Le nouveau SG du FFS a été, selon lui, empêché d'animer un meeting populaire dans l'une des salles de la ville au motif que la demande formulée auprès de l'administration est arrivée en retard. Le nouveau SG du FFS a été, selon lui, empêché d'animer un meeting populaire dans l'une des salles de la ville au motif que la demande formulée auprès de l'administration est arrivée en retard. Les partis politiques en lice pour les élections locales entameront, à partir de demain, la deuxième semaine de campagne électorale marquée par l'entrée en lice avant-hier, du FLN et du FFS, absents jusque-là. Si le FLN de Belkhadem a choisi Ouargla pour démarrer sa campagne, le FFS de Karim Tabou a connu son premier revers dans cette même ville. Le nouveau SG du FFS a été, selon lui, empêché d'animer un meeting populaire dans l'une des salles de la ville au motif que la demande formulée auprès de l'administration est arrivée en retard. Ce genre d'argument est incompréhensible venant de la part de l'administration locale qui avait eu accès, et bien avant de la demande d'autorisation auprès des services de la wilaya de Ouargla pour la tenue de ce meeting initialement prévu à 8h30 du matin. Or, selon Tabbou, «cette salle a été affectée au FFS à la suite d'un tirage au sort effectué au niveau de l'administration et en présence des partis en lice». Le FFS devrait tenir, hier, un second meeting à Ghardaia où sa cote de popularité a grimpé ces dernières années. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, n'a pas ce genre de tracasseries administratives et déboule comme un "forcené" sur les wilayas du pays. Du sud à l'ouest du pays, le métronome politique assène ses vérités et ses colères contre le Chef du gouvernement et à certains de ses ministres. De Relizane, le SG du RND attend du gouvernement Belkhadem qu'il prenne en compte l'interactivité des wilayas pour que son action économique soit efficace. Car, selon Ouyahia «l'économie de marché suppose une compétitivité entre les régions pour capter les investissements et créer des opportunités d'emploi». Après avoir noté le retour de la paix et la sécurité, l'augmentation des prix des hydrocarbures, le règlement de la dette extérieure et l'embellie financière, Ouyahia estime que le temps est venu de «s'engager résolument dans l'amélioration des conditions de vie du citoyen grâce à l'élection de candidats intègres, pour ne pas dilapider les sacrifices des chouhada». Abordant la situation politique du pays, Ouyahia a notamment relevé qu'aujourd'hui, les «arguments sécuritaire et financier ne sont plus valables, en raison du retour de la paix et de la sécurité au pays et de l'embellie financière (…) Il faut désormais appréhender les véritables problèmes de développement afin d'éviter les erreurs du passé», a-t-il précisé. De son côté, le secrétaire général du FNA, Moussa Touati, a averti les Algériennes et les Algériens qu'ils doivent comprendre que le «changement ne vient pas par la violence et les tueries mais par le bulletin de vote en faveur de candidats compétents». Le président de AHD 54, Ali Fawzi Rebaïne, ajoute pour sa part, que «le choix des candidats de son parti est en réalité le choix d'un projet nécessitant la mise en place de conditions précises pour assurer sa réussite». Les partis politiques en lice pour les élections locales entameront, à partir de demain, la deuxième semaine de campagne électorale marquée par l'entrée en lice avant-hier, du FLN et du FFS, absents jusque-là. Si le FLN de Belkhadem a choisi Ouargla pour démarrer sa campagne, le FFS de Karim Tabou a connu son premier revers dans cette même ville. Le nouveau SG du FFS a été, selon lui, empêché d'animer un meeting populaire dans l'une des salles de la ville au motif que la demande formulée auprès de l'administration est arrivée en retard. Ce genre d'argument est incompréhensible venant de la part de l'administration locale qui avait eu accès, et bien avant de la demande d'autorisation auprès des services de la wilaya de Ouargla pour la tenue de ce meeting initialement prévu à 8h30 du matin. Or, selon Tabbou, «cette salle a été affectée au FFS à la suite d'un tirage au sort effectué au niveau de l'administration et en présence des partis en lice». Le FFS devrait tenir, hier, un second meeting à Ghardaia où sa cote de popularité a grimpé ces dernières années. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, n'a pas ce genre de tracasseries administratives et déboule comme un "forcené" sur les wilayas du pays. Du sud à l'ouest du pays, le métronome politique assène ses vérités et ses colères contre le Chef du gouvernement et à certains de ses ministres. De Relizane, le SG du RND attend du gouvernement Belkhadem qu'il prenne en compte l'interactivité des wilayas pour que son action économique soit efficace. Car, selon Ouyahia «l'économie de marché suppose une compétitivité entre les régions pour capter les investissements et créer des opportunités d'emploi». Après avoir noté le retour de la paix et la sécurité, l'augmentation des prix des hydrocarbures, le règlement de la dette extérieure et l'embellie financière, Ouyahia estime que le temps est venu de «s'engager résolument dans l'amélioration des conditions de vie du citoyen grâce à l'élection de candidats intègres, pour ne pas dilapider les sacrifices des chouhada». Abordant la situation politique du pays, Ouyahia a notamment relevé qu'aujourd'hui, les «arguments sécuritaire et financier ne sont plus valables, en raison du retour de la paix et de la sécurité au pays et de l'embellie financière (…) Il faut désormais appréhender les véritables problèmes de développement afin d'éviter les erreurs du passé», a-t-il précisé. De son côté, le secrétaire général du FNA, Moussa Touati, a averti les Algériennes et les Algériens qu'ils doivent comprendre que le «changement ne vient pas par la violence et les tueries mais par le bulletin de vote en faveur de candidats compétents». Le président de AHD 54, Ali Fawzi Rebaïne, ajoute pour sa part, que «le choix des candidats de son parti est en réalité le choix d'un projet nécessitant la mise en place de conditions précises pour assurer sa réussite».