Estimant que «toutes les conditions sont réunies pour se consacrer exclusivement à bâtir l'Algérie», le SG du RND a exhorté l'assistance à aller aux urnes tout en rassurant que «tous les indicateurs sont au vert pour permettre à l'Algérie de décoller». Usant de termes clairs, Ouyahia a mis en relief «l'importance de la décision locale» et revendiqué, par conséquent, «l'octroi de plus de prérogatives et de pouvoir de décision aux élus locaux». Aux fins de convaincre et donner plus de crédit à ses propos sur la question de la décision locale, l'orateur a cité l'exemple du programme de développement des Hauts Plateaux. «il est important d'accorder désormais à la décision locale toute l'attention voulue pour aboutir à un développement réel, concret et efficace de la région» devait-t-il affirmer après avoir vanté les résultats obtenus dans le cadre du programme des Hauts-Plateaux. Dans le sillage de son allocution, le premier responsable du RND devait lancer un défi de «faire des APC et APW, dans quelques années, des centres de pouvoir et de décision, qui auront leur poids dans le développement national». A Biskra où il a animé un meeting, Ouyahia a plaidé pour le «rétablissement de la confiance entre l'administration et le citoyen au moyen de l'usage de la transparence dans la gestion». Il devait, dans ce sens, indiquer que «la transparence dans la conduite des affaires de la commune et la prise de décisions courageuses feront gagner à l'administration la confiance des administrés». L'orateur indiqua, à juste titre, que «tout futur président d'une Assemblée populaire communale (APC), issu du RND, sera tenu d'ouvrir les portes de son bureau au citoyen pendant les heures ouvrables et de demeurer à l'écoute de ses préoccupations même après les heures de travail» ajoutant que «le futur élu doit, également, veiller à dynamiser le développement local ainsi qu'à attirer et encourager les investissements générateurs de nouvelles ressources». Il souligna par ailleurs «qu'il est aussi tenu de toujours faire prévaloir l'intérêt général, assurer la cohésion de l'Assemblée et éviter les luttes marginales». Evoquant les carences et insuffisance relevées dans la gestion des communes, ce dernier les imputa «au manque de ressources humaines compétentes et spécialisées». L'Etat, a-t-il encore souligné, «a réduit considérablement, au cours des dernières années, sa dette extérieure et mobilisé 150 milliards de DA pour soutenir le développement national à travers le lancement de nombre de projets d'envergure qui sont source de fierté». Ouyahia conclut en affirmant que «le RND ne promet ni le paradis ni des solutions miracle pour résoudre le problème du chômage, mais s'est efforcé de choisir des candidats aux Assemblées locales, disposés à écouter les préoccupations des citoyens et à les prendre en charge». Estimant que «toutes les conditions sont réunies pour se consacrer exclusivement à bâtir l'Algérie», le SG du RND a exhorté l'assistance à aller aux urnes tout en rassurant que «tous les indicateurs sont au vert pour permettre à l'Algérie de décoller». Usant de termes clairs, Ouyahia a mis en relief «l'importance de la décision locale» et revendiqué, par conséquent, «l'octroi de plus de prérogatives et de pouvoir de décision aux élus locaux». Aux fins de convaincre et donner plus de crédit à ses propos sur la question de la décision locale, l'orateur a cité l'exemple du programme de développement des Hauts Plateaux. «il est important d'accorder désormais à la décision locale toute l'attention voulue pour aboutir à un développement réel, concret et efficace de la région» devait-t-il affirmer après avoir vanté les résultats obtenus dans le cadre du programme des Hauts-Plateaux. Dans le sillage de son allocution, le premier responsable du RND devait lancer un défi de «faire des APC et APW, dans quelques années, des centres de pouvoir et de décision, qui auront leur poids dans le développement national». A Biskra où il a animé un meeting, Ouyahia a plaidé pour le «rétablissement de la confiance entre l'administration et le citoyen au moyen de l'usage de la transparence dans la gestion». Il devait, dans ce sens, indiquer que «la transparence dans la conduite des affaires de la commune et la prise de décisions courageuses feront gagner à l'administration la confiance des administrés». L'orateur indiqua, à juste titre, que «tout futur président d'une Assemblée populaire communale (APC), issu du RND, sera tenu d'ouvrir les portes de son bureau au citoyen pendant les heures ouvrables et de demeurer à l'écoute de ses préoccupations même après les heures de travail» ajoutant que «le futur élu doit, également, veiller à dynamiser le développement local ainsi qu'à attirer et encourager les investissements générateurs de nouvelles ressources». Il souligna par ailleurs «qu'il est aussi tenu de toujours faire prévaloir l'intérêt général, assurer la cohésion de l'Assemblée et éviter les luttes marginales». Evoquant les carences et insuffisance relevées dans la gestion des communes, ce dernier les imputa «au manque de ressources humaines compétentes et spécialisées». L'Etat, a-t-il encore souligné, «a réduit considérablement, au cours des dernières années, sa dette extérieure et mobilisé 150 milliards de DA pour soutenir le développement national à travers le lancement de nombre de projets d'envergure qui sont source de fierté». Ouyahia conclut en affirmant que «le RND ne promet ni le paradis ni des solutions miracle pour résoudre le problème du chômage, mais s'est efforcé de choisir des candidats aux Assemblées locales, disposés à écouter les préoccupations des citoyens et à les prendre en charge».