Le ministre de la Justice garde des Sceaux, Tayeb Bélaiz, participe à la 23e session du Conseil des ministres arabes de la Justice, qui clôt aujourd'hui ses travaux au siège de la Ligue arabe au Caire, la capitale égyptienne. Au menu de cette rencontre figurent plusieurs points à l'ordre du jour, dont les plus importants s'articulent autour des conventions interarabes de lutte antiterroriste et les mécanismes de leur application, les crimes financiers organisés et l'accord arabe de lutte contre la corruption. Dans une allocution prononcée hier, le ministre de la Justice garde des Sceaux a souligné «la conjoncture sensible» dans laquelle intervient la session du Conseil des ministres arabes de la Justice, mettant l'accent sur la nécessité de conjuguer les efforts entre les Etats arabes afin de faire face aux mutations qui s'opèrent à l'échelle mondiale, et non pas se contenter des «moyens de bord» pour effectuer le changement nécessaire. «Les réalités mondiales exigent de nous plus d'efficacité afin d'asseoir une coopération interarabe dans les domaines judiciaire et juridique», a affirmé Bélaiz devant les participants à ce conseil, entre autres le Secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa. Par ailleurs, les travaux du Conseil des ministres arabes de la Justice plancheront sur l'examen des propositions de l'Algérie concernant des projets de loi, liés notamment aux lois sur l'assistance judiciaire, à l'organisation de la transplantation d'organes humains et le commerce électronique. Le conseil se penchera également sur les préparatifs de la participation arabe à la deuxième session des pays membres de la Convention des Nations unies pour la lutte contre la corruption qui se déroulera en Indonésie le mois de janvier prochain. Le ministre de la Justice garde des Sceaux, Tayeb Bélaiz, participe à la 23e session du Conseil des ministres arabes de la Justice, qui clôt aujourd'hui ses travaux au siège de la Ligue arabe au Caire, la capitale égyptienne. Au menu de cette rencontre figurent plusieurs points à l'ordre du jour, dont les plus importants s'articulent autour des conventions interarabes de lutte antiterroriste et les mécanismes de leur application, les crimes financiers organisés et l'accord arabe de lutte contre la corruption. Dans une allocution prononcée hier, le ministre de la Justice garde des Sceaux a souligné «la conjoncture sensible» dans laquelle intervient la session du Conseil des ministres arabes de la Justice, mettant l'accent sur la nécessité de conjuguer les efforts entre les Etats arabes afin de faire face aux mutations qui s'opèrent à l'échelle mondiale, et non pas se contenter des «moyens de bord» pour effectuer le changement nécessaire. «Les réalités mondiales exigent de nous plus d'efficacité afin d'asseoir une coopération interarabe dans les domaines judiciaire et juridique», a affirmé Bélaiz devant les participants à ce conseil, entre autres le Secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa. Par ailleurs, les travaux du Conseil des ministres arabes de la Justice plancheront sur l'examen des propositions de l'Algérie concernant des projets de loi, liés notamment aux lois sur l'assistance judiciaire, à l'organisation de la transplantation d'organes humains et le commerce électronique. Le conseil se penchera également sur les préparatifs de la participation arabe à la deuxième session des pays membres de la Convention des Nations unies pour la lutte contre la corruption qui se déroulera en Indonésie le mois de janvier prochain.