1941 : Bensalah Abdelkader Né à cette date à Oran, il participe très jeune à la lutte armée. En 1965, il est diplomate au Caire, directeur du centre culturel algérien à Beyrouth de 1970 à 1973, dirige le journal El Chaab en langue nationale entre 1974 et 1977 puis fait partie de la première APN comme de la suivante, en 1982, où il est président de la commission des Affaires étrangères jusqu'en 1989. Désigné ambassadeur en Arabie Saoudite, il est porte-parole des AE en 1992, membre et rapporteur de la Commission du dialogue national et président du Conseil national de transition de 1994 à 1997. Il collabore ensuite pleinement à la création du parti du Rassemblement national démocratique (RND) et en devient le président et l'élu à l'Assemblée nationale pluraliste dont il dirige les débats pour un mandat de cinq ans à partir de 1997. 1947 : Jean Pierre Foucault Naissance à Marseille de cet animateur de radio et de télévision avec plus de 2.500 émissions diffusées sur le petit écran. Il débute en 1966 sur Radio Monte Carlo (RMC) grâce à un concours, se fait renvoyer au bout de six mois et travaille pendant deux ans sur la station concurrente, Europe 1, avant de revenir sur RMC en 1969. Il débarque à la télévision en 1975 grâce à Guy Lux, anime «L'Académie des neuf» en 1982, «Affaire suivante» en 1986 puis TF1 le recrute en 1987 avec «Sacrée soirée» pour sept saisons consécutives. En 1994, il anime «Les années tubes» et devient directeur des programmes sur RMC avant de faire un come-back réussi à l'écran en 2000 avec «Qui veut gagner des millions ?» En 2001, il relance le célèbre jeu radiophonique «Quitte ou double» sur Radio Télé Luxembourg (RTL) puis un jeu télévisé «Zone rouge» en 2003. Il publie en 2005 un roman autobiographique «Le sourire aux larmes» où il révèle que son père avait été tué en 1962 à Alger par des inconnus et que sa mère avait longtemps caché son passé de juive polonaise. En 2006, il fait paraître «Les cigales sont de retour» et anime depuis 2007 l'émission de radio «La bonne touche» sur RTL. 1963 : Lee Harvey Oswald Mort de l'assassin présumé du Président Kennedy tué deux jours plus tôt (voir notre édition du jeudi 22). Oswald est abattu en plein commissariat alors qu'il était transféré dans une prison proche, sous l'œil des caméras. Son meurtre par Jack Ruby fut donc le premier à être diffusé en direct à la télévision. 1986 : Zaïbek Abdelkader Meurt le 23 novembre à Alger, à l'âge de 63 ans, des suites d'un accident vasculaire survenu en 1979 et ayant entraîné une hémiplégie qui lui fait cesser toute activité. Originaire de Médéa, ce militant du P.P.A menacé de poursuites pénales dès 1945, dut partir en France où il fait par ailleurs des études réussies comme major de promotion à l'Institut électrotechnique de Grenoble. Arrêté et emprisonné en 1956 dans les camps de Paul Gazelles et Bossuet, puis expulsé vers la France métropolitaine jusqu'à l'Indépendance, il devient (après 1962) membre de l'Exécutif provisoire, nommé ministre des PTT, ensuite des Travaux public et des Transports mais également membre du Comité central du FLN, député à l'APN et président de la commission des Finances au sein de cette institution. 1994 : Yalaoui Youcef Décès à 76 ans de cet élève de Ben Badis devenu enseignant dans les médersas de l'association des oulémas. Dès 1954, Ben Boulaid lui confie une délégation auprès de la wilaya 3 où il sera commandant après avoir été commissaire politique en wilaya 1 entre 1955 et 1959. Après l'indépendance, il fait partie de la première Assemblée constituante puis contrôleur du FLN, membre du Haut conseil islamique et finalement secrétaire général de l'Organisation nationale des Moudjahidine (ONM) de 1980 à 1990. 