L'effacement de la dette des communes par l'Etat et l'octroi de prérogatives importantes aux présidents d'APC, ainsi que le retour de l'Etat vers le développement local dans les communes en vue de les pourvoir en projets générateurs d'emplois, notamment dans les secteurs de l'agriculture et de l'industrie, sont les thèmes centraux abordés par la secrétaire générale du parti des travailleurs (PT), mardi dernier, à Bordj Bou-Arréridj, lors d'un meeting. Estimant que le développement durable ne peut provenir que de la réalisation de projets de construction d'infrastructures et de l'implication des élus locaux, véritables défenseurs des intérêts des citoyens, Louisa Hanoune prône donc la démocratie directe et la multiplication des initiatives populaires. Ainsi, elle stigmatise la manœuvre pernicieuse de déstabilisation de l'économie, en déclarant que «la politique manifeste de bradage des entreprises nationales doit être bannie». Elle met en garde contre le chômage de masse et ses répercussions sur la détérioration du pouvoir d'achat des citoyens, en proie à la paupérisation. «Pas moins de 10.000 emplois ont été perdus à cause de la dissolution d'entreprises publiques alors que 100 milliards dollars sont stockés dans les caisses de l'Etat», a-t-elle souligné. Autrement dit, la SG du PT estime que ces énormes sommes devraient être investies dans d'ambitieux projets de développement, créateurs d'emplois et générateurs de richesses à travers le territoire national, suivant la stratégie des pôles d'excellence et de compétitivité prônée par le ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du territoire. Lors du meeting de Bouira, Louisa Hanoune a mis en relief la nécessité de "lutter efficacement contre le sous emploi et la précarité des masses populaires les plus défavorisées." A propos du processus de privatisation, elle a réaffirmé le souhait du PT «de mettre un terme à la fermeture des entreprises et la réhabilitation et la protection de la production nationale, seule condition pour la sauvegarde de l'outil productif». Le cas contraire signifie le déferlement des sociétés multinationales en Algérie et le déclin de la production locale. Par ailleurs, Louisa Hanoune a abordé le douloureux problème des jeunes immigrants clandestins. Des dizaines de milliers de cerveaux ont quitté l'Algérie pour faire les beaux jours des pays développés. Enfin, à l'issue de son discours, elle appelle à un vote massif. L'effacement de la dette des communes par l'Etat et l'octroi de prérogatives importantes aux présidents d'APC, ainsi que le retour de l'Etat vers le développement local dans les communes en vue de les pourvoir en projets générateurs d'emplois, notamment dans les secteurs de l'agriculture et de l'industrie, sont les thèmes centraux abordés par la secrétaire générale du parti des travailleurs (PT), mardi dernier, à Bordj Bou-Arréridj, lors d'un meeting. Estimant que le développement durable ne peut provenir que de la réalisation de projets de construction d'infrastructures et de l'implication des élus locaux, véritables défenseurs des intérêts des citoyens, Louisa Hanoune prône donc la démocratie directe et la multiplication des initiatives populaires. Ainsi, elle stigmatise la manœuvre pernicieuse de déstabilisation de l'économie, en déclarant que «la politique manifeste de bradage des entreprises nationales doit être bannie». Elle met en garde contre le chômage de masse et ses répercussions sur la détérioration du pouvoir d'achat des citoyens, en proie à la paupérisation. «Pas moins de 10.000 emplois ont été perdus à cause de la dissolution d'entreprises publiques alors que 100 milliards dollars sont stockés dans les caisses de l'Etat», a-t-elle souligné. Autrement dit, la SG du PT estime que ces énormes sommes devraient être investies dans d'ambitieux projets de développement, créateurs d'emplois et générateurs de richesses à travers le territoire national, suivant la stratégie des pôles d'excellence et de compétitivité prônée par le ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du territoire. Lors du meeting de Bouira, Louisa Hanoune a mis en relief la nécessité de "lutter efficacement contre le sous emploi et la précarité des masses populaires les plus défavorisées." A propos du processus de privatisation, elle a réaffirmé le souhait du PT «de mettre un terme à la fermeture des entreprises et la réhabilitation et la protection de la production nationale, seule condition pour la sauvegarde de l'outil productif». Le cas contraire signifie le déferlement des sociétés multinationales en Algérie et le déclin de la production locale. Par ailleurs, Louisa Hanoune a abordé le douloureux problème des jeunes immigrants clandestins. Des dizaines de milliers de cerveaux ont quitté l'Algérie pour faire les beaux jours des pays développés. Enfin, à l'issue de son discours, elle appelle à un vote massif.