciblant aussi bien l'agriculture que l'investissement». Rappelant que les APC et les APW sont les institutions de base de l'exercice de la démocratie, il devait mettre l'accent sur «le sens du contact avec les administrés». Tout en rappelant les amendements apportés par son parti et inhérents aux codes communal et de wilayal, il devait revenir sur la question de la corruption. «Un élu qui détourne l'argent public est doublement coupable, car il trahit non seulement l'Etat, mais également le peuple qui lui a accordé sa confiance», a estimé le secrétaire général du RND. Sur ce chapitre, la corruption ainsi que les pressions exercées par les groupes d'intérêt occultes ont été évoquées à Oran. En effet, lors du meeting d'Oran, huitième parmi les 38 programmés pour la campagne, le SG du RND n'a pas manqué, encore une fois, de relever les carences ou insuffisances observées dans les modes de gestion des structures de base argumentant, à juste titre, la reforme des codes communal et de wilayal aux fins de renforcer les missions et rôles dévolus aux assemblées élues. Bien que, selon lui, «la situation du pays ait connu une nette amélioration», il demeure, devait-il souligner, que «l'insécurité que ressentent les citoyens prend racine dans l'émergence du banditisme, de la corruption, de la drogue ainsi que d'autres fléaux néfastes pour la société» faisant allusion aux retombées du lobbysme exercé par certains groupes d'affairistes. Abondant dans le même chapitre, le SG devait solliciter la contribution de la population pour faire barrage à la corruption qui gangrène la société et aux groupes d'intérêt affirmant qu'«il est temps que l'Algérie se débarrasse de ces groupes d'affairistes qui veulent prendre le pays en otage. La loi tout comme le citoyen sont contre ces pratiques. Il est impératif de mettre un terme à ces agissements». Ouyahia s'est également permis de discréditer les actions entreprises par le département de Djamel Ould Abbès en relevant la faillite de la politique de la solidarité nationale. «Sans viser personne, moi, je qualifie la politique de la solidarité nationale de politique du Père Noël», devait-il affirmer en ce sens. Mettant en valeur le rôle des prochains élus et leurs prérogatives, l'orateur indiqua que «la politique ne suffit pas à réaliser des investissements, il faut, avant tout, des actes concrets et palpables impliquant davantage les assemblées élues». Usant de métaphore, il devait lancer. «Il est inconcevable que tout se décide d'en haut. Il faut un Etat en haut, mais aussi un Etat en bas ».