1941 : Bensalah Abdelkader Né à cette date à Oran, il participe très jeune à la lutte armée. En 1965, il est diplomate au Caire, directeur du centre culturel algérien à Beyrouth de 1970 à 1973, dirige le journal El Chaab en langue nationale entre 1974 et 1977 puis fait partie de la première APN comme de la suivante, en 1982, où il est président de la commission des Affaires étrangères jusqu'en 1989. Désigné ambassadeur en Arabie Saoudite, il est porte-parole des AE en 1992, membre et rapporteur de la Commission du dialogue national et président du Conseil national de transition de 1994 à 1997. Il collabore ensuite pleinement à la création du parti du Rassemblement national démocratique (RND) et en devient le président et l'élu à l'Assemblée nationale pluraliste dont il dirige les débats pour un mandat de cinq ans à partir de 1997. 1947 : Jean Pierre Foucault Naissance à Marseille de cet animateur de radio et de télévision avec plus de 2.500 émissions diffusées sur le petit écran. Il débute en 1966 sur Radio Monte Carlo (RMC) grâce à un concours, se fait renvoyer au bout de six mois et travaille pendant deux ans sur la station concurrente, Europe 1, avant de revenir sur RMC en 1969. Il débarque à la télévision en 1975 grâce à Guy Lux, anime «L'Académie des neuf» en 1982, «Affaire suivante» en 1986 puis TF1 le recrute en 1987 avec «Sacrée soirée» pour sept saisons consécutives. En 1994, il anime «Les années tubes» et devient directeur des programmes sur RMC avant de faire un come-back réussi à l'écran en 2000 avec «Qui veut gagner des millions ?» En 2001, il relance le célèbre jeu radiophonique «Quitte ou double» sur Radio Télé Luxembourg (RTL) puis un jeu télévisé «Zone rouge» en 2003. Il publie en 2005 un roman autobiographique «Le sourire aux larmes» où il révèle que son père avait été tué en 1962 à Alger par des inconnus et que sa mère avait longtemps caché son passé de juive polonaise. En 2006, il fait paraître «Les cigales sont de retour» et anime depuis 2007 l'émission de radio «La bonne touche» sur RTL. 1963 : Lee Harvey Oswald Mort de l'assassin présumé du Président Kennedy tué deux jours plus tôt (voir notre édition du jeudi 22). Oswald est abattu en plein commissariat alors qu'il était transféré dans une prison proche, sous l'œil des caméras. Son meurtre par Jack Ruby fut donc le premier à être diffusé en direct à la télévision. 1986 : Zaïbek Abdelkader Meurt le 23 novembre à Alger, à l'âge de 63 ans, des suites d'un accident vasculaire survenu en 1979 et ayant entraîné une hémiplégie qui lui fait cesser toute activité. Originaire de Médéa, ce militant du P.P.A menacé de poursuites pénales dès 1945, dut partir en France où il fait par ailleurs des études réussies comme major de promotion à l'Institut électrotechnique de Grenoble. Arrêté et emprisonné en 1956 dans les camps de Paul Gazelles et Bossuet, puis expulsé vers la France métropolitaine jusqu'à l'Indépendance, il devient (après 1962) membre de l'Exécutif provisoire, nommé ministre des PTT, ensuite des Travaux public et des Transports mais également membre du Comité central du FLN, député à l'APN et président de la commission des Finances au sein de cette institution. 1994 : Yalaoui Youcef Décès à 76 ans de cet élève de Ben Badis devenu enseignant dans les médersas de l'association des oulémas. Dès 1954, Ben Boulaid lui confie une délégation auprès de la wilaya 3 où il sera commandant après avoir été commissaire politique en wilaya 1 entre 1955 et 1959. Après l'indépendance, il fait partie de la première Assemblée constituante puis contrôleur du FLN, membre du Haut conseil islamique et finalement secrétaire général de l'Organisation nationale des Moudjahidine (ONM) de 1980 à 1990.
