Le président du MSP, Aboudjerra Soltani n‘a pas mâché ses mots envers ses deux alliés de la coalition présidentielle lors des vingt jours de campagne électorale. Il a imputé les multiples problèmes actuels vécus par les citoyens aux gouvernements successifs en ne ménageant ni Belkhadem ni Ouyahia a qu‘il reproche l‘absence d‘une «culture de consultation» qui est, selon lui, «la source principale des problèmes vécus par le pays». Selon le successeur de Nahnah, aucun développement économique, social ou culturel, «ne peut se réaliser, si les responsables, d‘une manière générale, ne disposent pas de la confiance populaire», répétait-il avec insistance. Pour Soltani, les trois autres axes majeurs de son programme demeurent la sécurité alimentaire, le développement local et le dialogue social le plus large. Soltani, qui à déjà, sillonné plusieurs wilayas, a eu l‘occasion de faire connaître certaines propositions avancées par son parti, à l‘instar des solutions aux problèmes socio-économiques inhérents au chômage, l‘habitat, l‘agriculture et la désertification. Lors de chaque meeting, le président du Mouvement de la société pour la paix, et ministre d‘Etat sans portefeuille, ne cessait de critiquer la gestion des affaires du pays par «les différents gouvernements qui se sont succédé». Le responsable du MSP est allé plus loin dans ses propos en affirmant que le bricolage, la fuite en avant et les fausses promesses ont été, les principaux facteurs qui ont marqué, jusque-là, la gestion du pays. Son axe de campagne était de cibler ses deux alliés pour les discréditer auprès de la population et, le cas échéant, récupérer le mécontentement au profit de son parti. Le président du MSP se plait à dire que les candidats de son parti «ne font pas de promesses, mais s‘engagent fermement à prendre en charge les préoccupations citoyennes». Il ne craint pas d‘annoncer que son parti a été le seul parmi ceux qui ont eu à gérer les communes à avoir échappé aux soubresauts populaires, aux convoitises des notables et par delà, au contrôle de la justice. Selon le président du MSP, son parti a l‘intention de mobiliser 51.000 contrôleurs lors des élections locales du 29 novembre. A l‘inverse de ses deux partenaires de l‘Alliance présidentielle, Aboudjerra Soltani s‘est refusé à reprendre à son compte les réalisations du programme présidentiel indiquant, à chaque occasion, que son parti est là pour appliquer un programme gouvernemental et non pour en faire un «cheval de bataille» électoral. Sa proximité avec la population locale, — les militants du MSP sillonnent à longueur d‘années les quartiers populaires les plus défavorisés — le place, désormais, au rang des partis qui jouissent d‘un gisement électoral sans précédent. Le président du MSP, Aboudjerra Soltani n‘a pas mâché ses mots envers ses deux alliés de la coalition présidentielle lors des vingt jours de campagne électorale. Il a imputé les multiples problèmes actuels vécus par les citoyens aux gouvernements successifs en ne ménageant ni Belkhadem ni Ouyahia a qu‘il reproche l‘absence d‘une «culture de consultation» qui est, selon lui, «la source principale des problèmes vécus par le pays». Selon le successeur de Nahnah, aucun développement économique, social ou culturel, «ne peut se réaliser, si les responsables, d‘une manière générale, ne disposent pas de la confiance populaire», répétait-il avec insistance. Pour Soltani, les trois autres axes majeurs de son programme demeurent la sécurité alimentaire, le développement local et le dialogue social le plus large. Soltani, qui à déjà, sillonné plusieurs wilayas, a eu l‘occasion de faire connaître certaines propositions avancées par son parti, à l‘instar des solutions aux problèmes socio-économiques inhérents au chômage, l‘habitat, l‘agriculture et la désertification. Lors de chaque meeting, le président du Mouvement de la société pour la paix, et ministre d‘Etat sans portefeuille, ne cessait de critiquer la gestion des affaires du pays par «les différents gouvernements qui se sont succédé». Le responsable du MSP est allé plus loin dans ses propos en affirmant que le bricolage, la fuite en avant et les fausses promesses ont été, les principaux facteurs qui ont marqué, jusque-là, la gestion du pays. Son axe de campagne était de cibler ses deux alliés pour les discréditer auprès de la population et, le cas échéant, récupérer le mécontentement au profit de son parti. Le président du MSP se plait à dire que les candidats de son parti «ne font pas de promesses, mais s‘engagent fermement à prendre en charge les préoccupations citoyennes». Il ne craint pas d‘annoncer que son parti a été le seul parmi ceux qui ont eu à gérer les communes à avoir échappé aux soubresauts populaires, aux convoitises des notables et par delà, au contrôle de la justice. Selon le président du MSP, son parti a l‘intention de mobiliser 51.000 contrôleurs lors des élections locales du 29 novembre. A l‘inverse de ses deux partenaires de l‘Alliance présidentielle, Aboudjerra Soltani s‘est refusé à reprendre à son compte les réalisations du programme présidentiel indiquant, à chaque occasion, que son parti est là pour appliquer un programme gouvernemental et non pour en faire un «cheval de bataille» électoral. Sa proximité avec la population locale, — les militants du MSP sillonnent à longueur d‘années les quartiers populaires les plus défavorisés — le place, désormais, au rang des partis qui jouissent d‘un gisement électoral sans précédent.