Ce que le public désigne par théâtre de verdure, c'est un complexe d'activités, de promotion de la culture sous toutes ses formes et plus particulièrement les arts plastiques. Il y a dans cet édifice une salle d'exposition de peintures, enluminures, miniatures, aquarelles et autres sculptures qui offre aux artistes producteurs un accueil et une promotion de leurs œuvres avec catalogue, affiches, invitations et informations. En 2007, soixante deux expositions ont égayé les cimaises de la salle d'exposition. Des tableaux de Zoulikha Benbernou, Zina Ammour, Aicha Haddad s'offrent au regard des passants. Car, malheureusement, ces œuvres ne seront vues que par une minorité d'habitués de la galerie qui est pénalisée de par sa position qui la rend difficile d'accès pour les piétons. Ici, sont emmagasinés les tableaux acquis par l'Etablissement ou offerts par des artistes parmi lesquels on trouve les œuvres de Baya, Khadda, Samsom, Aicha Haddad, Mesli, Hekkar, Bettina Henein-Ayache, Chegrane, Chérifi, Flidjani Kheira, Haioun Salah, Ketmia Mohamed, Merbah, Martinez, Oulhaci Mohamed, Yaâlaoui Mohamed, Reda Chikh Bled, Zemirli Mohamed, Nezzar ; ceci pour les peintres les plus connus. Les découvertes de «Art et Culture» se nomment Azdaou Rachida, Bounouah Hamza, Bouaslah, Lehouadef Djahida. Ces derniers ont été distingués par de nombreux prix, en Algérie et à l'étranger. C'est dire que nos jeunes artistes ne sont pas des intrus dans le marché de l'art outre-Méditerranée ou par-delà les océans. Dans l'arrière-salle de la galerie sont disposés les tableaux : on peut entrevoir un Baya (elle en a offert six!) un Khadda. M. Bensaâdia, le responsable de la galerie évoque avec respect la mémoire de Aicha Haddad qui se confiait volontiers à lui, mais qui joua un grand rôle dans le soutien des jeunes artistes, leur apportant encouragements, notamment Il se demande si Khettib est toujours vivant, car il a plus de 93 ans ! Promoteur de la peinture et des arts plastiques, il ne se pare pas des plumes du paon : «Je ne suis pas conservateur ; juste un animateur qui participe à la réalisation d'une politique définie par le directeur général.» Les étudiants des Beaux-Arts trouvent ici une écoute et une réelle prise en charge tout comme les étudiants en journalisme qui viennent y trouver toutes les informations utiles à leur formation artistique. On trouve dans cette galerie des trésors, comme ces peintres classés «Ecole Khadda», «Ecole Mesli» jusqu'à ce qu'ils tracent leur route originale. «Les artistes peintres sont plus sensibles que tout autre. On peut dire qu'en eux se concentrent tous les arts.» Du public qui est courtisé à travers les expositions «éclatées» sur les 9 médiathèques et 12 maisons de jeunes de la wilaya, il y a à le former dès l'enfance, à l'école. Quand on pense que des promotions entières de l'Ecole des Beaux-arts n'ont pas intégré les établissements scolaires… La promotion des arts plastiques par l'Etablissement est gratuite, «il s'agit de faire en sorte que l'artiste rencontre son public.» Ce que le public désigne par théâtre de verdure, c'est un complexe d'activités, de promotion de la culture sous toutes ses formes et plus particulièrement les arts plastiques. Il y a dans cet édifice une salle d'exposition de peintures, enluminures, miniatures, aquarelles et autres sculptures qui offre aux artistes producteurs un accueil et une promotion de leurs œuvres avec catalogue, affiches, invitations et informations. En 2007, soixante deux expositions ont égayé les cimaises de la salle d'exposition. Des tableaux de Zoulikha Benbernou, Zina Ammour, Aicha Haddad s'offrent au regard des passants. Car, malheureusement, ces œuvres ne seront vues que par une minorité d'habitués de la galerie qui est pénalisée de par sa position qui la rend difficile d'accès pour les piétons. Ici, sont emmagasinés les tableaux acquis par l'Etablissement ou offerts par des artistes parmi lesquels on trouve les œuvres de Baya, Khadda, Samsom, Aicha Haddad, Mesli, Hekkar, Bettina Henein-Ayache, Chegrane, Chérifi, Flidjani Kheira, Haioun Salah, Ketmia Mohamed, Merbah, Martinez, Oulhaci Mohamed, Yaâlaoui Mohamed, Reda Chikh Bled, Zemirli Mohamed, Nezzar ; ceci pour les peintres les plus connus. Les découvertes de «Art et Culture» se nomment Azdaou Rachida, Bounouah Hamza, Bouaslah, Lehouadef Djahida. Ces derniers ont été distingués par de nombreux prix, en Algérie et à l'étranger. C'est dire que nos jeunes artistes ne sont pas des intrus dans le marché de l'art outre-Méditerranée ou par-delà les océans. Dans l'arrière-salle de la galerie sont disposés les tableaux : on peut entrevoir un Baya (elle en a offert six!) un Khadda. M. Bensaâdia, le responsable de la galerie évoque avec respect la mémoire de Aicha Haddad qui se confiait volontiers à lui, mais qui joua un grand rôle dans le soutien des jeunes artistes, leur apportant encouragements, notamment Il se demande si Khettib est toujours vivant, car il a plus de 93 ans ! Promoteur de la peinture et des arts plastiques, il ne se pare pas des plumes du paon : «Je ne suis pas conservateur ; juste un animateur qui participe à la réalisation d'une politique définie par le directeur général.» Les étudiants des Beaux-Arts trouvent ici une écoute et une réelle prise en charge tout comme les étudiants en journalisme qui viennent y trouver toutes les informations utiles à leur formation artistique. On trouve dans cette galerie des trésors, comme ces peintres classés «Ecole Khadda», «Ecole Mesli» jusqu'à ce qu'ils tracent leur route originale. «Les artistes peintres sont plus sensibles que tout autre. On peut dire qu'en eux se concentrent tous les arts.» Du public qui est courtisé à travers les expositions «éclatées» sur les 9 médiathèques et 12 maisons de jeunes de la wilaya, il y a à le former dès l'enfance, à l'école. Quand on pense que des promotions entières de l'Ecole des Beaux-arts n'ont pas intégré les établissements scolaires… La promotion des arts plastiques par l'Etablissement est gratuite, «il s'agit de faire en sorte que l'artiste rencontre son public.»